Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Elle
par Laura Boudoux
La réalisation est fraîche et propre à ces géniales comédies romantiques qui nous ont tenues en haleine dans les années 2000.
La critique complète est disponible sur le site Elle
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce troisième épisode des aventures de Bridget Jones la renouvelle juste assez pour surprendre ceux qui l’aiment sans pour autant lui voler son identité. On se demande à quoi pourrait ressembler une suite où elle se confronterait aux aléas de la vie de maman.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Fadette Drouard
Ce troisième volet des aventures de Bridget nous permet de retrouver une vieille amie, la première des héroïnes imparfaites du cinéma, celle à laquelle tout le monde a pu s’identifier. Avec elle, on retrouve également sa maladresse, sa propension à mettre les pieds dans tous les plats et à regarder le monde avec recul.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La Rédaction
"Bridget Jones Baby" prolonge avec brio la franchise et s’avère fidèle à ses thèmes de prédilection.
Closer
par La Rédaction
Bridget Jones a plus de 40 ans et ne se soucie guère de sa vie amoureuse. Poussée par ses amis, elle succombe pourtant au charme de Jack et revoit Darcy dans le même temps. Puis elle découvre qu'elle est enceinte. Le tout est de savoir de qui...
Femme Actuelle
par La Rédaction
Ne boudons pas notre plaisir de renouer avec ces personnages désormais si familiers lors de retrouvailles hautes en couleur et toujours aussi drôles.
Gala
par La Rédaction
Un triangle amoureux qui nous entraîne dans une chronique légère et souvent délirante de la vie moderne.
LCI
par Marilyne Letertre
Renée Zellweger et Colin Firth séduisent à nouveau dans leur duo d’Auguste et de clown blanc : lui reste irrésistible dans son numéro de dandy british constipé et elle maîtrise toujours sa partition de reine de la boulette.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Deux géniteurs potentiels sont en effet sur les rangs. C’est tout le sel de l’intrigue de ce troisième épisode, qui relance joliment les aventures de la rondelette célibataire en en faisant une épouse et mère. En attendant la suite…
Le Parisien
par Thierry Dague
Revenue aux commandes, la réalisatrice du premier film, Sharon Maguire, retrouve le bon dosage entre comédie romantique et gags.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Mathilde Cesbron
On y allait à reculons en craignant une énième suite ratée, mais ce nouveau volet, qui arrive 15 ans après le premier, est malin et franchement drôle.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par La Rédaction
S'il manque Hugh Grant au générique, Patrick Dempsey apporte son charme. Avec Colin Firth, ils vont s'affronter sur le terrain de la paternité. Dans l'air du temps. Réjouissant.
Paris Match
par Kahina Sekkai
(Une) suite drôlement réussie (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Public
par Florence Roman
Après "L'Age de raison", un "Bridget 2" décevant, quel plaisir de retrouver l'Anglaise excentrique et déjantée chère à nos coeurs !
Télé 2 semaines
par Claire Picard
Bref, un divertissement sympathique, qui a tout d’une madeleine de Proust.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
VSD
par La Rédaction
Malgré quelques longueurs, l'esprit reste fidèle à celui des premiers épisodes et on rit beaucoup de (et avec) cette attachante Bridget.
Voici
par Lola Sciamma
S'il fait bien avouer que Hugh Grant et ses blagues salaces nous manquent, Emma Thompson, en gynéco brute de décoffrage, reprend haut la main le flambeau des répliques les plus drôles. L'âge de raison, c'est pas encore pour maintenant !
Ecran Large
par Grégoriane Benoit
Souvent à côté de ses gags.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
On ne va pas se mentir, c’est de la comédie formatée qui reprend la recette du premier pour la mettre au goût du jour. Mais la sauce prend. Les répliques font souvent mouche, et le duel Colin Firth-Patrick Dempsey est moins caricatural que prévu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Revoilà Bridget, gaffeuse et célibataire. Elle tombe enceinte mais ne sait pas qui est le père. Patrick Dempsey ou Colin Firth? Même condensés en 2 h 02, les neuf mois de grossesse sont un peu longs.
