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Un visiteur
0,5
Publiée le 28 février 2012
- 18 ans ? ah bon... Une situation geographique moins intéréssente, de mauvais effets speciaux, des personnages casi-identique aux premiers mais mauvais acteurs, une evolution de l'industrie de la torture que je n'ai pas appréciée, des cinglés sans originalité... On ne s'attaque pas aux eli Roth, si on n'est pas Eli Roth.
On avait gardé à l'esprit l'horreur de ces boucheries clandestines à nos frontières, en Europe de l'est. Dans cet ultime volet, l'action se déroule sur le sol américain, au plus prés des spectateurs visés, cela est forcement plus terrifiant pour eux, ca l'est beaucoup moins pour nous. Fini, la possibilité réelle de se faire kidnapper, fini les massacres sanguinolents mais pourtant esthétiques, moins de gore, moins de peur. L'ajout d'effets spéciaux est au mieux risible au pire inadapté à la vision bas budget du premier volet. Finalement, la seule chose que l'on retiendra de ce film, est la tenue affriolante des serveuses, c'est dire...
Autant le premier et le deuxième étaient relativement pas mal, autant celui ci est vraiment nul ! L'histoire n'est pas crédible et on est à chaque minute qui passe toujours plus proche de nanard. A éviter !
Le pitch aurait pu donner quelque chose et le début s'avérait prometteur avec la scène de la chambre d'hôtel, mais très vite ça devient n'importe quoi, scénario cumulant les incohérences, et uniquement prétexte à nous montrer des scènes de tortures… qui ne sont même pas gore… réalisation paresseuse, mauvaise lumière, érotisme réduit au minimum, acteurs jouant comme des cochons… Le premier twist censé redonner de l'intérêt au récit, échoue à le faire, quant au twist final qu'on sentait venir à 10 kilomètres… au secours !
Je pense être un des rares spectateurs à avoir relativement apprécié ce troisième opus de "Hostel", réalisé cette fois par Scott Spiegel et sorti en 2011 directement en vidéo. Nous suivons ici l'histoire d'un groupe d'amis se rendant à Las Vegas pour fêter un enterrement de vie de garçon. Exit donc les clichés sur l'Europe crade et morose, le film préférant se concentrer sur les bas-fonds de Las Vegas que l'on ne voit jamais. Je trouve déjà ce changement de décor plutôt original, même si on garde ce côté européen avec des bourreaux aux accents slovaques ou roumains. Si le deuxième opus offrait un changement notable par rapport au premier en se mettant du point de vue des bourreaux et en en dévoilant plus sur cette mystérieuse organisation, ce troisième épisode préfère aller à fond dans le spectacle. Et encore, je trouve que les effets gores sont plutôt très timides pour un épisode de la franchise, je dirai même que c'est le moins violent des trois. Mais bref, toujours est-il que le film n'a pas l'intention de creuser l'univers de la saga mais plutôt de surfer simplement dessus en mettant en scène de nouveaux personnages se faisant prendre au piège par cette organisation. Et si le film n'est absolument pas original, il réussit néanmoins à en être plutôt divertissant, ce qui, je pense, est avant tout son but premier. Alors certes, la mise en scène fait très téléfilm, de même que la photographie, les acteurs sont relativement mauvais, de même que l'écriture des personnages. Mais le film tente de proposer quelques éléments intéressants, comme la pseudo-enquête, la scène d'introduction qui va à l'encontre des clichés des deux premiers opus et puis la fin qui est plutôt surprenante et jubilatoire (à l'image du précédent d'ailleurs). Ainsi, si "Hostel : Chapitre III" ne se veut jamais original, il en reste malgré tout plutôt divertissant !
Mal joué, mal doublé, peu crédible, Scott Spiegel, piètre réalisateur de son état, utilise la franchise initiée par Eli Roth pour donner un minimum de cachet à son film qui n'a plus grand chose à voir avec le climat anxiogène des deux premiers opus. L'ambiance n'y est pas du tout et l'on a affaire ni plu ni moins à de la série B en bonne et due forme avec ce qu'il faut de rebondissements improbables et zéro tension. Là où "Hostel III" devrait au moins nous soulever le coeur, il n'est même pas amusant, à la limite il suffira peut être aux amateurs de gore qui veulent laisser leur cerveau au repos et encore que l'aspect gore n'est pas non plus très poussé. Reste pour ma part un twist final qui m'a bien emballé mais ce sera vraiment tout. A éviter.
Et encore une suite inutile, en DTV, qui ne pourra jamais égaler le premier volet réalisé par Eli Roth ! On s'ennuie ferme devant cette suite qui se déroule à Las Vegas (plus rien à voir avec nos voyageurs d'Europe de l'Est), où l'on suit une bande de copains venue faire un enterrement de vie de garçon, mais rapidement le petit groupe se retrouve pris au piège par le Club des Chasseurs d'Elite, mais qui ont une sorte de nouveau club où les exécutions se font devant un public, genre cabaret. Mais l'élément qui déçoit certainement le plus dans ce nouveau volet, ce sont les mises à mort qui sont absolument nulles ! Pas de gore, ni de trash, il y a même des scènes hors champ, rien à voir avec ce que la saga "Hostel" avait mis en route !!
A voir peut être pour la curiosité, mais vous ne raterez rien en passant à côté ! Mieux vaut revoir le premier "Hostel" !!
