Ce fim a très très mal vielli ... des longueurs (et c'est peu de le dire), des dialogues creux ce qui le rend interminable ... Ce qui m'étonne toujoues avec ce genre de film, c'est comment ils ont réussi à se classer dans les intouchables. En effet, il existe plusieurs films nullissimes qu'il est interdit de critiquer en public sous peine de passer pour un inculte (cf les 4 étoiles de la presse) mais pour ce film, il ne faut pas tomber dans ce panneau ... il est vraiment nul.
plongé dans un etat sombre depuis la mort de sa femme, paul (marlon brando) se laisse allé mais du jour ou par hasard il rencontre dans un appartement la belle jeanne maria schneider), paul ne peut se retenir et se laissant emporté par sa fouge, n'etant pas repoussé par la jeune femme, il vont alors vivre un amour fou. emporté par certain demon de son passé qui ressurgisse, il ne peut pas rendre jeanne heureuse qui elle l'aime malgres tous, son amour avec lui permet de s'evadé, de connaitre autre chose, peut l'amour d'un pere... bernardo bertolucci met en oeuvre l'un des film qui a le plus choqué le septieme art, osé mettre une femme a nue, la montré par ces plus belle courbe devant la camera, n'osant pas cahcé la pudeur et le tabou, on y decouvre le jeune française maria schneider dans un role de fille paumé ne sachant pas ou se situé et donnant merveilleusement la replique a l'inimittable marlon brando dans un role torturré par son passé, rentrant dans une folie sexuel.
l'un des plus beaux films d'amour jamais tourné. et brando, bon sang, lui qui était si perfectioniste et si énervé par certains metteurs en scène imbéciles - ce qui n'est bien sur pas le cas ici - pouvait être fier de sa magistrale prestation.
L'expérience primitive de ces deux êtres que tout opposent est inévitablement promis à une fin tragique. "C'est beau sans savoir rien de l'autre" pensait bêtement Jeanne. C'était beau, certes, mais cela menait tout droit à l'échec. L'échec de la dernière danse, un dernier tango où le héros viril, rongé par l'alcool et la folie, perd le sens des pas et du rythme. Ultime danse loupée, le héros n'est plus immortel. Paul quitte la scène. Jeanne, seule survivante de la passion destructrice qui s'est jouée dans le vide de l'existence, s'interroge sur l'identité de cet homme qui n'est plus de ce monde. Bertolucci abuse des travellings arrières, des plans en retrait, de la pénombre et des visages incertains qu'elle crée, pour mieux poser cette question de l'identité: qui sommes-nous et quelle est la véritable nature qui nous agite?
Un film très représentatif de son époque que ce "Dernier Tango à Paris", par Bernardo Bertolucci. Le cinéaste italien s'inscrit en effet dans cette vague des années 70, rebelles, provocatrices, sensuelles, libérées et audacieuses; J'avais apprécié l'hommage rendu à cette époque dans "the dreamers", voici maintenant Bertolucci qui passe d'admirateur d'une époque à créateur admirable s'inscrivant dans cette époque. Finalement Bertolucci réussit un pari dont ont rêvés sans doute beaucoup d'artistes à l'époque : réaliser une oeuvre entière rien que sur base d'un phantasme. Et peut être qu'au fond de nous tous, consciemment ou non, nous avons chacun rêvé un jour d'aimer de la même façon une personne rencontrée au hasard, dont on en connait même pas le nom ? En tout j'ai été personellement très touché par cette idée d'amour complètement à l'écart de la société, des conventions, de la raison. Ce film, c'est comme une ode à la libération de toutes les pulsions, même les plus animales. Et le renoncement à toute forme de raison. Intéressant de voir à ce sujet le travail sur les mots, avec des dialogues parfois volontairement absurdes, jusqu'à la célèbre séquences où les deux héros imitent des cris d'animaux. Bertolucci filme de façon très réussie les passions, même si parfois le rythme du film se fait lent, et la banalité des dialogues nuit à certains passages. Inutile de revenir sur le couple mythique formé par Brando et Schneider, deux rôles difficiles et osés qui sont interprétés parfaitement. Sans oublier le personnage de Jean-Pierre Léaud, intéressant, qui trace peut être le lien entre Bertolucci et la Nouvelle Vague. "Le dernier tango à Paris", film qui peut choquer, dégouter, mais aussi passionner comme ce fut mon cas !