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
L'argument est étiré sur deux heures et deux minutes. C'est moins long qu'une grossesse mais cela use un peu malgré quelques scènes réussies et des dialogues savoureux.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Si le film donne à réfléchir sur l’évolution du modèle familial et s’amuse à critiquer le « jeunisme » au travail, on regrette le petit grain de folie de notre Anglaise préférée et l’humour déjanté de sa bande d’amis peu présents ici.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Le retour de l’icône de la “chick lit” s’accomplit dans une comédie sentimentale sans surprises mais infiniment aimable.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Ce troisième Bridget Jones est sans doute le meilleur de la série. Si, si, vraiment.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Les années ont passé, mais le plaisir de retrouver l'héroïne d'Helen Fielding est intact : l'ADN est inchangé. Renée Zellweger (...) conserve son talent clownesque et canaille pour arbitrer le nouveau duel de ses prétendants (...).
Critikat.com
par Estelle Bayon
Et on rit, pourtant. (...). Mais on rit jaune, trop souvent.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Adrien Morcuende
Cette comédie ne parvient jamais à s’élever au niveau de l’original. La structure du film relève du déjà-vu, le propos n'apporte véritablement pas de souffle nouveau à l'univers Bridget Jones.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Thierry Cheze
Jamais mielleux, le scénario joue joyeusement avec un suspense un peu trop mince pour tenir deux heures, malgré l'abattage de Renée Zellweger.
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
S’il multiplie en surface les signaux de modernité, ce "Bridget Jones Baby" n’échappe pas à une forme d’obsolescence, et semble figé dans des codes datés de la comédie romantique.
Positif
par Eithne O'Neill
Des qualités de production hyper-lisses essaient de maintenir le rythme. La satire du monde de la télévision et des smartphones (...) donnent un certain relief. Mais l'ensemble est une mise en scène de platitudes, thématiques et situationnelles, reprises des films précédents.
Télérama
par Cécile Mury
(...) un troisième film aussi plat que les premiers étaient drôles. La faute à des gags réchauffés et gnangnans — la seule « nouveauté », c'est le brushing de Patrick Dempsey.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
La réalisation est fraîche et propre à ces géniales comédies romantiques qui nous ont tenues en haleine dans les années 2000.
20 Minutes
Ce troisième épisode des aventures de Bridget Jones la renouvelle juste assez pour surprendre ceux qui l’aiment sans pour autant lui voler son identité. On se demande à quoi pourrait ressembler une suite où elle se confronterait aux aléas de la vie de maman.
Bande à part
Ce troisième volet des aventures de Bridget nous permet de retrouver une vieille amie, la première des héroïnes imparfaites du cinéma, celle à laquelle tout le monde a pu s’identifier. Avec elle, on retrouve également sa maladresse, sa propension à mettre les pieds dans tous les plats et à regarder le monde avec recul.
CNews
"Bridget Jones Baby" prolonge avec brio la franchise et s’avère fidèle à ses thèmes de prédilection.
Closer
Bridget Jones a plus de 40 ans et ne se soucie guère de sa vie amoureuse. Poussée par ses amis, elle succombe pourtant au charme de Jack et revoit Darcy dans le même temps. Puis elle découvre qu'elle est enceinte. Le tout est de savoir de qui...
Femme Actuelle
Ne boudons pas notre plaisir de renouer avec ces personnages désormais si familiers lors de retrouvailles hautes en couleur et toujours aussi drôles.
Gala
Un triangle amoureux qui nous entraîne dans une chronique légère et souvent délirante de la vie moderne.
LCI
Renée Zellweger et Colin Firth séduisent à nouveau dans leur duo d’Auguste et de clown blanc : lui reste irrésistible dans son numéro de dandy british constipé et elle maîtrise toujours sa partition de reine de la boulette.
Le Dauphiné Libéré
Deux géniteurs potentiels sont en effet sur les rangs. C’est tout le sel de l’intrigue de ce troisième épisode, qui relance joliment les aventures de la rondelette célibataire en en faisant une épouse et mère. En attendant la suite…
Le Parisien
Revenue aux commandes, la réalisatrice du premier film, Sharon Maguire, retrouve le bon dosage entre comédie romantique et gags.
