Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Positif
par Jean-Loup Bourget
Il est vrai que Leonardo DiCaprio est si craquant qu'aucune jeune femme (…) ne saurait lui résister, mais l'acteur sait aussi jouer de son double rôle avec subtilité. (…) Gabriel Byrne est admirable en d'Artagnan [et] demeure fidèle à sa nature profonde,
L'Humanité
par La rédaction
L’histoire de France revue et corrigée façon Hollywood, en mal de scénarios. L’Humanité, 1 avril 98
Le Monde
par Jean-François Rauger
Seul le dernier quart d’heure trouve enfin une dimension épique et romantique, absente le reste du temps. Il serait injuste de ne pas relever que l’interprétation est formidable. Le Monde, 2 avril 98
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
« L’homme au masque de fer » se résume à une illustration laborieuse d’un récit sans grande surprise. Les Inrocks, 1 avril 98
Télérama
par François Gorin
On rit un peu, mais par l’effet d’un comique involontaire, puis on oublie cela très vite. Télérama, 1 avril 98
Positif
Il est vrai que Leonardo DiCaprio est si craquant qu'aucune jeune femme (…) ne saurait lui résister, mais l'acteur sait aussi jouer de son double rôle avec subtilité. (…) Gabriel Byrne est admirable en d'Artagnan [et] demeure fidèle à sa nature profonde,
L'Humanité
L’histoire de France revue et corrigée façon Hollywood, en mal de scénarios. L’Humanité, 1 avril 98
Le Monde
Seul le dernier quart d’heure trouve enfin une dimension épique et romantique, absente le reste du temps. Il serait injuste de ne pas relever que l’interprétation est formidable. Le Monde, 2 avril 98
Les Inrockuptibles
« L’homme au masque de fer » se résume à une illustration laborieuse d’un récit sans grande surprise. Les Inrocks, 1 avril 98
Télérama
On rit un peu, mais par l’effet d’un comique involontaire, puis on oublie cela très vite. Télérama, 1 avril 98