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Votre avis sur Le Gaucho ?
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TTNOUGAT
Par la beauté de sa mise en scène, la qualité et la justesse de son scénario, ses dialogues courts mais profonds, ses extérieurs beaux et rares ce western un peu particulier mérite d'être dans le groupe des 100 meilleurs . Jamais je n'ai vu Rory Calhoun dans un tel premier rôle; quant à Gene Tierney j'ai trop de faiblesses envers elle pour la juger avec objectivité, mais quel régal! Ce western regorge de beaux morceaux de bravoure comme la charge du troupeau de vaches ou l'attaque des anglais poseurs de rails ainsi que de magnifiques gros plans sur des arrières plans judicieusement choisis. Il est original autant par les costumes et les coutumes que par les rapports entre les êtres humains d'une grande justesse derrière le premier degré apparent. A cet égard le chef de la police fait penser à notre Javert, la cruauté en plus. Le coté machiste est extrêmement fort mais finira par céder devant la maternité et la religion ce qui peut en faire un film moral ayant cependant évité le piège de la moralisation. C'est pour moi le meilleur western que j'ai vu de Jacques Tourneur, bien supérieur au surfait ''L'or et l'amour''. Il mériterait aussi d'être plus connu que ''Whichita''.
Caine78
Nous sommes chez Jacques Tourneur : c'est donc intelligent, nuancé et même assez complexe, porté par une réalisation sobre et classique, mais avec ce qu'il faut d'intensité et de sensibilité pour apprécier la finesse de la démarche, la force du propos et la qualité de chaque personnage, principaux comme secondaires, le tout à travers un sujet mal connu en Europe (le portrait et les idéaux d'un gaucho au XIXème siècle en Argentine). Et si Rory Calhoun n'était pas forcément l'acteur rêvé pour le rôle, celui-ci livre toutefois une prestation très correcte, surtout entourée par la sublime Gene Tierney et le toujours impeccable Richard Boone. Non, décidément, rien à redire : « Le Gaucho » est une nouvelle preuve de l'immense talent de son réalisateur, et ce quel que soit le registre abordé. Excellent.
traversay1
Renommé pour ses films noirs et fantastiques, Tourneur était aussi un excellent spécialiste du western. Ici, l'action se passant en Argentine, on pourrait parler de southern, mais les ingrédients restent les mêmes. Le héros, ombrageux, orgueilleux et ténébreux, devient un hors la loi alors que son mode de vie, celui des gauchos, est condamné. Un bien beau film, avec une touche féminine irrésistible pour tous les cinéphiles puisque la magnifique Gene Tierney est de la partie. Elle monte très bien à cheval, d'ailleurs.
El gaucho de Argentina, un garçon de vache bagarreur, au temps de la colonisation de la pampa, région géographique stratégique du pays bleu ciel et blanc couleur arc-en-ciel, avec soleil divin chez les quechua par le western américain, à quelle époque ?.....
C’est des américains du Sud culture latino langue hispanique, des colons Spaniard Español conquistador en Amérique du royaume ibérique castillan reconquista s’imposent dans l’histoire de l’Argentine dans ce film, no hablar inglés cowboy contre qui déjà ??
Pour une femme beauté extrême à tomber ??? L’occupant envahisseur colonisateur, substituts des autochtones considérés comme indigènes, c’est un mot péjoratif, tient cette note négative avis défavorable critique.
Remettant les pendules à l’heure de fin, tiens tu hombre libre, la moralisatrice production donne les moyens financiers à ces réalisations franco-americaines, quelle chance d’avoir la double nationalité passeport destination choisie :
- Hollywood a 10 ans et l’Angleterre à 54......! C’est inné acquisition faute à personne, ça a toujours existé jusqu’à aujourd’hui comme hier en 1952, il suffit d’avoir des ailes turbo diesel, faites plutôt vos intrigues spécialisées dans le soir d’épouvante et la nuit d’horreur.
Les autres registres, action, aventure, romance, il a du mal Jacques Tourneur et ses garçons de vache américaine, avec toute la cohérence décomplexée et terminée !!
C’est des américains du Sud culture latino langue hispanique, des colons Spaniard Español conquistador en Amérique du royaume ibérique castillan reconquista s’imposent dans l’histoire de l’Argentine dans ce film, no hablar inglés cowboy contre qui déjà ??
Pour une femme beauté extrême à tomber ??? L’occupant envahisseur colonisateur, substituts des autochtones considérés comme indigènes, c’est un mot péjoratif, tient cette note négative avis défavorable critique.
Remettant les pendules à l’heure de fin, tiens tu hombre libre, la moralisatrice production donne les moyens financiers à ces réalisations franco-americaines, quelle chance d’avoir la double nationalité passeport destination choisie :
- Hollywood a 10 ans et l’Angleterre à 54......! C’est inné acquisition faute à personne, ça a toujours existé jusqu’à aujourd’hui comme hier en 1952, il suffit d’avoir des ailes turbo diesel, faites plutôt vos intrigues spécialisées dans le soir d’épouvante et la nuit d’horreur.
Les autres registres, action, aventure, romance, il a du mal Jacques Tourneur et ses garçons de vache américaine, avec toute la cohérence décomplexée et terminée !!
Regrettable que la fin va à l'encontre du discours du reste du film à savoir celui d'un homme qui se bat jusqu'au bout et envers et contre tous pour sa liberté parce qu'autrement entre la magnifique Gene Tierney, toujours impeccablement maquillée même dans les conditions les plus extrêmes, les superbes extérieurs de la Pampa ce qui le rend inhabituel par son lieu géographique, des personnages qui évitent tout manichéisme avec une mention pour celui de Richard Boone, le beau Technicolor et une réalisation très bien rythmée il y avait matière à faire un grand western ; on en a juste un très bon au final ce qui n'est déjà pas mal.
Chose inhabituelle pour un western, l'histoire se déroule en Argentine. Le film n'est pas très excitant et on ne se sent pas vraiment investie par l'histoire. Jacques Tourneur a fait beaucoup mieux auparavant avec le Passage du Canyon. Mais "Le Gaucho" mérite toutefois le coup d'oeil, ne serait-ce que pour la présence de Gene Tierney qui a rarement été aussi belle.
Grande première, j’ai osé le western sud-américain et plus particulièrement un western argentin qui est, bien sûr, une denrée rare. L’histoire est assez simple : un homme en voie de disparition, un gaucho, se retrouve enrôlé de force dans l’armée. Il déserte, poursuivi par un officier, Richard Boone (excellement sobre), et sauve dans le désert la sublime Gene Tierney. Rory Calhoun est poignant en homme écorché qui veut rester libre et qui refuse de se plier à l’autorité. La scène où Jacques Tourneur filme Gene Tierney faisant la sieste est d’une poésie et d’une sensualité extrême. Les grands espaces sont superbes, magnifiquement accompagnés par le souffle du vent ou les instruments à vent. L’intrigue se développe sans véritable temps morts, même les moments intimistes nourrissent intelligemment l’intrigue. Jacques Tourneur, avec « El Gaucho », n’a pas été manchot, plutôt adroit. Retrouvez mon amour du Far West dans les romans WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Un honnête western de Jacques Tourneur, mais un peu trop languissant pour vraiment passionner.
Un des rare western américain tourné en Argentine, les paysages sont sauvages et splendides. Rory Calhoun est très bon en Gaucho. Gene Tierney est magnifique et exceptionnelle Un des plus beau western de Jacques Tourneur.
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