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    Le Dernier Tango à Paris
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    Max Rss
    Max Rss

    199 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 mars 2019
    En voilà un film qu'il a fait parler de lui. Serait-il utile de rappeler le tollé qu'a provoqué cet objet lors de sa sortie en salles ? Je ne crois pas non. Seulement, il y a une question (primordiale ou non) à se poser : un film autour duquel il règne un parfum de scandale est-il forcément un bon film ? La réponse est très clairement non. Et ce "Dernier tango à Paris", en est une preuve parfaite. Réalisé par Bertolucci (en gros pas n'importe qui), ce film s'avère être une parfaite alternative à la consommation de somnifères. Bon sang, qu'est-ce que ça peut être long, lent et surtout sans le moindre intérêt. Où a voulu en venir le cinéaste italien ? Montrer jusqu'où peut aller une relation qui n'est que charnelle et fusionnelle? Jusqu'où peut-aller une histoire d'amour impossible ? Si telles étaient les questions (bonnes d'ailleurs) que se posait Bertolucci, il faut quand même avouer qu'il se prend les pieds dans le tapis et s'éclate méchamment la caboche par terre. En tout et pour tout, trois scènes de sexe ( spoiler: dont celle où une certaine plaquette est utilisée comme lubrifiant
    ), qui n'ont d'ailleurs rien de vraiment choquant. Le reste ? Du vide, encore et toujours. Du blabla qui devient vite saoulant et des scènes qui tirent en longueur jusqu'à l'extrême. Et puis, y a pas à tortiller, ça fait quand même mal au cœur de voir Marlon Brando dans un truc pareil. Et le charme de Maria Schneider n'y change rien non plus. Mon avis est sans doute définitif : ce film est purement et simplement une horreur à fuir comme la peste.
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    75 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 avril 2017
    Dernier tango à Paris est typiquement le genre de films où les relations sexuelles sont filmés avec beaucoup de réalisme et où le sexe féminin est exposé en permanence pour dire que "c'est un film controversé". Or il ne suffit pas d'afficher des relations sexuelles à l'écran pour un films provocateur d'autant plus qu'à côté de ça, le métrage est vide. La relation entre les deux amants n'est pas crédible une seconde, les dialogues sont plats et l'intrigue incroyablement molle. Ce film est un grand raté et ne représente que deux heures d'ennui pour le spectateur.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    195 abonnés 2 511 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 mars 2017
    Dernier Tango à Paris est un film qui ne m'a pas du tout séduit.
    Je n'ai jamais vraiment aimé ce genre de film, où il est assez difficile de déterminer dans quelles mesures les relations sont consenties, ce qui peut laisser perplexe, voire perturbé.
    Les acteurs sont assez intenses dans leur jeu. Marlon Brando est excellent. Maria Schneider se débrouille plutôt bien même si elle est dominée (sur le plan du jeu d'acteur) par Brando.
    Mais en dehors de ça, je n'ai pas accroché du tout. Les personnages sont très peu appréciables, pour ne pas dire détestables dans le cas du personnage de Brando. Du coup, aucun ne m'ont vraiment intéressé.
    Les scènes de sexe sont plus dérangeantes qu'excitantes, et par ailleurs peu intéressantes sur le plan narratif ou psychologique. Donc, elles n'ont aucun intérêt.
    L'histoire est plutôt absente, ou alors assez incompréhensible. Il n'y a pas vraiment de drame. À force de jouer entre le drame et l'érotique, le film ne se trouve pas.
    Bref, un classique qui n'est pas du tout à mon goût.
    Wagnar
    Wagnar

    82 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 février 2017
    Ça, une grande histoire d'amour ? Ça un chef-d'oeuvre ? Vraiment, ce film ne mérite pas toutes ces critiques dithyrambiques qu'on lui accorde. Ce n'est rien qu'un film déprimant, obscène, vide, inutilement cru et complaisant. Quant à la scène du viol avec le beurre, c'est juste d'un mauvais goût achevé et je pense que c'est tout ce que la plupart des gens ont retenu de ce film. Faut arrêter de croire qu'un film provocant et polémique est par déduction un chef-d'oeuvre.
    Matis H.
    Matis H.

    21 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 janvier 2017
    Au final, "Dernier Tango à Paris" se révèle bien loin de sa réputation sulfureuse. Alors, j'ai beau ne connaitre absolument pas le cinéma de Bertolucci, si ce n'est des vagues souvenirs de "Innocents", je m'attendais tout de même à largement mieux.
    Car il faut le dire, ce long-métrage est extrêmement inégal.

