Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Le Figaro
par Louis Chauvet
John Schlesinger tire le film le plus cocasse et le plus amer que l'ont ait vu ces dernières années. Le Figaro, 20 octobre 69
Le Monde
par Jean De Baroncelli
Les interprètes sont parfaitement dirigés, Jon Voight fait d'excellents débuts dans le rôle du cowboy et la composition de Dustin Hoffman sous les traits du clochard souffreteux et boiteux confirme le talent de ce comédien révélé par "Le Lauréat". Le Monde, 21 octobre 69
Les Echos
par A.C.
"Macadam Cowboy" est un film éprouvant, certes, mais un très bon film. Les Echos, 24 octobre 69
Positif
par Michel Pérez
Le parti pris moderniste de Schlesinger enlève tout sérieux à son film, c'est indiscutable, mais il le sauve de l'ennui et du ridicule. Positif 111, décembre 69
Le Journal du Dimanche
par Michel Aubriant
Plus que cette ambiguïté, qui permet à Schlesinger d'aligner des scènes d'un réalisme assez salace, me gênent les complaisances et les coquetteries d'une réalisation dans laquelle se retrouvent tous les artifices et tous les trucs d'un cinéma faussement moderne, enjôleur et racoleur. Le JDD, 27 octobre 69
Le Figaro
John Schlesinger tire le film le plus cocasse et le plus amer que l'ont ait vu ces dernières années. Le Figaro, 20 octobre 69
Le Monde
Les interprètes sont parfaitement dirigés, Jon Voight fait d'excellents débuts dans le rôle du cowboy et la composition de Dustin Hoffman sous les traits du clochard souffreteux et boiteux confirme le talent de ce comédien révélé par "Le Lauréat". Le Monde, 21 octobre 69
Les Echos
"Macadam Cowboy" est un film éprouvant, certes, mais un très bon film. Les Echos, 24 octobre 69
Positif
Le parti pris moderniste de Schlesinger enlève tout sérieux à son film, c'est indiscutable, mais il le sauve de l'ennui et du ridicule. Positif 111, décembre 69
Le Journal du Dimanche
Plus que cette ambiguïté, qui permet à Schlesinger d'aligner des scènes d'un réalisme assez salace, me gênent les complaisances et les coquetteries d'une réalisation dans laquelle se retrouvent tous les artifices et tous les trucs d'un cinéma faussement moderne, enjôleur et racoleur. Le JDD, 27 octobre 69