Avis : Mute - Page 2

Pour dire les choses simplement Mute n'aurait jamais dû être fait. La performance de Skarsgård est la seule raison pour laquelle je lui donne une étoile et demi. Il se présente et tente de jouer une performance sincère et crédible pour un scénario horrible dans un lieu inutilement absurde Berlin. Le reste des acteurs jouent des rôles pour lesquels ils n'auraient jamais dû être choisis. Ensuite il y a l'intrigue. Le seul personnage dont les actions et les motivations ont un sens est le personnage principal qui a un but unique qui est retrouver sa petite amie qui a disparu. Le reste des personnages sont mal écrit et mal exécuté. En guise de profondeur ils donnent à chacun des antagonistes non pas un mais deux traits de personnalité. Le personnage de Paul Rudd se soucie suffisamment de sa fille pour surveiller sa consommation de sucre et c'est un chirurgien sociopathe au service de la mafia qui tue la mère de sa fille parce que on veut l'enlever ce qu'ils n'expliquent jamais le comment ni le pourquoi. Son complice dirige une clinique où il équipe des enfants de prothèses. Et lorsque le personnage principal tue le personnage de Rudd il l'assomme et lui pose une boîte vocale avant de tenter de le tuer pourquoi exactement on n'en sait rien car en fait cette histoire n'a aucun sens...