    Pour commencer, la narration est problématique car elle semble s'articuler autour de saynètes, qui ne semble pas avoir de lien logique entre elles et donc l'impact se trouve souvent diminué par ce qui se trouve avant ou après ce que l'on vient de voir.
    Il est toutefois impossible de ne pas trouver la relation entre Brando et Schneider passionnante, car elle est vraie, sans fioritures bien que Brando semble être absent durant certains instants.
    Cependant, le cinéaste prend une telle distance avec ces protagonistes que rien ne parvient à émouvoir, nous les observons avec un voyeurisme malsain sans jamais vraiment être concerné par l'impact que ce qui ce passe aura sur eux.
    Et c'est cette distance qui rend aussi tout les passages qui ne concernent pas ce couple si ennuyeux et superficiels, la relation entre Schneider et son compagnon est risible au possible tant tout suinte le faux, alors même que le propos du film est là.

    Car oui, c'est de cela dont parle "Dernier Tango à Paris", le redécouverte de l'amour, dans ce que cela a de passionnel, très loin de l'image mortifère et fonctionnelle que l'on peut en avoir.
    Alors certes l'exécution est parfois hasardeuse, comme avec Tom, mais elle se révèle aussi fabuleuse dans certaines scènes, à l'image du dit Tango, moment du grâce durant lequel tout ces couples déshumanisés et figés comme des automates se choquent de voir l'amour volatile de Brando et Schneider.
    C'est dans ces instants que Bertolucci réduit la distance entre nous et les protagonistes, bien plus que dans la représentation répétitive des scènes de sexe.

    Toutefois, sur ce point, on ne peut pas enlever à l'italien son sens de la mise en scène lorsque cela concerne deux corps qui se désirent, il parvient à faire ressentir toute cette tension, c'est fabuleux.
    Le long-métrage est donc tantôt touchant, tantôt ennuyeux car tout devient étrangement plat et artificiel, et, bien que cela puisse être un choix afin de renforcer son propos, la trop grande distance prise par le cinéaste rend le décalage trop important pour s'y intéresser.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 069 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 décembre 2016
    Je mentirais en disant que j'ai été passionné par ce film, au contraire, j'ai trouvé ça assez long pour finalement pas grand chose.

    Alors le film est bien loin de sa réputation sulfureuse, j'ai trouvé ça étonnamment sage et posé contrairement à ce que l'on peut entendre sur le film ici et là. Ce n'est pas un mal, c'est juste un constat, mais disons que de l'auteur des Innocents j'en attendais un peu plus. D'ailleurs je ne comprends pas les politiques à l'époque sur ce film, c'est avant tout un terrible drame humain, qui n'a pas forcément pris chez moi, qui a malgré tout de nombreuses qualités.

    Je trouve la relation entre les personnages, du moins entre Brando et Schneider assez juste dans ce petit jeu de je t'aime, moi non plus, par contre j'ai un peu de mal avec l'exécution. Il manque un petit quelque chose je dirai, quelque chose qui viendrait lier les scènes entre elles, ici j'ai l'impression que chaque scène est posée l'une à côté de l'autre, ce qui fait qu'on passe un peu du coq à l'âne et que voir Brando pleurer sa femme décédée c'est un peu troublant parce que le film n'indique pas trop ce qui s'est passé, qui sont ces gens, quelle relation ils peuvent avoir entre eux... et d'habitude si j'aime bien est un peu désarçonné j'ai surtout été désappointé, parce que je ne vois pas en quoi je devrais m'y intéresser.

    Que je m'intéresse à Brando et sa relation avec la jeune fille, ok, très bien, mais cette sous-intrigue là semble sortir de nulle part. Alors oui, ça explique des choses sur sa personnalité, mais ça rallonge surtout le récit d'un truc pas forcément utile. On pouvait le comprendre autrement.

    Et c'est pareil avec la relation Schneider Léaud qui semble assez artificielle à côté de la celle entre Brando et Schneider, puisque Léaud est l'opposé de Brando, il crie, il gesticule, on dirait un spaghetti, Brando, c'est un bloc de granite posé sur le sol qui mange du fromage en grommelant.

    Même si je trouve la relation bien écrite, à l'écran ça rend parfois bien, lorsqu'ils se racontent des trucs à moité nus (enfin surtout Schneider, Brando ne se désape pas), lorsqu'ils s'engueulent ça passe bien aussi, mais sinon je dirai qu'il manque une alchimie, j'ai l'impression qu'un truc cloche, qu'un truc n'est pas vrai, ce qui fait que progressivement je m'en détache aussi.

    Donc je suis assez partagé.

    Un truc qui illustre mon partage c'est cette fameuse scène de sodomie au beurre, dans laquelle on ne voit rien... beaucoup de bruit pour rien... il ne prévient pas l'actrice pour que sa réaction soit réelle, très bien, les acteurs traitons-les comme du bétail, rien de mieux que d'arrêter de faire semblant. Mais pourquoi se taper alors ce plan bien artificiel où un luminaire ou je ne sais plus quoi cache pile les fesses de Brando ? tout à coup il y a un sursaut d'artificialité qui moi me sort du film et qui me dit : cinéma... c'est du chiqué... ce qui paradoxalement déteint sur la scène d'avant où les larmes paraissent finalement bien moins naturelles.

