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Votre avis sur La Taupe ?
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La fine fleur du cinéma anglais réunie dans ce thriller. Si l'ambiance austère retanscrit parfaitement la paranoïa liée à la guerre froide, on peut dire en revanche que le scénario est loin d'être satisfaisant. Une intrigue trop tarabiscotée et une mise si scène soporiphique que même le formidable casting ne parvient pas à maintenir le spectateur éveillé. Finalement, si l'objet est beau, il manque cruellement d'âme.
Le présage du chef d'oeuvre avant l'heure sonné très fort avec La Taupe. Casting haute gamme (génial Gary Oldman), musique magnifique, scénario prenant et surprenant et une mise en scène léché donne raison aux annonceurs de bonnes augures. Mais malheureusement le cruel manque de rythme, l'impression de rentré dans la maison abandonné de vos arrières-grands parents (le chef décos a du travailler dans Derricks pareil pour le monteur) nous font poindre le début d'une lente descente dans le sommeil. Dommages, car le film reste excellent mais perdra bon nombre de gens. La Taupe possède donc une personnalité différentes des autres films de ce genres, et rien que sa peut lui valoir toutes les louanges faite avant sa sortie.
Un film qui finit par "La mer" de Charles Trenet, même chanté par Julio Iglesias, ne peut être un mauvais film. Celui-ci est d'ailleurs effectivement plutôt bon, nous replongeant quelque part avec une certaine nostalgie au temps de la Guerre Froide qui nous paraît maintenant bien loin en cette époque de terrorisme fondamentaliste et de courageuses révolutions arabes. Oui, cette histoire d'espionnage tiré d'un roman d'un apparemment spécialiste du genre, John le Carré, est pour le moins intéressante à suivre. Le réalisateur est parvenu par ailleurs à instiller une ambiance rétro plus que délicieuse. Le final n'est cependant pas aussi grandiose qu'on aurait pu l'espérer et l'on reste quand même un peu sur sa faim. Ce qui fait que finalement "La taupe" n'est pas au top non plus. Reste ce doux parfum d'une ère bloc contre bloc désormais révolue. La mer, qu'on voit danser...
je n'ai rien compris aux espions. j'ai essayé de m'accrocher mais les bras de Morphée ont été les plus forts. j'ai bien dormi
Rares sont les films sur le contre espionnage qui sont d’un abord facile, et même si avec La Taupe nous avons affaire à un puzzle dont les pièces se mettent en place les unes après les autres en suivant une parfaite mécanique, il faut bien avouer qu’il est difficile de ne pas perdre le fil de l’histoire tant elle reste plutôt complexe à suivre.
Le rythme est très lent, l’intrigue assez confuse et le montage même, fait d'une multitude de petits flashbacks, ne facilite pas la compréhension immédiate.
Même si l’interprétation est impeccable et l’ambiance délétère magnifiquement rendue, il reste à ce film un coté hermétique qui le destine à une catégorie bien spécifique de spectateurs.
Le rythme est très lent, l’intrigue assez confuse et le montage même, fait d'une multitude de petits flashbacks, ne facilite pas la compréhension immédiate.
Même si l’interprétation est impeccable et l’ambiance délétère magnifiquement rendue, il reste à ce film un coté hermétique qui le destine à une catégorie bien spécifique de spectateurs.
Je ne comprends absolument pas l'enthousiasme pour ce film . C'est lent , c'est long et ennuyeux , j'ai déjà vu des films d'espionnage beaucoup mieux . Trop bavard , trop vieux .
TTNOUGAT
Un bien beau film du début à la fin avec une superbe mise en scène d'une grande tenue et même d'une grande retenue. Les personnages sont tous bien traités, Smiley se détache un peu du lot par une plus grande présence à l'écran mais pas par son rôle, tout intériorisé. J'ai particulièrement aimé les 3 chasseurs de scalps. On n'est pas dans le domaines des fesses mais des cerveaux ce qui demande un peu plus d'attention. Rarement un film d'espionnage se sera aussi peu écarté du sujet. Les années 70 s'y prêtent bien et John le Carré semble très à l'aise dans la guerre froide, ce qui n'est pas mon cas. Je suis loin d'avoir tout compris mais pour une fois, je ne saurai m'en plaindre car mon angoisse n'en fut que plus forte. j'ai vécu le film comme les protagonistes qui eux aussi ne comprennent pas tout ce qu'il se passe. Chacun ayant ses secrets non partagés. Comme je n'aime pas rester sur des questions, je lirai le livre et reverrai ce film dont l'intelligence m'a séduit. Presque tout est réussi, en particulier la reconstitution de l'immeuble du quartier londonien qui l'abritait et toutes les scènes qui grouillent de personnages. Anecdotiquement, je suis sidéré de la raison invoqué par Bill Haydon pour prendre la compagne de Smiley comme maîtresse, je dois dire que je n'y crois pas une seconde dans la vraie vie. Enfin, je suis curieux de voir comment le public français va accueillir ce film si bien fait mais si difficile à comprendre ,à la première vision, dans son intégralité.
