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darkvash
110 abonnés
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1,5
Publiée le 21 octobre 2010
Mr ARCADY a été mieux inspiré...l'histoire de 5 freres ayant un caractere et une vie différente mais un passé commun était alléchante. Mais voila le scénario ne suit pas. et quand l'interprete principal, à savoir Mr BRUEL, ne semble pas être dans le personnage, le film en patit. Dommage car patrick Bruel est un bon acteur. l'histoire part d'un bon pitch mais est vite rattapée par des lourdeurs et des incohérences qui finissent par plomber le film. La police en est l'exemple type. De plus, on a l'impression que Mr ARCADY cherche à retrouver le panache d'antan qu'il a eu avec L'UNION SACREE et sa gueguerre Juifs/arabes et réitere avec les Juifs/gitants mais sans apporter la prestance de ce film. De plus, BRUEL semble suffisant par rapport au rôle et aux prestations qu'il a pu donner sur ses precédents films. Dommage car cela se remarque et nuit au déroulement du film. bref, une bonne idée mais pas avec la réalisation et le jeu d'acteurs que l'on souhaitait est donc égale avec un film qui passe a coté d'un succés d'estime.
Malgré une intéressante idée de départ, ce film policier sur fond de vengeance ne révèle qu'une intrigue maladroite, clichée, manquant d'originalité et d'action, aux personnages trop stéréotypés et donnant un sentiment de déjà-vu. On s'attendait à beaucoup mieux...
Arcady devrait faire testeur de porte Ikea tant il aime les enfoncer, surtout quand elles sont ouvertes. Pas possible de concentrer autant de clichés sur un seul film. Par ailleurs, les acteurs sont assez mauvais, à part Aumont bien sûr et Bruel, décidément très charismatique (je parle de l'acteur et du commentateur TV de Poker, pas du chanteur...). Un plantage quasi intégral. Et une apologie communautariste de la France hyper déprimante, on n'a pas besoin de ça en ce moment.
film pas terrible du tous s'est largement surjoué les acteurs sont tous mauvais pourtant casting pas mal s'est cliché a mort s'est loin d'étre un bon film a éviter
Peu de surprise, ça sonne faux, Bruel surjoue et pourtant... on passe un bon moment. Arcady à toujours eu le chic pour entremêler correctement les affaires familiales aux histoires de gangsters même si son scénario est brouillon, il ressemble d'ailleurs à un téléfilm de bonne qualité.
Le film loupé de son réalisateur. Lui qui savait si bien parler des truands et mettre en lumière les visages. Les belles gueules réunis ici tombent dans l'excès tragi-comique si bien qu'on a réellement des doutes sur la direction; Les fusillades tardives et récréatives semblent tout simplement ajoutées après une séance test. Les paumés et les mauvaises combines, ne rendent pas louable cette entreprise. Olivier Marchal reprendra heureusement les armes, laissées depuis au placard, sans que la poussière ne se repose jamais dessus.
J'ai envie d'aimer Comme les 5 doigts de la main. Pour ses acteurs/personnages tous très attachants autour desquels trône Patrick Bruel en charismatique chef de fratrie. Ces cinq frères ont tous leurs qualités, leurs défauts, une bonne situation, sauf un, même si ça n'est qu'une façade qui ne demande qu'à se briser. Jusqu'au retour du mouton noir de la famille avec toute une clique de gitans aux fesses. Là où la première partie est plutôt plaisante avec Bruel, Elbé, Caravaca et le jeune Mathieu Delarive, la seconde avec l'irruption de Vincent Elbaz est nettement moins convaincante. Non pas qu'il y soit pour quelque chose mais c'est plutôt l'aspect polar qui est à revoir. On se croirait revenu aux années 80 à l'époque du Grand Pardon ou de L'union sacrée avec une histoire de vengeance plus profonde qu'il n'y paraît toutefois. Ce côté va t'en guerre culmine dans son final grand guignolesque où l'on voit les 4 frères armés jusqu'aux dents, grâce à des islamistes radicaux, prendre d'assaut la forteresse des gitans pour délivrer un des leurs. Justifier que Bruel, restaurateur dans le film, sait manier le fusil sniper car il était tireur d'élite dans l'armée est un peu court. Et puis bon, Arcady brasse éternellement les mêmes thèmes : les liens du sang plus fort que tout, les secrets de famille, l'honneur. Il serait bon qu'Arcady commence à se remettre en question car son dernier bon film commence maintenant à remonter.
Une famille juive pied noir : père décédé, mère très présente, et cinq garçons. Quatre ont une vie réussie, le cinquième réapparaît recherché par la police. Film de genre, avec passages obligés dans le milieu juif : mère exubérante et possessive, cérémonie du Sabbat, sens de l’honneur, sens de la famille, etc. Ceci posé, Arcady ne se sort pas trop mal de la difficulté qu’il y a à tourner avec pléthore de héros. Lesquels héros sont campés de manière convaincante, Patrick Bruel sortant du lot. Toujours côté acteur, noter la bonne prestation de Michel Aumont, en parrain et ami de la famille. Le scénario est acceptable, avec ce qu’il faut de mystère, mais dès le mitan du film, il rappelle beaucoup celui du « grand pardon » : deux familles ennemies mais finalement assez semblables luttant pour faire justice. Ici, qui du présent, qui du passé. A ce jeu, l’auteur n’évite pas les poncifs. Les quelques traits d’humour sont bienvenus, le rôle de la police n’est pas totalement celui attendu, donnant un peu d’originalité à une production qui en a besoin. Deux heures donc un peu longues, pendant lesquelles on voit souvent ce qu’on s’attendait à voir, correctement mis en scène, mais sans brio, et sans le souffle qui fait les grands films.
Une bouse de plus,mais pourquoi Bruel n'arrete t'il pas le Cinema ? Ce film est aussi puissant qu'un Temesta,mais sans les effets secondaires,un conseil passer votre chemin,car ce film n'en vaut vraiment pas le coup...