Ces dernières années, avec Bong Joon-Ho et Martin Scorsese, Duncan Jones faisait partie de ces grands noms que Netflix était parvenu à attirer dans son giron pour mener au mieux son « offensive » dans le domaine du septième art. Une démarche qui a su efficace de la part du distributeur américain en ce qui me concerne puisque je fais partie de ces gens qui suivent de près l’activité du talentueux Duncan. Du coup, vous pensez bien : je me suis précipité pour le voir ce fameux « Mute »… C’est donc enthousiaste que je me suis rué dessus et que… Et que… Et que depuis je me pose beaucoup de questions à son sujet. En fait je ne comprends pas ce film. Ou pire, disons plutôt je ne comprends pas la démarche de l’auteur à travers ce film. Parce que bon, c’est d’une vacuité ! Alors la tragédie dans toute cette histoire, c’est que les dix premières minutes intriguent pas mal. C’est beau. Ça parle d’Amishs dans le futur. Et ça pose tout de suite le concept de mutisme. Je ne sais pas vous, mais moi, avec ça, j’ai déjà pas mal de choses qui fleurissent dans mon esprit. Forcément, l’association Amish / futur peut questionner notre rapport à la technologie. Idem, pour ce qui est du choix du mutisme – parce que c’est un choix ! (le héros pourrait se faire opérer une fois devenu adulte mais il ne le fait pas). Je me dis qu'un tel sujet ouvre pas mal de possibilités en termes de démarche formelle originale (L'idée que certaines choses peuvent se passer de mots, etc...) Bref, beaucoup de choses alléchantes pour au final n’avoir rien de tout ça ! Le film est long, très long, et plus il s’étire plus il abandonne ce qu’il a posé en introduction. Progressivement, le film s’enlise dans une intrigue très bas de gamme, incroyablement classique, incroyablement plate, et surtout animée par des personnages incroyablement simplistes. Au fond, Leo n’est qu’un amoureux transis qui cherche à retrouver sa nana ; Cactus n’est qu’un déserteur qui cherche à rentrer chez lui avec sa fille ; Duck n’est qu’un pédophile qui cherche à tripoter des petites filles… Basta. Rien de plus. Alors que ce soit plat, c’est une chose, mais ce qui est vraiment triste là-dedans c’est de constater à quel point tout ce déballage technique et scénaristique n’est au fond qu’un banal habillage « duncan-jonesque » qui ne dit rien et ne joue sur rien. Parce que bon, si on se risque un instant au jeu des comparaisons avec « Moon », dont l’auteur pose lui-même le film « Mute » comme une extension (quelques références explicites sont d’ailleurs faites), que retrouve-t-on comme différences singulières ? spoiler: Certes, dans « Moon » comme dans « Mute », le héros (Sam) n’est lui aussi motivé que par des ressorts assez basiques (retrouver sa femme et sa fille), mais pour le coup, l’univers de science-fiction dans lequel il est plongé n’est pas qu’un simple décorum superflu. C’est l’univers science-fictionnel qui est le centre d’intérêt dans « Moon », pas le personnage de Sam. Sam n’est là que pour révéler l’univers et pas l’inverse. L’intérêt de « Moon » ce n’est pas Sam qui recherche sa fille, c’est plutôt que Lunar Industries qui utilise des clones qu’elle nourrit de fausses promesses pour mieux les exploiter et les jeter à l’envie. C’est ce cynisme du monde moderne qui est le cœur du film. Pas Sam. Si on retire l’univers futuriste de « Moon », le propos ne peut plus se développer. Or, peut-on en dire autant en ce qui concerne « Mute » ? Bah moi je trouve que pas du tout. Est-ce que la même histoire pourrait, grosso modo, se passer dans le temps présent ? Pour ce qui est de l’histoire de la disparition de Naadirah et de sa recherche par Leo : oui. Pour l’exil de Cactus et de son envie de prendre sa fille avec lui : oui. Pour ce qui est du style de vie et des pratiques douteuses du personnage de Duck : oui. Pour ce qui est de la résolution finale qui amène Leo à tuer Cactus, puis Duck, puis à recueillir la fille de Naadirah : oui. Même pour cette histoire d’enfant muet qu’on pourrait opérer ça n’est pas si nécessaire que cela de nous plonger dans le futur ! Si le film avait posé dès le départ comme postulat que de telles opérations étaient possibles de nos jours, j’en aurais accepté le principe sans sourciller !
Le pire, c’est que ce genre de remarques et de questions ne se pose pas que pour la présence d'un univers futuriste. Que le personnage soit muet, au fond ça apporte quoi à la trame générale de l’histoire ? Que le personnage soit amish, au fond ça apporte quoi à la trame générale de l’histoire ? OK, ça peut justifier qu’il ne se soit pas fait opéré dans l’immédiat. Mais bon, tu remplaçais les « Amishs » par « les progrès de la médecine réalisés en vingt ans », et ça marchait strictement pareil ! Les questions sont tellement nombreuses pour tellement de choses concernant ce « Mute » que j’en suis même carrément venu à me poser la pire question qui soit pour un film. Cette question c’est : « Mais au fond, "Mute", il apporte quoi ? » Il y a quoi d’intéressant là-dedans ? C’était quoi le cœur du film ? C’était quoi sa démarche ? C’était quoi le propos ? Et c’est là que le constat pour moi devient triste. J’ai l’impression que ce film n’a été qu’un agrégat d’idées : un ensemble d’éléments qu’on a fusionné ensemble parce que séparément on pensait qu’ils pouvaient être sympas dans un film… La manière par laquelle ce film ressemble à un gros patchwork de scènes peu connectées entre elles confirme totalement cette idée là. L’utilisation même de la musique de Clint Mansell révèle aussi ce côté totalement aléatoire au service de rien de précis ! Ralalah ! J’ai beau faire le tour, mais à part quelques jolis plans (et encore : surtout au début) je ne vois strictement rien à sauver de ce « Mute »… C’est donc ça que fait Duncan Jones quand on lui laisse les mains libres ?! Eh bah moi, personnellement, ça me fait réévaluer considérablement l’influence qu’on suppose négative des producteurs sur le septième art… Bon alors après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)