"La Taupe" (2011) Arte le 24.10.2016
Je n'ai pas accroché une seule seconde sur ce film soporifique qui se traîne et s'éternise pendant 120 mn. C'est mou,c'est pénible, et les acteurs sont à pleurer. Même le titre est un plagiat sans originalité ! Manque de chance pour lui, j'ai vu après ce nanar un autre film avec des taupes en action : comparaison fatale avec celui-ci ! Même l'affiche est prétentieuse "meilleur..., triomphe... chef d'oeuvre" Pompeux : la réalité est que pour un gros budget, le nombre d'entrées en salles n'au ra été que de 632 700.
willycopresto
Je n'ai pas accroché une seule seconde sur ce film soporifique qui se traîne et s'éternise pendant 120 mn. C'est mou,c'est pénible, et les acteurs sont à pleurer. Même le titre est un plagiat sans originalité ! Manque de chance pour lui, j'ai vu après ce nanar un autre film avec des taupes en action : comparaison fatale avec celui-ci ! Même l'affiche est prétentieuse "meilleur..., triomphe... chef d'oeuvre" Pompeux : la réalité est que pour un gros budget, le nombre d'entrées en salles n'au ra été que de 632 700.
willycopresto
La Taupe est un film complexe porté par un casting en béton dont l'interprétation des acteurs est sans faille. Tomas Alfredson, à qui l'on doit le chef d'oeuvre Morse, nous livre un film d'espionnage intelligent qui nous prouve que l'on est pas obligé de faire un film d'action pour faire un bon film d'espionnage. Alfredson prend son temps. Sa caméra bouge très peu et suit les péripéties de cette enquête d'une manière très fluide. Si certains critiqueront un rythme trop lent et un cruel manque d'action, il faut tout de même rappeler que La Taupe arrive à nous tenir en haleine jusqu'au bout sans rien d'autre qu'avec un solide scénario et une interprétation convaincante des acteurs. Certes, le film ne restera sans doute pas dans les mémoires mais il aura, au moins, le mérite d'être intéressant, intelligent et plaisant à suivre.
tifdel13
Alors que le prochain James Bond, Skyfall, est en plein tournage, La Taupe nous entraine dans le MI6 des années 70. Autant dire que les agents secrets sont ici à mille lieues de 007. Si Bond incarne le fantasme de l’agent secret, George Smiley est lui un brin plus réaliste. Oubliez Q et ses armes fantaisistes ou les méchants russes excentriques… Ici pas de pistolet d’or ou d’hommes de main à la mâchoire d’acier mais des agents aux allures de cadres qui ne quittent jamais leur bureau et leur attaché-case. George Smiley fait partie des hauts gradés du cirque (surnom donné au MI6 en raison de sa localisation au Cambridge Circus). Alors qu’il vient tout juste de prendre sa retraite, le gouvernement fait appel à lui pour démasquer une taupe soviétique au sein même de son ancien service.
Adapté du best-seller de John le Carré paru en 1974 (ses romans L’espion qui venait du froid, The Constant Gardener, ou Le tailleur de Panama ont également été portés à l’écran), La Taupe fut également transposé à la radio et sur le petit écran en 1979 dans une série de sept épisodes avec Alec Guiness dans le rôle de Smiley. Dans la version de Tomas Alfredson, c’est l’acteur caméléon Gary Oldman qui se glisse dans les complets gris de l’espion. Antithèse de James Bond, l’acteur britannique incarne un agent secret aussi réservé...
Venez lire la suite de ma critique sur mon blog : "Chroniques d'une cinéphile" : http://chroniquescinephile.blogspot.com/2012/02/la-taupe-en-avant-premiere.html
Adapté du best-seller de John le Carré paru en 1974 (ses romans L’espion qui venait du froid, The Constant Gardener, ou Le tailleur de Panama ont également été portés à l’écran), La Taupe fut également transposé à la radio et sur le petit écran en 1979 dans une série de sept épisodes avec Alec Guiness dans le rôle de Smiley. Dans la version de Tomas Alfredson, c’est l’acteur caméléon Gary Oldman qui se glisse dans les complets gris de l’espion. Antithèse de James Bond, l’acteur britannique incarne un agent secret aussi réservé...