    Et autant je trouve que Brando a un charisme certain avec ses cheveux un peu long, son air négligé alors qu'il porte des vêtements assez chers, mais je crois que je n'aime pas son jeu. Ce n'est pas la première fois où finalement il ne me convainc pas. Tout ça aurait aussi pu être plus violent, la gueule de Brando peut catalyser la violence mais finalement j'ai un goût d'inachevé, que tout ne va pas aussi loin que ça aurait dû, ce qui fait que la fin ne fonctionne pas du tout sur moi.

    Bref, c'est pas mauvais, mais c'est pas fou non plus...
    petkovic
    petkovic

    23 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 novembre 2016
    Ce film n'a d'érotique que le nom. Il ne parle pas d'amour, même au sens surréaliste du terme, et encore moins de désir. La réalisation et les acteurs sont exemplaires, mais l'histoire elle-même est un navet. La fin du film en est l'ultime preuve. Ce dernier tango n'avait rien pour me plaire.
    Redzing
    Redzing

    1 120 abonnés 4 471 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 août 2016
    Un Américain paumé rencontre par hasard une jeune française, et débute avec elle une liaison torride, sans que l'un ne sache quoi que ce soit de l'autre. "Ultimo tango a Parigi" fit scandale à sa sortie, en raison de ses nombreuses scènes de sexe explicites, de sa nudité, de ses dialogues crus, et de la relation explosive entre le réalisateur et les deux acteurs principaux. Aujourd'hui, tout ceci a allègrement perdu de son impact, et l'ensemble tient plus de la provocation vieillotte que du drame d'envergure. La mise en scène tient la route (Bertolucci n'est pas n'importe qui !), avec des plans urbains travaillés, et une jolie lumière pour les scènes d'intérieur. Et Marlon Brando est excellent spoiler: en veuf déboussolé par la mort de sa femme
    , qui se veut dominateur avec cette maîtresse nouvellement acquise et ses dialogues francs. On n'en dira pas autant de Maria Schneider et Jean-Pierre Léaud, aux performances peu naturelles. Par ailleurs, la grosse faiblesse du film est son intrigue très lente, qui n'évolue vraiment que dans le dernier acte. A tel point que le sujet aurait pu faire l'objet d'un court métrage. Pas grand chose à se mettre sous la dent.
    pierrre s.
    pierrre s.

    430 abonnés 3 305 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 juin 2015
    Une vraie histoire d'amour, qui transcende les codes du genre, afin d'offrir un très beau film, porté par d'excellents acteurs.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 mai 2015
    Ce film est, à mon avis, le plus personnel qu'ait pu faire Marlon Brando. Il s'y livre comme jamais dans un autre film (excepté dans le documentaire qui va sortir : Listen to me Marlon). Le film relate l'histoire d'un homme dévasté par le suicide de sa femme et qui se réfugie dans les bras d'une jolie jeune femme. La tension entre les deux est très forte et ce, dès les premiers instants. Pourtant, à aucun moment dans le film on ne les imagine ensemble. C'est ce qui fait la force de ce film, cette tension n'en finit pas. On espère, tout de même, que Paul trouvera du réconfort auprès de Jeanne, mais elle est jeune et volatile et lui indécis. Dans ce film on ne peut pas distinguer le vrai du faux, tout se confond, y compris les corps. Il a marqué le début d'un genre nouveau au cinéma, Bertolucci n'a pas peur de filmer la nudité des corps et de montrer la tension qui existe dans ce duo. Je pense que ce film permet d'ouvrir l'esprit, de déranger et de faire réfléchir. Je crois que ce sont les raisons de l'existence et de la perpétuité du cinéma.
    Cthulhu Mantis
    Cthulhu Mantis

    26 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 avril 2015
    Un des premiers films de Bertolucci qui allez faire scandale, il y'avait eu Le Conformiste avec Jean-Louis Trintignant ou il y'avait déjà ce fameux style qui n'appartient qu'a lui et qui continuera d'approfondir durant tout le reste de sa longue et incroyable carrière.

    Pour certain il y'a un certain érotisme RTL 9 mais je trouve qu'il s'y dégage une sensualité qu'il n'y a certainement pas comme dernièrement cinquante nuance de greys par exemple.

    Un film qui à l'époque à osé, fait outrage sans nul doute avec la crudité de ses dialogues et sa nudité fréquente alors qu'il y'a bien plus choquant aujourd'hui. Je peux comprendre pour certains qu'il peut y'avoir certaine longueur après les goûts et les couleurs.