"Mute" était le premier projet de Duncan Jones, mais c'était un projet trop ambitieux donc il a fait à la place "Moon" qui a eu le succès que tout le monde connaît. Il décrit ce "Mute" comme une suite spirituelle à "Moon" et selon lui les deux films se déroulent dans le même univers. Le réalisateur est également connu pour le très bon "Source Code" donc les attentes étaient élevées ce qui est normal surtout qu'il s'agît encore d'un film de SF. Il y a de plus en plus de réalisateurs talentueux qui bossent avec Netflix, mais pour le moment, j'ai comme l'impression qu'ils ne se foulent pas trop. Contrairement aux séries, il n'y a pas encore de film référence sur la plateforme... Ce "Mute" est au niveau du scénario vraiment décevant. C'est creux, pas original et surtout très superficiel à l'image de l'univers qui est certes très sympa visuellement parlant, mais complètement inutile pour l'histoire qui aurait pu se dérouler à n'importe quelle époque. Sur l'échelle de Duncan Jones, c'est un poil décevant néanmoins ce DTV parvient à être divertissant et n'est jamais ennuyeux. Le film monte tout doucement, vraiment doucement en puissance et se termine par une dernière partie intense et réussie. Si le film ne sombre jamais, c'est parce qu'il peut compter sur un très bon trio d'acteurs. Alexander Skarsgård est bon dans ce rôle de muet tandis que Paul Rudd et Justin Theroux sont très bons à contre-emploi en incarnant des personnages intrigants qui se révèlent trop tardivement. En somme, c'est pas mal, mais pas inoubliable. Un divertissement soigné sur la forme, mais un peu trop léger sur le fond.

Le scénario ne tient pas la route, l'enquête accumule des coïncidences (le héros visitant au hasard ou presque) qui rendent l'évolution de l'intrigue peu plausible. Malheureusement, alors que tout se recoupe le récit devient bancal. Le résultat donne un carnage et des sous-intrigues qui sont finalement de l'esbroufe pour un fil conducteur bien mince. A côté de ça on s'interroge sur la cohérence de ce monde futuriste où on passe d'une cité futuriste à la "Blade Runner" (du pauvre !) à des décors de banlieues tristes d'aujourd'hui. Malheureusement Duncan Jones signe surtout son plus mauvais film, un gâchis...
Site : Selenie

Nouveau film de Duncan Jones (le fils de David Bowie) également sous bannière Netflix, après l'excellent Moon et le décevant Code Source (pas vu Warcraft). Ce Mute se laisse regarder mais ne décolle jamais vraiment. On ne s'attache pas spécialement aux personnages et l'histoire n'a rien de bien affolant. Reste un univers visuel futuriste très réussi et la belle interprétation d'un casting convaincant entre Alexander Skarsgård, Paul Rudd, Justin Theroux et Sam Rockwell. Un peu déçu donc.

Longuement attendu, et finalement sorti sur Netlfix, "Mute" est un projet mené à bouts de bras par Duncan Jones. Vendu comme un de suite spirituelle de "Moon", le film se centre sur un barman muet qui recherche sa petite amie, disparue dans un Berlin dynamique et futuriste. Cependant, le résultat, très inégal, est malheureusement une déception. Alexander Skarsgård campe de manière touchante ce protagoniste muet (idée vraiment originale !) qui mène une enquête. Cependant il passera souvent au second plan, derrière deux chirurgiens bien incarnés à contre-emploi par Paul Rudd et Justin Theroux, mais pour autant beaucoup trop mis en avant dans l'intrigue, alors qu'ils sont sensés être de vagues antagonistes. Et c'est bien le scénario qui pêche majoritairement ici. Longueurs, enquête tantôt confuse et tantôt prévisible, personnages maladroitement écrits, scènes pas toujours utiles : "Mute" manque cruellement de suspens et d'intérêt, et aurait aisément pu durer 30 minutes de moins. On soulignera néanmoins les visuels sympatoches, qui évoquent souvent "Blade Runner" et ne sont donc pas si originaux, mais propose un futur complet et crédible. Par ailleurs, la BO signée Clint Mansell est assez réussie. Mais dommage que l'écriture n'ait pas suivi...

