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Un visiteur
4,0
Publiée le 10 août 2011
les illusions perdues c est un peu l histoire de l être humain sans cesse a rêver d un monde meilleur rêve qui disparait avec le temps qui passe, le dur visage de la vie qui est une claque pour la plupart d entre nous
Je ne vais pas le cacher, je m'attendais à mieux de ce film, je m'attendais à un autre univers, mais c'est pas si mal, ce film montre à quel point la vie peut être dure et surtout cruel. L’univers de Macadam Cowboy est assez varié, il y de l'amitié, de la tristesse...Et aussi cette étrangeté. Ce film est assez étrange mais il n'empêche pas qu'il est bien, mais je suis déçu.
Premier film classé X aux États-Unis (chose qui fait vraiment sourire aujourd’hui) à remporter l’Oscar du meilleur film, Macadam cowboy est devenu culte pour le côté révolutionnaire de l’époque, aujourd’hui sa réputation semble être trop grande. Pour moi ce film est surestimé, la réalisation n’a rien d’incroyable, les flashback répétitifs n’apportent pas grand-chose, le scénario n’est pas non plus transcendant, heureusement il reste l’interprétation parfaite des deux acteurs principaux. Jon Voight est très bon dans son personnage de cowboy rêveur et naïf, tandis que Dustin Hoffman est assez génial comme petit arnaqueur minable. La musique Everybody’s Talkin de Fred Neil m’a beaucoup plu ainsi que certaines scènes, ma préférée restera celle ou Hoffman voyant Voight aller dans un hôtel pour femme pour faire son job de gigolo, s’imagine au soleil avec la belle vie, plus de soucis à sa jambe, avant que son imagination aille de pire en pire en voyant Voight se faire virer de l’hôtel, une scène géniale. Au final un bon film, simplement.
Un grand classique qui est une vive critique de l'Amérique de l'époque et de son Amercan Dream. Le propos y est amer et on suit avec pitié la lente déchéance de ses deux personnages certes malhonnêtes et parfois antipathiques mais assez attachants, incarnés par 2 grands acteurs, Jon Voight et Dustin Hoffman.
Le film est assez dur mais il est subtil. Si l'atmosphère dans laquelle évoluent les deux protagonistes peut être parfois très désagréable, ce NY sale et peu avenant, on finit par s'attacher à ces deux pommés, seuls, qui passent finalement un bout de chemin ensemble. Un plus pour D. Hoffman
Macadam Cowboy est un film intéressant qui nous plonge dans le milieu de la prostitution masculine, un sujet rarement abordé, qui prend place ici dans le New York des années 60. C'est également un film sur l'amitié qui lie deux hommes incarnés par Jon Voight et Dustin Hoffman. Le premier joue particulièrement bien son rôle. La mise en scène est assez innovante, avec par moments des bribes d'images qui surviennent en rafale en guise de souvenirs ou de projections dans l'avenir et parfois simultanément, ou encore en guise d'hallucinations euphoriques ou cauchemardesques. D'une manière générale, Macadam Cowboy laisse entrevoir dans un monde sinistre et inquiétant un soupçon de loyauté et d'espoir.
Macadam Cow boy, ou la tentative d'insertion d'un cow boy texan dans la société moderne. On est forcé de constater que le sujet n'y va pas par quatre chemins et commence dès le départ à envoyer dans la mur notre héros, qui ne connaît rien au métier de gigolo et qui va peut à peut se faire manger par cette société inconnue. Très vite, il doit faire de sévères concessions, allant jusqu'à oublier ses goûts hétérosexuels. Tous ces enjeux sont plutôt bien mis en valeur, et les acteurs sont bien dirigés. Après ça, il n'y a pas grand chose à ajouter, une facture classique, un dénouement qui fuit, quelques longueurs comblées par du dialogue... Drame des années 70.
Un classique,un chef-d'oeuvre.Un film culte sur un cow-boy prostitué de John Schlesinger.Une histoire originale,forte et émouvante,une musique légendaire,une mise en scène superbe,John Voight est génial et Dustin Hoffman est parfait.