    Peut être aujourd'hui il passe moins bien avec Marlon Brando qui campe un de ses meilleurs rôle en incarnant un américain perdu, dépressif et fatigué à la fois misogyne et masochiste.

    Il est très intéressant de voir que le film reflète la transition de l’après 68, de la révolution sexuelle. Il montre aussi l'explosion du féminisme par l'intermédiaire de Maria Schneider qui revendique sa liberté et sa montée en puissance au fur et a mesure que le film arrive à sa fin et sa dangerosité.

    Les féministes y verront de la violence gratuite et désolante faites aux femmes donc la consécration se trouve avec sa scène du beurre qui continuera de faire frémir.

    Encore une fois un Jean-Pierre Léaud toujours aussi étonnant qu'inattendue dans le rôle du fiancé de Jeanne en cinéaste en arrière plan du couple Brando/Scneider. Toujours si présent et absent à la fois.

    C'est aussi un film avant tout sur l'incommunicabilité entre deux êtres qui vont se déchirer jusqu’à saturation.

    Un vraie coup de cœur également a la bande original sensuel et enivrante de Gato Barbieiri qui me colle encore aux tympans et ne font que renforcer l’émotion et l'intensité des scènes du film.

    Passionnant, sombre, un de mes films préférer et inoubliables.
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 juillet 2014
    Bien souvent, on aime ou on déteste ce long-métrage controversé de Bernardo Bertolucci, qui il est vrai ne fait pas dans la demi-mesure. Surfant sur la vague de la libération sexuelle post-68, et s'armant du récit d'une romance passionnelle entre un quadra en plein deuil et une jeune femme en pleine recherche amoureuse et de repères pour matérialiser la décadence d'une société dont les limites s'effritent et les extrémités où mènent les passions quand elles ne sont pas cadrées. Un propos un brin ringard et pas forcément si futé que ça, qui force presque à s'intéresser uniquement à la romance pure sans prendre en compte tous ses tenants et ses aboutissants. Dès lors, ça ne peut pas marcher, tant la trame, les dialogues et les personnages sont labiles et instables. Il y a bien cette puissance macabre, ce désespoir ambiant, ce sentiment d'isolement moral et psychologique amené par des visions déformantes et des jeux de mouvement idoines. Mais à côté de ça, certains aspects frôlent le ridicule, d'autres le dépassent (le personnage de Jean-Pierre Léaud) et Maria Schneider est écrasée par Marlon Brando dans un couple de cinéma dysfonctionnel, trop même pour le couple masochiste et destructeur qu'il est censé représenter. La faute n'en revient pas à la première, assez juste, mais au second. Le géant Brando, dont les grandes heures étaient déjà passées, offrait entre plusieurs frasques des prestations toujours plus grandiloquentes. Celle-ci, d'une intensité morbide sidérante, comporte tout à la fois prétention, cabotinage et talent. En roue libre, Brando vampirise l'attention et déséquilibre un film dont je ne retiendrai probablement que son aura, ainsi que quelques scènes cultes mais plutôt vaines et impuissantes. Bref, un ensemble extrêmement délicat à appréhender.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 avril 2014
    Parce qu'il s'agit de l’œuvre la plus aboutit et controversé du maître Bertolucci, parce qu'il y a le charisme de Brando allié à la grâce de Maria Schneider. Parce que l'amour ne peut se mêler à la passion, parce qu'il y a tout au long du film une photographie sublime et une atmosphère érotico-violente qui nous retient. Absolument magistral, Vertigineux, Magnifique!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 mars 2014
    Le dernier tango à Paris fait partie de ces films portant l'étiquette "chef d’œuvre absolu du 7ème art". On se demande bien pourquoi, c'est un vrai mystère. Étant relativement cinéphile, et avec plein d'attentes, je me "devais" de le voir. Grosse déception, quel ennui! Malgré la tension sexo-sensuelle entre les deux personnages et leur relation soi-disante passionnée, c'est très mou et pas très passionnant. Limite, on se fiche de ce qui leur arrive. Bon ok la passion, l'amour-haine ça rend fou, versatile, méchant, cruel mais ici il n'y a aucune cohérence ou crédibilité dans les émotions ou réactions de Paul et Jeanne. Heureusement il y a le jeu et le charisme de Brando pour sauver le film du naufrage, lui donner du peps, bien qu'il soit parfois sur la corde raide, à la limite du cabotinage. Maria Schneider a un côté très agaçant et que dire de Jean-Pierre Léaud. Son rôle de cinéaste français est tellement cliché, ridicule.
    Hotinhere
    Hotinhere

    555 abonnés 4 963 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 décembre 2019
    Film controversé à sa sortie, Le dernier tango s'impose aujourd'hui comme un classique du cinéma d’auteur. Une œuvre désenchantée, âpre et malsaine, portée par l’interprétation remarquable du duo Brando/Schneider.
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