J’étais curieuse de découvrir cette nouveauté de février sur Netflix surtout que c’était un film avec Alexander Skarsgård. Je voulais savoir ce que ça allait donner surtout au niveau du monde dans lequel évoluait les personnages. Je trouve ça assez particulier surtout qu’au départ on voit le héros chez les amish qui sonne pas très “futur� et après on se retrouve dans un truc beaucoup plus futuriste en Allemagne cette fois. On ne sait pas trop comment le monde est devenu comme cela mais en tout cas c’est assez coloré, assez décalé. Par contre, niveau scénario c’est un peu simple et déjà vu .. La fille disparaît il tente de résoudre le mystère et savoir pourquoi en cherchant des indices dans son passé. J’avoue avoir deviné à des kilomètre qui était le coupable et pourquoi elle avait disparue.

En résumé, Mute est un film sympathique mais sans plus. Je le trouve beaucoup trop long pour un scénario du genre parce qu’il reste très simple et qu’il aurait pu avoir au moins 30 minutes de moins. Par contre, très belle prestation d’Alexander Skarsgård qui fait tout le film grâce à son regard vu qu’il ne parle pas du tout et n’émet pas le moindre son ! Il nous montre encore une fois son talent d’acteur. Si aimez les films de science fiction le monde est assez décalé et bien foutu donc ce film vous plaira de par son ambiance et ses idées.

Un sous Blade-runner mâtiné de sous Tarantino. Avec en prime un petit côté provocateur, côté sexe, inspiré des années folles de Berlin. Ca pourrait fonctionner avec un scénario digne de ce nom. Hélas, le scénario de Mute n'a ni queue ni tête. C'est répétitif, avec des scène de violence gratuite et des louches de mélo. Tout cela dure deux heures et quart, donc au moins quarante-cinq minutes de trop. Raté, même si ça démarre assez bien.

Si Duncan Jones perce au cinéma, ça ne sera pas parce qu’il est un fils à Papa. Son cas est très différent de plusieurs de ses confrères dont la célébrité planétaire de leur père ou mère a pu leur mettre le pied à l’étrier. Le fils de David Bowie, contrairement à ceux-là, doit sa notoriété grandissante à ses talents de réalisateur, et absolument rien à son Papounet. Ces talents sont incontestables pour les observateurs affutés, mais ils restent encore imperceptibles pour d’autres. Si «Source Code», «Warcraft» ont eu un certain succès, ils n’ont pas fait l’unanimité. Aucun des 2 n’a été récompensé. Face chaque fois à des films qui ne leur arrivaient pas à la cheville. «Source Code», «Warcraft» pétillent pourtant d’originalité, portés par un scénario solide et innovant, ainsi que des acteurs extrêmement talentueux. Pour ce qui est de « Mute », la reconnaissance n’est également pas au rendez-vous. Toujours pas la moindre récompense, et même une certaine incompréhension de nombreux critiques, ou pseudo-critiques. Il semble difficile à certains de croire en la forte probabilité d’un futur plein de paradoxes, où le très conservateur, côtoierait la technologie la plus avancée. Pourtant c'est déjà le cas du Quatar et de l’Arabie Saoudite aujourd'hui. L'enquête d’un Amish évoluant dans un monde moralement débridé ne devrait pas paraître si incongrue finalement. Certains semblent également avoir du mal à suivre cette enquête parce que son contexte et ses étapes sont souvent énigmatiques, et qu’il faille attendre l’ultime dénouement pour comprendre l’ensemble. C'est pourtant le principe même d'un suspense créatif et bien mené. Il faut juste être observateur et patient. Le temps donnera raison au fan club de Jones, d’autant que tous ses films finissent chaque fois par atterrir dans toutes les dévédéthèques de France et de Navarre.

