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Ce film est une totale arnaque. C’est mauvais de chez mauvais. Premier problème, je l’ai visionné sur Youbube dans une version moyen métrage amputée de 30 minutes, peut-être pour le rendre plus digeste. Comme l’histoire est archiconvenue, aucun problème de compréhension. Le deuxième problème est cette coquetterie qui consiste à superposer quelques dizaines de secondes de musique à des scènes de combats ou de dialogue. La musique n’est pas mal, parfois pop, parfois country. Aucune unité de temps ou de lieu à cause d’un montage décousu. Richard Harrison s’est fait une tête à la Chuck Norris. Luciano Pigozzi joue le rôle d’un agent secret dans le nom dans la la VF est M. Gordon ; hommage volontaire aux « Mystères de l’Ouest » ? Anne Puskin semble attirer tous les pervers du coin. Et finir, Klaus Kinski, en gros sur l’affiche, joue les faire-valoir. « On m’appelle king » est une complète anarque.
Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
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Les titres de westerns commençant par « On m'appelle » ne manquent pas! Quand ce n'est pas Malabar, Dollars ou Providence, c'est King la terreur, le roi des chasseurs de primes qui rèpond prèsent! Histoire de vengeance à grands coups de winchester, de mitrailleuse et d'explosifs à la dynamite pour un western spaghetti 100% classique! Klaus Kinski en shèrif corrompu et la moustache de Richard Harrison pour les aficionados, un Powers Boothe avant l'heure! Un frère assassinè...une belle soeur violée...il n'en faut pas plus au père Harrison pour faire parler la poudre dans un pays vraiment pourri! Embuscade, infiltration et trafic d'armes! Les hors-la-lois mexicains et les frères Benson tombent un par un comme des quilles! En fait, "Lo chiamavano King" ressemble aux grottes du canyon jaune que l'on aperçoit dans le film! Un joli nom sans èclat et sans surprise...
Avec Klaus Kinski on ne peut pas s'ennuyer même dans les westerns, à souligner la très belle musique de Luis Bacalov
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