Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
3 critiques presse
L'Humanité
par Albert Cervoni
Une réussite dans la carrière brillante mais inégale de François Truffaut (...) Les erreurs de détail ? Elles sont minimes…(…) la force de Truffaut est aussi d’avoir su parfaitement imbriquer la trame dramatique de la pièce représentée sur scène (…) dans la trame dramatique du réel, la réalité de ces années noires….17/09/1980
Télérama
par Gilbert Salachas
C’est du Truffaut de grande cuvée où rôdent, fantomatiques, l’ombre du garde-chasse de "La Règle du jeu" et le souvenir de l’inoubliable cabotine du Carrosse d’or ; où trône, olympienne, la blonde, belle, hitchcockienne Catherine Deneuve, de glace et de feu, entourée des lutins de la passion. 17/09/1980
Libération
par Gilbert Rochu
Catherine Deneuve (...) reste dans ce film aussi distante que dans ses sports publicitaires pour Channel 5. (...) Si l'on confond comme le voulait l'auteur, le théâtre et la vie, c'est surtout parce que les dialogues sont faux dans les deux cas. (...) C'est un film de décorateur. 17/09/1980
L'Humanité
Une réussite dans la carrière brillante mais inégale de François Truffaut (...) Les erreurs de détail ? Elles sont minimes…(…) la force de Truffaut est aussi d’avoir su parfaitement imbriquer la trame dramatique de la pièce représentée sur scène (…) dans la trame dramatique du réel, la réalité de ces années noires….17/09/1980
Télérama
C’est du Truffaut de grande cuvée où rôdent, fantomatiques, l’ombre du garde-chasse de "La Règle du jeu" et le souvenir de l’inoubliable cabotine du Carrosse d’or ; où trône, olympienne, la blonde, belle, hitchcockienne Catherine Deneuve, de glace et de feu, entourée des lutins de la passion. 17/09/1980
Libération
Catherine Deneuve (...) reste dans ce film aussi distante que dans ses sports publicitaires pour Channel 5. (...) Si l'on confond comme le voulait l'auteur, le théâtre et la vie, c'est surtout parce que les dialogues sont faux dans les deux cas. (...) C'est un film de décorateur. 17/09/1980