"Mute" souffre de gros défauts d'écriture. Pendant toute la première partie du film, on a du mal à voir les liens entre les personnages et où le réalisateur veut nous conduire. Quand l'histoire est enfin en place (ce qui a été très long), cela devient clair et beaucoup plus intéressant, jusqu'à une fin selon moi plutôt loupée (le comportement du médecin est très curieux). Visuellement "Mute" n'est également pas folichon, on est très loin de l'univers cyber punk des deux "Blade Runner" (la nouvelle série Netflix "Altered carbon" montre aussi qu'il est possible de faire beaucoup mieux sans disposer d'un budget de blockbuster).

Un univers qui n'est pas sans rappeler Blade Runner, puisque le film se veut un hommage au film de Scott. Le scénario est simple voire simpliste mais traité avec une certaine élégance du moins jusqu'au dernier quart d'heure où ça devient n'importe quoi. L'interprétation d'Alexander Skarsgård pour le rôle principal n'est pas trop convaincante à ce point que l'empathie a du mal à fonctionner. En revanche Paul Rudd et Justin Theroux campent une paire de cheloux assez fabuleuse. C'est d'abord un film d'ambiance, les images sont belles, mais la musique est médiocre, dans Blade Runner c'était Vangélis, ça avait de la gueule, là c'est juste Clint Mansell. Nous avons la une série B qui se regarde sans déplaisir mais qu'on oubliera vite, un film anecdotique en quelques sorte !

Après "Moon" et "Source Code", Duncan Jones s'était égaré avec l'adaptation aussi fade que formaté du jeu vidéo Warcraft. Il revient à ses premiers amours avec ce petit film de science-fiction. L'histoire tient surtout du thriller et seul l'univers à la "Blade Runner" l'ancre dans le genre SF. On est loin de l'ambiance et de la subtilité d'un "Moon" ou encore d'une intrigue aussi bien construite que "Source Code". Le scénario de "Mute" reste simple et se repose un peu trop sur les acteurs (très bons cela dit) et sur l'univers visuel. C'est globalement efficace et on ne s'ennuie pas malgré une fin qui tire un peu trop en longueur.

J'ai bien aimé ce film futuriste dans une atmosphère assez spéciale. L'action du film se passe quasiment la nuit.
Interprétation magistrale de l'acteur alexander skarsgard tout en émotion. Comme quoi pas besoin de dialogues pour transmettre des émotions.
Un film particuliers avec des personnages loufoques et une vision des bas fonds de Berlin pas très réjouissante.
Très bonne interprétation également de justin theroux dans le rôle de ce chirurgien déjanté spoiler: et pédophile]
.
Je ne l'ai pas reconnu tout de suite avec sa chevelure blonde en effet je l'avais vu uniquement dans la série the leftovers quelle transformation.
un film réussi avec sa dose d'humour noir, de SF enfin un bon concept

Un film de SF au allure de Blade Runner, mais qui n'a pas ça puissance, un avenir post apocalyptique trop sombre et peu prenant. Le film ne parvient pas à nous emmener dans son monde et on fini par trouvé le temps long par moment. Le scénario est trop peu claire et on fini par décroché avant la fin.

Les critiques de ce film ne sont pas très bonnes et c'est compréhensible. Le positionnement dans le futur semble un subterfuge pour attirer les spectateurs qui aiment la science fiction. Seulement, ce n'en est pas car l'intrigue peut se dérouler à l'époque actuelle ou au passé. Elle est plaquée dans un univers futuriste sans être vraiment en prise avec l'époque. Cependant, rien à dire sur la qualité de l'environnement qui est bien pensé et bien réalisé. Le problème concerne l'histoire elle même, peu motivante. Celle-ci démarre lentement et ne va pas en s'améliorant. Pourquoi faire un film si long quand on n'a pas grand chose à raconter ? Une tendance chez beaucoup trop de réalisateurs qui n'arrivent pas à couper au montage. En résumé, c'est un film qui m'a bien ennuyée.