Venez lire la suite de ma critique sur mon blog : "Chroniques d'une cinéphile" : http://chroniquescinephile.blogspot.com/2012/02/la-taupe-en-avant-premiere.html
Un film d'espionnage comme ça fais longtemps qu'on en a pas vu mais malgré tout le scénario est trop énigmatique et en tant que spectateur on en comprend pas grand choses à certaines facettes de l'historie. Le casting 5 étoiles est éblouissant et la musique est splendide. La taupe est un bon film qui aurait malgré tout mérité plus d'explications sur l'intrigue principale afin de mieux immerger le spectateur.
Je pense que ce genre de film on aime beaucoup ou pas du tout. La question pour ma part etant : Comment en reunissant tous les meilleurs acteurs britanniques on obtient ce resultat froid, interminable et au scenario incomprehensible ? Finalement l espionnage vu par les films James Bond c est pas si mal !
Tout simplement excellent, ce film maitrisé de bout en bout réussit le petit exploit d'en plus retranscrire très fidèlement le livre. Seule petite déception, un Colin firth livre un bill Haydon un peu fade, au vu du charisme du personnage du bouquin, ainsi que de son talent d'acteur. Sinon la réalisation est superbe, les acteurs tous au top, et G. Oldman impérial. BO très appropriée aussi.
Tiré du roman d’espionnage de John Le Carré ; cette histoire narre la recherche d’une taupe (un agent des services secrets étrangers infiltré) au sein des hautes sphères des services secrets anglais durant le début des années 70’s.
La vie d’espion n’est pas de tout repos : infiltrations, écoutes, planques, méfiance à tous niveaux,… Au milieu de ce panier de crabes, un des hauts dignitaires à la retraite forcée reprend du service pour traquer l’agent double. Les histoires d’espions anglais ou communistes se succèdent et s’entrechoquent pour former une intrigue complexe et haletante. Complexe, le mot n’est pas faible pour qualifier une histoire à tiroirs et à personnages innombrables. Spectateurs fatigués, passés votre chemin, il vous faudra de une attention prononcée pour dénouer tous les fils de ce scénario et apprécier à sa juste valeur ce récit reflet d’une époque révolue. Gary Oldman y tient un rôle fort tout en retenu et en nuance.
Au-delà, d’un scénario attractif mais ayant comme simple faiblesse de nous révéler trop tôt l’identité de la taupe. C’est au niveau de la mise en scène que le travail est remarquable. Sans effet, sans cascade et sans course poursuite, donc bien loin de « James Bond », le réalisateur joue du cadrage avec une efficacité saisissante aussi bien dans les scènes intimistes que dans les scènes d’espionnage pur. Les mouvements des acteurs dans le cadre une grande réussite : la première scène témoigne de cette exigence.
A voir impérativement pour tout spectateur reposé et attentif.
La vie d’espion n’est pas de tout repos : infiltrations, écoutes, planques, méfiance à tous niveaux,… Au milieu de ce panier de crabes, un des hauts dignitaires à la retraite forcée reprend du service pour traquer l’agent double. Les histoires d’espions anglais ou communistes se succèdent et s’entrechoquent pour former une intrigue complexe et haletante. Complexe, le mot n’est pas faible pour qualifier une histoire à tiroirs et à personnages innombrables. Spectateurs fatigués, passés votre chemin, il vous faudra de une attention prononcée pour dénouer tous les fils de ce scénario et apprécier à sa juste valeur ce récit reflet d’une époque révolue. Gary Oldman y tient un rôle fort tout en retenu et en nuance.
Au-delà, d’un scénario attractif mais ayant comme simple faiblesse de nous révéler trop tôt l’identité de la taupe. C’est au niveau de la mise en scène que le travail est remarquable. Sans effet, sans cascade et sans course poursuite, donc bien loin de « James Bond », le réalisateur joue du cadrage avec une efficacité saisissante aussi bien dans les scènes intimistes que dans les scènes d’espionnage pur. Les mouvements des acteurs dans le cadre une grande réussite : la première scène témoigne de cette exigence.
A voir impérativement pour tout spectateur reposé et attentif.
Voici l'un des film les plus ennuyeux que j'ai jamais vu.Voyons ... nullissime, sans intérêt, incompréhensible, complexe.Peut être pour les fans de politique , de langages techniques, de noms barbare.Trop compliqué pour moi.J'ai jeté l'éponge en 40mn.
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