Derniers Avis : L'Homme au masque de fer - Page 3

J'ai beaucoup aimé ce filme que je regarde souvent en Replay. La musique est divine, et les acteurs sont très bien choisis. Leonardo Dicaprio joue très bien et il est très touchant dans le rôle de Philippe. Ainsi que les acteurs choisis pour les 3 Mousquetaires et d'Artagnan. Bien sûr c'est très romancé et l'idylle entre la reine et d'Artagnan est poignante. Historiquement, Louis n'était pas le grand roi Soleil que le filme veut démontrer à la fin. Il a fait l'énorme erreur de révoquer l'Edit de Nantes qui a énormément appauvri la France car les Protestants avaient des places importantes dans le pays, et ils ont quitté la France pour aller s'installer dans les pays d'accueil : en Suisse, les pays nordiques et l'Angleterre qui ont bénéficié de leurs atouts. Sinon j'ai donné 4 étoiles car l'histoire de ce film fait rêver et je suis heureuse chaque fois que je le revois.

Ce film offre un exemple parfait de l'hilarité déchirante présentée comme un divertissement ennuyeux et historiquement ignorant. En d'autres termes pour ceux qui sont prêts à oublier l'intention sérieuse du film c'est une émeute de rire garantie du début à la fin. Ce remake révèle que M. Wallace n'est pas seulement un réalisateur, un scénariste et un producteur sans talent mais qu'il a aussi le don de transformer des personnes très talentueuses comme Gérard Depardieu, Gabriel Byrne, Jeremy Irons et John Malkovich en robots. En vérité les acteurs semblent retenir désespérément soit des larmes d'hilarité soit des larmes d'humiliation. Cependant si vous devez vous faire plaisir la meilleure chose à faire est de regarder cette comédie costumée mal ajustée comme effet sonore de fond. En toute honnêteté l'évaluation la plus claire de la version de M. Wallace de l'Homme au masque de fer se résume au début du film par les flatulences fortes et retentissantes que le personnage de M. Depardieu émet de façon hilarante. Si seulement le reste du film était à la hauteur de ce moment exceptionnel d'innovation...

Ce qui est formidable dans ce genre d'oeuvre, c'est qu'on comprend qu'un film n'est rien sans une sonorité musicale adéquate...J'adore...

Cela fait des années que j'ai cette étrange impression de n'avoir jamais vu de bonne adaptation d'une œuvre d'Alexandre Dumas qui écrivait surtout des divertissements basés sur des légendes réelles comme ici, l'homme au masque de fer. Mais quand Hollywood met les pieds dans le plat, on se retrouve avec l'un des plus grands gâchis de talent de l'Histoire du cinéma : Jeremy Irons, Gérard Depardieu, Gabriel Byrne, John Malkovich et Leonardo DiCaprio qui signe une des pires performances de sa carrière et le pire, multiplié par deux puisqu'il joue l'impitoyable roi de France et son angélique frère jumeau, ce qui dans les faits consiste à froncer les sourcils pour l'un et à les lever pour l'autre. Mais bon, il y a surtout cette intrigue qui manque de créer l'intérêt et surtout son incroyablement ridicule exécution qui prouve que si Randall Wallace sait écrire ("Braveheart"), il ne sait pas réaliser. Bref, "L'Homme au masque de fer" est un moment de cinéma franchement raté que ce soit sur le plan technique ou artistique!!

Quel navet ! Une mise en scène lamentable, des dialogues à mourir de rire mais sans l'avoir fait exprès, des costumes sortis tout droit d'un téléfilm France 2. Le sujet était sympa mais le scénario ne suit pas et les stéréotypes et anachronismes vont bon train ! Mais qu'est-ce qui a donné envie à ces grandes acteurs de s'embourber dans ce ratage cinematographique ??

Un des films qui ont marqué mon enfance et qui ne vieillissent pas. Une très belle adaptation du roman de Dumas. Le film est bien réalisé et la musique est magnifique et colle parfaitement à l'univers. Un casting épatant en particulier Léonardo DiCaprio qui tantôt impressionne par sa cruauté et tantôt touche de par son innocence et sa pureté. On se prend tellement au jeu qu'on a du mal à croire qu'il s'agit du même acteur. Je recommande à 100%, un film qui plaît à tout âge.

oh là là,j'adooore ce film, je l'ai vu plusieurs fois et toujours avec le même plaisir, en me disant que , pourquoi pas, cette légende pourrait être vraie ! Di Caprio époustouflant dans ce double rôle si difficile, tous les autres tellement convaincants, tellement émouvants , un des plus beaux films que j'ai vus !

Film qui m'avait plu à l'époque mais pas revu depuis des années...
Il a pas trop mal vieilli et reste très divertissant. On est pris dans l'histoire et le scénario est plutôt bon malgré des grosses ficelles faciles à deviner.
Un casting 5 étoiles avec en tête d'affiche Leonardo Di Caprio. Il est excellent dans ce double rôle. A sa seule expression du visage, on sait quel jumeau il joue. En revanche, Depardieu est mauvais dans un personnage beaucoup trop caricatural.