completement en desacord avec ce film et totalement decu !! aimant le cinema je n'y trouve pas grand chose meme en cherchant bien et c par parce que un film fait scadale q'il est forcement bien ?!! ici desole c'est ce cinema italien que je n'aime pas du tous c d'une lourdeur; c pesant tous le long du film admiratif de brando je trouve ce personnage bien joué mais d'une pauvrete et l'actrice est pas forcement talentueuse aussi un peu nunuche !! l'histoire est d'une nullite c affligeant deux inconus qui se reproduisent en gros durant deux heure dans un appart moisi mais meme l'evolution de ce couple ; des evenements autours ... ben c inutile sa ne bonnifie jamais l'histoire elle cale !!meme brando veut plus voir ce film !! llooll et je crois que ce film est connu des gens car il a heurte des sensibilites autrefois par sa "scene" ( qui ma foi aujourd'hui est benine) il est plus decris come un film choc d'une generation que un classique !!et il y a la une difference au cas ou !! et je trouve que meme le probleme aborde ici d'une generation qui se decouvre a une certaine liberte sexuelle ,une ouverture des mentalités ... est mal retranscrise. je l'aurai vu mais ces deux heures ont ete tres ennuyantes pourtant j'aime voir ces films qui ont fait parler les generations passées et me mettre a leur place mais la je comprends pas aucun interet !!! c dur de mettre un zero etoile a dieu brando lllooll
Plutôt écoeuré de voir Marlon Brando dans ce film. Je n'aimais pas le scénario à la base et la bande-annonce ne m'a pas non plus attiré. En fait, j'ai vu le film dans un "top 100" et ai décidé de visionner. En lisant dans les anecdotes que la scène du beurre était inattendue pour la jeune actrice, cela m'a encore plus écoeuré. S'il s'agit là d'un fantasme du réalisateur, il a su mettre en pellicule ce qu'il avait dans la tête. Bravo pour cela, même si on aurait préféré que ça n'en sorte pas. 1 pour la scène finale que j'ai visionné plusieurs fois et qui est un juste retour des choses.
En tout cas le meilleur rôle de Marlon. Une performance d'acteur qui doit toucher chaque être humain, avec ses forces et ses faiblesses. J'en pleure encore.
Un film choc qui a secoué comme rarement à cause de son coté sulfureux . Brando trouve là un rôle à sa mesure ou plutôt sa démesure , et certaines scènes sont passées à la postérité. Un véritable film culte à l'érotisme troublant .
Marlon Brando est exceptionnel dans ce film qui fait parti du très grand cinéma des 70's. Bertolucci mérite d'être cité comme l'un des plus grands réalisateurs italiens.
Connu pour le scandale qu'il a provoqué lors de sa sortie et pour le succès qui a bien évidemment suivi, "Dernier Tango à Paris" est un film qui m'a franchement déçu. Il faut bien dire ce qui est, je me suis souvent ennuyé à cause d'innombrables longueurs et de scènes franchement inutiles. Si Bertolucci ne nous épargne pas la crudité habituelle de son oeuvre, les ans ont faits que le parfum sulfureux de son film s'est très fortement évaporé malgré une ou deux scènes chocs comme celle du beurre. Reste Paris qui a rarement été aussi bien filmé et la confrontation entre la quasi-débutante Maria Schneider et le mythique Marlon Brando, dont la crudité du dialogue reste assez mémorable. Mais comme je l'écrivais au début, une déception de la part du réalisateur qui a fait beaucoup mieux avec des chefs d'oeuvre comme "1900" ou encore "Le Dernier Empereur".