Derniers Avis sur Le Continent oublié

Le film d'aventure par excellence, tout est cliché, téléphoné et totalement dans son jus mais c'est justement ce qui peu faire le charme d'un tel film.
Par contre les effets spéciaux avec maquettes et animatroniques sont vraiment datés même pour l'époque et c'est là l'une de mes plus grosses déception par rapport à ce film. Je trouve aussi que le film perd totalement son rythme et ses savoureuses interactions entre les personnages à partir de la moitié du film.
On pourra aussi trouver que, paradoxalement, c'est dans ses scènes d'action (la plupart dénué de musique...) que le film devient particulièrement ennuyeux.

J'aurai vraiment pris plaisir à aimer ce film mais je me suis poliment ennuyé à partir de la moitié et même l'aspect kitsch/nanard n'est pas particulièrement généreux.

« Le Continent oublié » a tout du film d’aventures des années 50, notamment sur les plans techniques et narratifs. Le souci, c’est qu’il date de 1977, autrement dit l’année de la sortie de « La Guerre des Etoiles ». Partant de là, il est quand même difficile d’accepter la pauvreté des effets spéciaux (dinosaures en plastique aux articulations rouillées, multiples maquettes honteusement visibles, explosions pyrotechniques pour simuler une éruption volcanique). Clairement fauché, le film n’a pas les moyens de son propos pour un film de cette époque.
Si on veut bien accepter le concept de la série B avec ses effets spéciaux approximatifs (après tout, cela n’est pas gênant pour les films sortis une vingtaine d’années plus tôt), on peut, en revanche, pester contre la minceur du scénario. Pauvre en péripéties vraiment palpitantes, il ronronne en se contentant durant de longues séquences de faire se déplacer ses personnages. On aurait en effet aimé plus de réels rebondissements et de tensions par moments.
Il reste donc, au final, un film totalement kitsch avec ses idées délirantes (une île perdue avec ses dinosaures, ses tribus – dont une très influencée par la culture japonaise avec ses masques et ses sabres –, sa sauvage qui trimballe son décolleté et son maquillage de poupée) mais qui, hélas, se prend, malgré tout, trop au sérieux. Un peu plus de second degré, quelques plages d’humour et davantage d’action auraient certainement permis de pardonner les faiblesses d’une production que les amateurs de vieux films d’aventures pourront cependant apprécier.

Un peu moins pire que "Le Sixième continent", cette suite adaptée des romans d'Edgar Rice Burroughs n'en reste pas moins un beau nanar des familles, frôlant à plusieurs reprises la série Z et prêtant régulièrement à sourire. Pour amateurs de nanars avant tout…

Concernant les effets spéciaux, il est évident que le film ait considérablement vieilli. Les dinosaures font clairement maquettes en carton pâte. On peut pardonner cela, ils faisaient ce qu'ils pouvaient avec les moyens de l'époque. Mais l'idéal aurait été que les dinosaures soient à la fois plus présents à l'écran (car ils apparaissent peu dans le film) et soient animés en stop-motion comme dans les films de Ray Harryhausen, le résultat aurait été plus agréable. Le film est également un peu trop court. Il aurait été bien de le faire durer plus longtemps histoire d'ajouter un peu plus de péripéties et de travailler les relations entre protagonistes. Mais dans l'ensemble, ça reste bien divertissant et charmant, surtout si on le regarde avec des yeux d'enfants. Les décors naturels sont bien utilisés, le rythme ne s'arrête jamais, il y avait une vraie envie d'aventure qui se dégage du film. On retrouve au casting quelques têtes connues ou qui ont joué dans des films cultes : Patrick Wayne (Sinbad et l'Oeil du Tigre), Thorley Walters (Dracula Prince des Ténèbres, Frankenstein créa la femme), Sarah Douglas (Conan le Destructeur, Superman 2), Doug McLure (Le Vent de la Plaine), Shane Rimmer (L'Espion qui m'aimait) et aussi la sulfureuse Dana Gillespie qui fut chanteuse et championne de ski nautique. Même si c'est le genre de films qui mériterait un remake, globalement, c'est un bon film d'aventures old school comme on n'en fait plus.

Ce film a un certain charme. Il est de 1977, il pourrait l'être des années 50. Les personnages sont stéréotypés, les décors en carton et les monstres en mousse, peu importe on se laisse aller avec son âme de gamin. Par moments, il me faisait penser à "la famille Fenouillard", le film d'Yves Robert. Bref, je recommande ce film à voir en famille avec de jeunes enfants et par temps de pluie!

Excellent divertissement meilleur que le premier opus même si les décors et les effets spéciaux sont moins bien réussis. Les décors, les explosions et le kitsch donnent un certain charme au film.
A voir pour les fans d'aventures.

Il vient un moment où la tolérance pour le côté désuet de certains films atteint ses limites. C'est hélas le cas avec "Le continent oublié", dont le seul élément que je retiendrais en sa faveur vient du magnifique cadre dans lequel a été tourné le film. Pour le reste, les amateurs d'effets spéciaux ratés et dépassés, pour ne pas dire risibles, de monstres préhistoriques en caoutchouc, d'hommes des cavernes peureux, d'êtres difformes habillés en samouraïs, vous en aurez pour votre argent. Les héros passent la grande majorité du film à marcher encore et toujours à la recherche d'un certain Tiller, et le dernier quart d'heure à fuir des tirs de mortier ou de napalm censés représenter des jets de lave d'un volcan. On est là aux portes du nanar, n'étaient les prestations relativement correctes des personnages.

Suite du « Sixième continent », de la même eau. Voir un cinéma aussi démodé sans complexe aucun, avec une imagerie venue tout droit du roman populaire du début du 20e siècle, et mettant en scène en même temps une préhistoire et un exotisme de fantaisie, ce n’est pas seulement drôle au second degré. Par moment on est prix du sentiment étrange, presque fantastique, d’être immergé dans un univers totalement décalé et atemporel. Par rapport au film dont il est la suite, « Le continent oublié » ne se g^ne pas pour aller très loin dans le délire imaginatif. On a droit ainsi à une espèce de tribu malfaisante pratiquant le sacrifice humain curieusement affublée d’armures à l’aspect très japonisant…

Moins bien que "The Land That Time Forgot" mais ça reste bien divertissant.

De 1977 vous comprendrer que les lézard géant ne sont que de grosse maquette mais certain film dont la plupart s'apelle le monde perdue sont encore plus vieux que celui ci et leur dinosaure sont plus distrayant que se la qui font plus penser a des mollusque mais sa aurait peu ètre plus grave si il était au premier plan car se sont les tribu cannibales ou autre qui domine l'action. La scènes de l'avion chassé par un ptéranodon (dinosaure qui vole) est la seul scènes d'action plutot réussi avec un reptile géant .