Quand Hollywood décide de revisiter un pan de l’Histoire de France à sa manière, il ne faut pas s’attendre à un grand effort de véracité. Pour compenser le côté approximatif du scénario, Randall Wallace habille sa version de « l’Homme au Masque de Fer » de décors et de costumes soignés, d’une belle musique et d’un casting international royal. Des bouées de sauvetage qui n’empêchent pas son film de prendre l’eau.

Cette parodie historique ne doit son salut qu'à son superbe casting qui surélève timidement et rarement le niveau général proche du néant.

Cette superproduction préparée à la sauce hollywoodian pepper, sur l’histoire du royaume de France est très bonne, on se régale de ce spectacle festif soirée mondaine, organisée au château de Versailles, entre en scène d’Artagnan et ses trois mousquetaires, un pour tous tous pour un !!!
Après avoir servi le roi père fin de vie et un règne s’achève, succédé par le prince héritier du trône qui s’empare de la couronne, D'Artagnan une deuxième fois en service doit faire face à la légitimité d’un droit discutable.

Un souverain cruel joué par Leonardo DiCaprio, c’est Louis XIV, roi Soleil au crépuscule pour le peuple, l’état c’est lui, toutes les femmes de son royaume aussi, élimine les concurrents envoyés au front de guerre provoquée désastre, dépense faramineuse et famine, la fronde ne peut que commencer.
Il peut que s’amuser avec les courtisanes et courir après les dames contre leurs grès sans rivaux, ah le roi.....! Un symbole absolu du despotisme dans l’ancien régime, le masque de fer ou l’homme emprisonné qui n’est autre que son jumeau.

Une romance fictive des plus théoriques, scindant le règne de Louis XIV en deux personnalités, des frères jumeaux dirait lumière Voltaire anti-capétien absolutisme, belle façon intrigante, touchant par la grâce d’une interprétation remarquable de Gabriel Byrne, en personnage héroïque d’Alexandre Dumas.
Anne d’Autriche, reine mère tenue au secret défense sur ses progénitures, délaissée par Louis XIII, amourachée du héros littéraire, beaucoup de moment fun dans ce film, Gérard Depardivin acteur, calcul rénal, scène de prison, avec quelque facilité de scénario, l’issue s’approche et il faut que ce soit expéditive.

Ça n’entache en rien la tenue de ce bal cinéma américain à Paris très bien, le plus grand roi de France évince l’usurpateur despotique, le bon est placé au pouvoir par l’histoire, le mauvais au trou parce que de sang royal, le complot ferme les journées portes ouvertes de Versailles aujourd’hui même.

Un bon film de cape et d’épée avec Leonardo Di Caprio, John Malkovich , Jeremy Irons, Gabriel Byrne, Gérard Depardieu.

Vu #LHommeAuMasqueDeFer

Traitement classique mais agréable du film de capes et d'épées.

Un déroulement parfois longuet qui trouve sa respiration dans des interprétations excellentes, un final efficace, et une bo appréciable.

Plonger avec un film américain dans le XVIIe siècle en France quand on est Français, c'est guéter les erreurs historiques avec ce regard de supériorité qui nous caractérise. Voir au casting des acteurs Français c'est se sentir rassuré même si le doublage ne colle pas parfaitement au mouvement de leurs lèvres. Puis l'histoire prend le dessus. On est fasciné par le jeu de Leonardo DiCaprio qui interpête à merveille les deux personnages principaux. Ses acolytes sont tout aussi bons. Les costumes et les décors sont superbes. Et l'Histoire dans tout ça ? Laissons les historiens la déchiffrer tandis que l'on laisse le cinéaste nous emmener dans son univers.