Une satire urbaine capillo-tractée mettant en scène un cul-terreux du Texas, mignon mais ô combien cupide, orgueilleux et surtout naïf. La première demi-heure est plutôt plaisante. On découvre notre petit cowboy qui, arrivant à New-York la fleur au fusil, se fait marcher sur la gueule à tous les coins de rue. Le film balance alors entre comique et pathétique. Les quelques flash-backs qui émaillent cette première partie permettent de relancer régulièrement l'intérêt du spectateur. Le côté farfelu des personnages croisant la route du héros laissent toutefois le spectateur sceptique. Dans la seconde partie du film, Dustin Hoffman occupe plus intensément le devant de la scène. Paradoxalement, "Midnight cowboy" devient dès lors soporifique. Le scénario s'enlise complètement, il ne se passe quasiment plus rien. Le final n'est pas trop mal mais ne sauve en rien l'intérêt film. Du coup, on peut légitimement se demander ce qui est le plus étonnant : que "Midnight cowboy" ait été classé dans la catégorie films pornographiques à sa sortie, ou alors qu'il ait reçu la bagatelle de trois oscars en 1970 ? Dans une Amérique puritaine, les deux sont probablement liés...
Malgré un scenario plaisant et des acteurs convaincants, le film se prend dans des écueils pourtant facilement évitables. Prenant rapidement du côté du mélo, on a du mal à s’attacher à ce duo charmant, mais trop pathétique. Et pourtant, la prostitution masculine était vraiment un thème fort à aborder avec moins de tragédie et plus de réalité, de dureté. Un revêtement global plus sombre aurait sans doute encore plus pris le spectateur aux tripes. Selon moi ce film ne va donc pas au bout de ses pensées, et est donc raté dans ce sens.
L’histoire de ces deux inadaptés, qui auraient pu passer une vie solitaire s’ils ne s’étaient pas rencontrés, est touchante et terriblement triste. Ceux qui veulent leur dose d’optimisme peuvent passer leur chemin. La fin est magnifique. Cependant, l’ennui nous guette par moments, et on se demande où veut nous emmener le réalisateur. Dustin Hoffman est impressionnant, j’ai préféré son personnage à celui de Jon Voight, qui s’en sort aussi très bien.
Un film plutôt étonnant de part son intérêt et de son message . Dans un premier compte , Macadam Cowboy s'octroie un principe simple : New York est la ville du succès, de l'argent ; seulement au cours du film , deux personnages sympathiques s'allient pour le bonheur du public , car d'un côté un personnage sûr de soi , séducteur , de l'autre un homme simple , calme , mais trop complexé . Deux personnages atypiques , joués par deux grands acteurs ; Dustin Hoffman pour un prestation 5 étoiles et Jon Voight pour une interprétation , un peu en dessous de celle de Dustin mais toujours bonne . Un film qui vaut le détour, avec une misère accrue , mais reprise d'une manière plutôt classique , et décontractée , aux regards du scénario . Des scènes époustouflantes , comme celle de la soirée , où celle des ébats de Joe . En tout cas , la fin est prévisible , mais on peut pas goûter au fait que les 2 personnages sont attachants ...
En voyant ce film, on comprend pourquoi il est devenu un classique. Il y a une histoire, tragique, drôle, terriblement humaine. Il y a aussi et surtout les deux marginaux, inadaptés socialement, qui font à la fois pitié, sourire et pleurer. Ils ont une épaisseur, une histoire, racontée en flashs pour le cowboy Jon Voight. En plus de nous emmener du Texas en Floride, en s'arrêtant longuement dans le New York de 1969, Schlesinger y ajoute des images, énormément, beaucoup de détails qui sont là si l'on veut bien les voir. C'est une vraie photographie d'une époque. Et le montage est impressionnant, les effets visuels font "old school" mais sont tellement beaux. On ajoute encore la chanson de Nilsson "Everybody's talkin' " et de l'harmonica (eh oui ! c'est un film de cowboy aussi) qui restent en tête.
Avec son visage de poupée, son allure naive, Jon Voight débarque à New-York, avec derrière lui ce passé trouble, psychédélique. Et alors là commence une précarité qui rend les images sales et difficiles, une précarité ponctuée par le soleil, celui dont les deux amis rêvent, par la richesse, celle qu’ils tentent de fréquenter, l’art, qu’ils ne comprennent pas. Macadam Cow-boy est une histoire d’amitié, on l’avait compris, mais aussi une histoire de désillusion, de beauté qui ne mène nulle part.
Un des film qui prouvent que john voight peu être un excellent acteur. Ce film est un drame qui suit le parcours de deux paumés dans la big apple et qui essayent de s'en sortir plus ou moins bien. A voir.