Le Point
On y allait à reculons en craignant une énième suite ratée, mais ce nouveau volet, qui arrive 15 ans après le premier, est malin et franchement drôle.
Ouest France
S'il manque Hugh Grant au générique, Patrick Dempsey apporte son charme. Avec Colin Firth, ils vont s'affronter sur le terrain de la paternité. Dans l'air du temps. Réjouissant.
Paris Match
(Une) suite drôlement réussie (...).
Public
Après "L'Age de raison", un "Bridget 2" décevant, quel plaisir de retrouver l'Anglaise excentrique et déjantée chère à nos coeurs !
Télé 2 semaines
Bref, un divertissement sympathique, qui a tout d’une madeleine de Proust.
VSD
Malgré quelques longueurs, l'esprit reste fidèle à celui des premiers épisodes et on rit beaucoup de (et avec) cette attachante Bridget.
Voici
S'il fait bien avouer que Hugh Grant et ses blagues salaces nous manquent, Emma Thompson, en gynéco brute de décoffrage, reprend haut la main le flambeau des répliques les plus drôles. L'âge de raison, c'est pas encore pour maintenant !
Ecran Large
Souvent à côté de ses gags.
L'Obs
On ne va pas se mentir, c’est de la comédie formatée qui reprend la recette du premier pour la mettre au goût du jour. Mais la sauce prend. Les répliques font souvent mouche, et le duel Colin Firth-Patrick Dempsey est moins caricatural que prévu.
Le Figaro
Revoilà Bridget, gaffeuse et célibataire. Elle tombe enceinte mais ne sait pas qui est le père. Patrick Dempsey ou Colin Firth? Même condensés en 2 h 02, les neuf mois de grossesse sont un peu longs.
Le Figaroscope
L'argument est étiré sur deux heures et deux minutes. C'est moins long qu'une grossesse mais cela use un peu malgré quelques scènes réussies et des dialogues savoureux.
Le Journal du Dimanche
Si le film donne à réfléchir sur l’évolution du modèle familial et s’amuse à critiquer le « jeunisme » au travail, on regrette le petit grain de folie de notre Anglaise préférée et l’humour déjanté de sa bande d’amis peu présents ici.
Les Fiches du Cinéma
Le retour de l’icône de la “chick lit” s’accomplit dans une comédie sentimentale sans surprises mais infiniment aimable.
Studio Ciné Live
Ce troisième Bridget Jones est sans doute le meilleur de la série. Si, si, vraiment.
Télé 7 Jours
Les années ont passé, mais le plaisir de retrouver l'héroïne d'Helen Fielding est intact : l'ADN est inchangé. Renée Zellweger (...) conserve son talent clownesque et canaille pour arbitrer le nouveau duel de ses prétendants (...).
Critikat.com
Et on rit, pourtant. (...). Mais on rit jaune, trop souvent.
Franceinfo Culture
Cette comédie ne parvient jamais à s’élever au niveau de l’original. La structure du film relève du déjà-vu, le propos n'apporte véritablement pas de souffle nouveau à l'univers Bridget Jones.
L'Express
Jamais mielleux, le scénario joue joyeusement avec un suspense un peu trop mince pour tenir deux heures, malgré l'abattage de Renée Zellweger.
Les Inrockuptibles
S’il multiplie en surface les signaux de modernité, ce "Bridget Jones Baby" n’échappe pas à une forme d’obsolescence, et semble figé dans des codes datés de la comédie romantique.
Positif
Des qualités de production hyper-lisses essaient de maintenir le rythme. La satire du monde de la télévision et des smartphones (...) donnent un certain relief. Mais l'ensemble est une mise en scène de platitudes, thématiques et situationnelles, reprises des films précédents.
Télérama
(...) un troisième film aussi plat que les premiers étaient drôles. La faute à des gags réchauffés et gnangnans — la seule « nouveauté », c'est le brushing de Patrick Dempsey.