Alors qu’il existait déjà un certain nombre de versions, faire une nouvelle adaptation du roman d’Alexandre Dumas "Le Vicomte de Bragelonne" était un pari relativement risqué. Mais cela permettait aussi de mettre davantage de moyens en œuvre pour approcher encore un peu plus les écrits flamboyants de l’auteur. Le moins qu’on puisse dire, c’est que ça l’est, flamboyant ! Par les costumes et les décors. Quel plaisir de voir un film qui a été tourné dans un lieu qu’on connait, en l’occurrence le château de Vaux-le-Vicomte ! Et si je le sais, ce n’est pas parce que je l’ai su par les anecdotes de tournage glanées et révélées par le site Allociné, mais parce que j’y étais ! En effet, alors que mon petit bout de femme et moi-même étions partis visiter ce superbe château du XVIIème siècle sis en Seine-et-Marne, nous n’avions pu tout visiter en raison du tournage de ce film, en apprenant qu’un certain nombre de stars du cinéma étaient sur place, dont Leonardo Di Caprio et Gérard Depardieu. Dans les faits, nous n’avons rien vu, sécurité oblige ! à la fois pour les éminents acteurs, le bon déroulé du tournage, et le maintien des décors. Et pour le découvrir dans les meilleures conditions, je m’étais fermé à toute information relative à ce long métrage. Pour commencer, je ne m’attendais pas à voir autant de grands noms : en plus de Di Caprio et Depardieu, on va reconnaître Jeremy Irons, John Malkovich, Gabriel Byrne, Peter Sarsgaard, Judith Godrèche, Anne Parillaud et même Hugh Laurie qui se fera connaître plus tard sous les traits du Docteur House. A cela on rajoute le nom de Randall Wallace (scénariste du célèbre "Braveheart"), à la baguette, auteur de son seulement second scénario typé long métrage et de sa première réalisation. Dans tous les cas, "L'homme au masque de fer" a une saveur particulière pour moi dans le sens que j’ai enfin pu découvrir ce que nous n’avions pu visiter. Quels décors ! Quelles salles superbes ! Quel plaisir de découvrir les passages secrets, souvent tenus au secret quand ces lieux sont ouverts au public moyennant finances ! Et que ce monument est beau, de l’extérieur comme de l’extérieur ! C’est grand, c’est fastueux, et les costumes de la Cour n’ont rien à lui envier. On peut constater le soin qui a été apporté aux tenues vestimentaires. De la vraie orfèvrerie. Seulement voilà. Il y a un hic. Un hic qui m’a sauté aux yeux. Nous savons que le château date du XVIIème siècle. C’est-à-dire des années 1600. Or l’histoire est sensée se dérouler en 1660. Malheureusement, on voit que les pierres extérieures, en particulier au niveau des balustres (que nous voyons assez peu, en définitive) sont grisées par le temps et la pollution atmosphérique. Sinon en dehors de ça, le récit se suit très bien, sans véritable ennui. Ou presque. On notera quelques petites longueurs ici et là, la première étant lorsque l’homme au masque de fer se fait libérer de son carcan. La volonté de plonger le spectateur dans un tourbillon de sentiments est certes louable, mais c’est bien trop appuyé pour arriver à l’effet escompté. Heureusement, le spectateur peut compter sur l’immense expérience des acteurs. A commencer par Leonardo Di Caprio, qui a su jouer deux personnages complètement différents psychologiquement parlant. En effet, rien que dans l’expression du regard, le spectateur saura faire la différence au premier coup d’œil ! Franchement, je ne comprends pas le Razzie Award qu’il a récolté. Et ensuite le quatuor formé par les célèbres trois mousquetaires (alors retraités) et leur chef de file D’Artagnan. Quel plaisir là aussi de les retrouver, même s’ils ont vieilli et si Athos, Porthos et Aramis ont rangé leurs armes et leur uniforme si prestigieux. Après tout, les personnages imaginés par Alexandre Dumas ont bercé notre enfance à plus ou moins nous tous ! Mais malgré les stigmates du temps qui passent, ils n’ont rien perdu de leur superbe, notamment quand ils doivent en découdre. Et effectivement, on constate avec une satisfaction non feinte qu’ils avaient ça dans le sang. Que ce soit Athos, interprété par un John Malkovich particulièrement alerte ; que ce soit Aramis porté par un Jeremy Irons surprenant et qu’on mettra quelques secondes à reconnaître ; ou que ce soit Porthos, campé par un Gérard Depardieu des grands jours. Décidément, les costumes médiévaux lui vont bien et l'acteur excelle dans ce genre de rôle, et c’est encore le cas ici. Mieux, c’est par lui que l’humour a été intégré par ces facéties aux airs de fantasqueries pleinement assumées, et cela dès son entrée en scène, quelque peu fracassante. Il nous donne même un aperçu du corps qu’il va donner à Obélix dès l’année suivante, par son apparence physique et par l’envie irrépressible d’en découdre. Et il est vrai que le spectateur désire lui aussi de l’action, de l’aventure. Mais le tout est, si j’ose dire, gâché par un D’Artagnan résigné campé par un Gabriel Byrne qu’on pourrait considérer en dessous. En réalité, il sort un jeu juste en interprétant un personnage prisonnier d’un lourd secret. Rassurez-vous, de l’action, de l’aventure, on va en avoir. Il faut juste savoir attendre que les choses se décantent. Malheureusement, cela aura aussi le don de voir Randall à la double casquette de scénariste et réalisateur se faire prendre au piège, à l’image de nos bons chers héros. Pour s’en sortir, un tour de passe-passe incohérent au possible au cours de la charge finale. Cumulé à l’aspect gris des pierres de l’édifice et aux petites longueurs, voilà de quoi enlever un bon point à ce qui aurait pu être un chef-d’œuvre, lequel bénéficie d’une jolie photographie et d’une musique qui accompagne bien le tout sans être suffisamment transcendantale pour en garder un souvenir quelconque. Peu importe, l’impression d’avoir vu un bon film (en tout cas divertissant) est là, ce qui est déjà pas si mal, même si cette nouvelle version de "L’homme au masque de fer" n’est qu’une adaptation LIBRE du roman d’origine… et j’insiste sur les mots « adaptation libre » car tout est dans cette liberté prise par rapport à l’œuvre littéraire de base. Après tout, Alexandre Dumas réécrivait l'Histoire. Alors pourquoi pas Randall Wallace ?