Eli Roth doit bien être content de ne pas avoir mis un centime dans cette suite d'une nullité absolue. Tout ce qui a fait le succès de la saga est balayé sans ménagement : exporter l'action à Vegas et annuler la barrière de la langue qui augmentait le malaise des victimes, faire croire à des scènes de sexe qui, en fait, n'en sont pas, etc. Un échec plus que cuisant. Même les mises à mort sont dénuées d'intérêt (le pire doit quand même être la mise à mort par des ... cafards). Hostel 3, ou le téléfilm de trop.
Cet Hostel 3 est le moins bon de la franchise. Pourquoi un tel avis ? Non seulemement, il ne se passe pas en Europe de l'Est mais à Las Vegas, mais en plus, l'esprit qui avait fait le succès des 2 premiers n'est plus présent. Sorti directement en DVD, ce métrage est le seul des 3 interdit aux moins de 18 ans, mais une interdiction aux 16 ans aurait suffit, comme pour les deux premiers. C'est toujours aussi glauque avec des meurtres affreusement barbares, mais les tueurs européens avaient plus de classe. Comme il l'est mentionné à un moment dans le film, "la maison mère ne serait pas contente" (la maison-mère étant celle d'Europe). Je rajouterais que cette partie 3 est plus axée divertissement car les clients doivent deviner la mort du "patient" tandis que dans les deux premiers, l'enjeu était tout autre puisque c'était les clients eux-même qui tuaient, moyennant un gros payement. C'était ainsi plus sombre et plus sérieux. De plus, la fin de cet Hostel 3 ne m'a pas plu.
Hostel 3 est peut-être le volet le plus sage et posé de la trilogie. À commencer par sa réalisation, là où le DTV (direct-to-video) se ressent clairement. Je ne sais pas trop, si le changement est dû à un manque de budget ou tout simplement faute à la direction qui a voulu donner un troisième chapitre sans Eli Roth à la réalisation, car ici, il passe uniquement en tant que producteur et cela se constate rapidement. Il faut avouer que ce chapitre donne trop l'impression de vouloir surfer sur la vague/succès d'Hostel. Il n'est pas mauvais, mais ce troisième est un niveau en dessous de ses précédents volets. L'ambiance chaleureuse et osée à la Hostel disparaît un peu, mais pas totalement, celui-ci est plus dans la retenue. De plus, cela reste toujours sadique, mais peut-être pas assez, les scènes de torture sont plutôt gore, mais trop peu suffisantes au bout du compte.
Un lot de défauts et de qualités pour cette suite dans laquelle on retrouve à peine l'esprit de la franchise tout en sachant tout de même la renouveler, car pour le coup, on s'écarte un peu de l'intrigue répétitive qu'avaient les deux premiers films, ce qui a tendance à offrir un troisième volet légèrement différent et plus concluant. Ce troisième film est un peu plus léger à côté des deux premiers ce qui en fait une suite qui n'est pas totalement à la hauteur, mais c'est un long-métrage malgré tout correct et qui en plus permet de mettre un vrai point final à cette trilogie.
Comment Eli Roth à t-il pu produire un navet pareil avec cet Hostel Chapitre 3 qui ne partage que son nom avec ses prédécesseurs. Dès la première minute ça sent la daube et ça va duré durant 1h 25. C'est une véritable purge à suivre jusqu'au bout. On dirait une parodie. L'histoire est complètement débile et on se fou totalement du sort des personnages. Tout est médiocre dans cette chose qui ressemble à un téléfilm amateur. Les scènes de tortures n'ont aucun sens (la scène spoiler: avec les cafards c'est vraiment du what the fuck!), comme tout le reste enfaite. Seul le moment ou spoiler: l'autre lourdingue aux cheveux châtain bouclé se fait arracher le visage est gore. Le reste c'est le néant. On ne peu pas croire une seule seconde à tout ça. Tout est médiocre que ce soit la réalisation ultra banal, les environnements qui sont à chier, les effets spéciaux grossier et l'image qui est toujours terne. Il n'y a aucun rythme, aucune ambiance et ce n'est pas le semblant de b.o. qui change quelque chose. Mais le pire je crois que ce sont quand même les acteurs qui sont nullissime! Surtout Mike qui est indigeste. Ils débitent des dialogues ridicules et grossier à base de fils de p... et d'enf.... toutes les 30 secondes. Même leur doublages sont ratés! Heureusement que les filles sont jolies. D'ailleurs je met une étoile juste pour le maillot de bain de la serveuse. J'ai vraiment perdu mon temps à regarder ce navet qui ne vaut rien. Je ne parlerait même pas de la fin qui est pitoyable mais bon on est plus à ça près. Hostel 3 est réellement un étron indigne de porter le nom de film et j'ai honte pour Eli Roth qu'il est financer une chose pareil. Même si le 1 et le 2 étaient vos films préféré (c'est que vous avez des gouts de chiotte) ne regardez sous aucun prétexte ce truc indigent.
Alors que les 2 premiers volets étaient équitablement réussis , ce 3ème chapitre est mauvais , tellement mauvais qu'heureusement que ça ne dure qu'aussi peu longtemps. Car , les acteurs sont têtes à claques , le film d'horreur a laissé la place à un film poussif de scénario niais et terriblement peu performant. On écoute, on regarde , ça ressemble aux toutes petites productions avec un scénario perdu. On ne sait même plus pourquoi ça s'appelle Hostel.