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pelu
17 abonnés
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3,0
Publiée le 23 mars 2022
certes ce long métrage, trop long peut-être n'est pas forcément le meilleur mais il vaut vraiment le visionnage de par la qualité de son histoire pour le moins originale , de la présence de anthony hopkins, Brad Pitt étant un.peu transparent pour moi malgré le fait de donner à la mort l apparence d un beau jeune homme. la qualité des décors , les ambiances et des dialogues comme des répliques de théâtre se répondant avec intelligence... beau film rien à dire seul les longueurs sont pesantes car trop nombreuses , la mort qui devient amoureuse pour quoi pas.. seul reside ces entretiens entre deux hommes qui font la qualité du film
C'est avec ce film que j'ai découvert le "beurre de cacahuètes" dont les passages sont bien naïfs. Brad Pitt avait de bons personnages à cette époque. J'ai beaucoup aimé son rôle de Joe Black et le cheminement de ce dernier auprès de la famille Parrish. Il a un air impitoyable avec un fond juste. Personnellement, je ressors apaisé à la fin du film.
Film que j'avais vu il y a des années et que je n'avais pas beaucoup aimé et hier soir j'ai eu l'occas de le revoir et j'ai sauté dessus et cette fois ci c'est passé ! Déjà j'adore Anthony Hopkins et ca m'a fait plaisir de le voir dans ce rôle de papa poule de deux grandes filles mais c'est surtout que j'ai trouvé l'histoire super originale ! Alors certes c'est un peu long pour ce que c'est (car on aurait pu se contenter amplement d'un film de 2h) mais ce n'est pas le gros point noir du film... non le gros point noir c'est Brad Pitt et là, ca m'a vraiment coûté ! Je le déteste cet acteur là mais là, de le voir sans arrêt avec un air d'effaré ou des allures comiques (alors que ça lu va pas du tout) ca a bien failli me faire tout arreter mais j'ai tenu bon et j'ai bien fait car c'est un très bon film mais il aurait été encore meilleur avec le choix d'un autre acteur certain...
un beau film rempli de poésie et de charme où on sent très peu les 3 heures passer. Les acteurs délivrent de belles performances et le scénario est bien détaillé
En 1998, le réalisateur US Martin Brest (« Midnight run », « Le flic de Beverly Hills ») tourne un film étrange et original... une petite perle d'intelligence, en fait, qui ne rencontre pourtant qu'un succès mitigé au box office mondial. L'intrigue se construit autour de l'improbable apparition de « La Mort » qui vient rendre visite à sa prochaine « victime » et lui propose de passer quelques jours au sein de sa maison. Il s'en suit une foule de situations parfois drôles, parfois tragiques, mais toujours d'une grande profondeur philosophique. On est captivé, dès les premières minutes, par la qualité de l'histoire et des dialogues et le film passe à toute vitesse sans laisser la moindre chance au spectateur de décrocher, ne serait-ce qu'une seconde. Il faut dire que la distribution est à « tomber par terre », menée de main de Maîtres par deux des plus grands acteurs de leur génération, Anthony Hopkins et Brad Pitt. Le duo est juste magique et on attend chacune de leurs « rencontres » avec délectation. A noter également la prestation impeccable de la très belle Claire Forlani... qui illumine l'écran et se hisse, apparemment sans mal, à la hauteur de ces deux monstres sacrés. La fin est un véritable feu d'artifice d'émotions qui clôture de la plus belle des manières cette œuvre magnifique et particulièrement touchante. Excellent !
septiemeartetdemi.com | À la rencontre de Joe Black... Un film extraordinaire, non parce qu'il sort des frontières connues du cinéma américain, mais parce qu'une force (le réalisateur, les producteurs peut-être ?) le fait carrément décoller de la planète cinéma.
Le film est malheureusement aussi facile à spoiler qu'il est compliqué d'y rentrer. Dans une bourgeoisie dépeinte avec le luxe d'un cinéma centré sur les lumières, Anthony Hopkins joue un richissime chef d'entreprise qu'on ne saurait situer sur la jauge habituelle du bien et du mal. Et pour une fois la durée du film (trois heures) n'est pas un gage de qualité et d'audace, mais bien de précision et d'ultra-réalisme. Un réalisme qui ne sera distordu que par la présence de la Mort au rang des personnages. Et diantre, que le temps est long ! Les échanges entre les personnages sont détaillés et le réalisateur Martin Brest aime à exploiter le blanc, ce qui a rendu le film insupportable à plus d'un spectateur.
La maîtrise de ce blanc dans les conversations rend le film maître au moins d'une chose : le dialogue, dans son sens étymologique qui implique deux personnes. Les face-à-face de Hopkins avec Brad Pitt seraient légendaires si le film avait remué terre et mer comme il aurait dû... Pourtant force est d'admettre qu'il est très peu distrayant. C'est un drame américain, mais son essence efface la frontière atlantique qui coupe l'Occident en deux au niveau de ce genre ; c'est la réconciliation avant l'heure des drames européens des années 2000 avec la ligne droite tracée par les collègues d'outre-océan.
On peut relever la petite faiblesse scénaristique qui veut que tout soit déjà en place au début de l'histoire, mais on peut aussi la mettre sur le compte de la longueur du film, qui nous présente déjà beaucoup de choses pour selon qu'il est d'une lenteur quasi-orientale.
Il s'agit en tout cas d'un recyclage incroyable de Hopkins dans la peau d'un homme d'affaires, dont les affaires en question sont disséquées avec l'impitoyabilité d'un naturel oppressant, dont le contrepoids constitué par le prétendu « méchant » de Jake Weber répond avec un peu trop de cliché. Un excellent film, rarement faible, pour qui le supporte.
De l'imagination, de la fantaisie, de l'humour, de l'émotion, tout cela dans ce film. Un peu long peut-être mais tellement plein de folie et de surprise. Je suis fan d'Anthony Hopkins, j'aime bien Brad Pitt, moins Claire Forlani qui minaude par moment. Peu importe, c'est un très beau film avec de bons acteurs et une sorte de grâce avec cette mort incarnée qui veut faire l'expérience de la vie et va découvrir l'amour.
L'atout charme de "Meet Joe Black" est assez impressionnant: un duo romantique sublime, à la beauté presque irréelle, soutenu par le charisme d'Anthony Hopkins! Entre comédie romantique, comédie dramatique, drame familial, la proposition parait parfois hésitante et, bien que l'étiquette ne soit pas essentielle, la cohérence de l'ensemble souffre parfois de facilités gênantes, de raccourcis patauds. Ainsi, le personnage de la Mort, qui a fait un choix très avisé quant à son enveloppe charnelle, alterne joyeusement un ton sentencieux, d'une sagesse abyssale emplie d'une philosophie funeste et une posture de dadais maladroit sensée illustrer son ignorance des sensations humaines... l'alternance n'est pas toujours du meilleur effet et on peine franchement à y croire, mais le charme des acteurs, à ce stade, nous ferait avaler n'importe quoi. On retiendra donc le pouvoir de séduction massif d'un film en papier glacé, qui aura à peine effleuré l'essence de son sujet sur 180 minutes, préférant s'égarer dans une suite de scènes anecdotiques servie par une superbe photo.
Très elle réussite de Martin Brest qui a su jouer tout en subtilité avec un sujet assez casse-gueule. Le film est construit avec une extrême minutie sur chaque plan. Martin Brest avait visiblement l'intention de faire de son film un drame qui soit à la fois léger et poignant. La réalisation est d'une sobriété parfois trop marquée, mais qui profite bien de la photographie et de la sublime et entêtante musique de Thomas Newman. En revanche, il y a quand même un reproche à faire : pourquoi faire si long pour une histoire si simple. Je comprends bien la volonté de développer au maximum les personnages, mais Brest n'a visiblement pas réussi à faire les coupes qui s'imposaient sans doute par moments.
Quelle agréable surprise ! Une introduction bien lente, intéressante avec une construction des personnages agréables. Anthony Hopkins est un chef en tant que père de famille mourant, tellement crédible et brave dans son personnage. Le film n'a pas vieilli d'un poil, il est long comme l'agonie de William Parrish, il est long pour nous laisser percevoir la beauté de chaque scène. La rencontre au bar entre Susan Parrish et Joe devrait être une scène culte du cinéma, surtout lors de leur séparation. Brad Pitt effrayant en Joe Black sans son sourire. Claire Forlani magnifique en Susan, on comprend que la mort hésite à repartir dans un monde ou la beauté n'existe surement pas. En plus de l'histoire intéressante et de la beauté du film, de nombreuses questions sont abordées, quelques scènes d'humour, quelques scènes d'amour, une bonne bande son, de l'émotion. Un film qui ne laisse pas indifférent si l'on décide de le vivre.
C'est l'histoire d'un homme qui va fêter ses 65 ans qui reçoit la visite de la Mort, incarnée dans un beau jeune homme blond. Celui-ci décide de passer du temps auprès de sa "victime" pour découvrir les sentiments humains, que ce soit la tristesse, la joie ou l'amour avant de partir. C'est une idée très belle pour un film qui se veut également très beau mais il faut avouer que malgré la réussite certaines de nombreuses scènes (les relations de la Mort avec sa victime, avec la fille de celle-ci et ses découvertes de l'humanité comme celle du premier rapport sexuel), l'ensemble traîne en longueurs et se révèle d'une lenteur assez effrayante. Et pourtant la fascination fait son effet et l'on reste devant notre écran à attendre que la Mort accomplisse son devoir. Si la réalisation de Martin Brest n'a rien d'originale et qu'elle a tendance à pousser les bons sentiments au maximum, l'interprétation des acteurs est pleine de conviction et rattrape le tout. En effet, Anthony Hopkins est impeccable, Brad Pitt surprend dans un rôle complexe et Claire Forlani incarne une femme en plein bouleversement avec crédibilité.
Une histoire d’amour avec la mort, voilà qui ressemble à un délire gothique, mais Martin Brest, rendu célèbre par la réalisation Le flic de Beverly Hills, et les quatre scénaristes du film en ont fait le point de départ d’une fable fantastique joliment romancée et pleine d’humanisme. La passion naissante entre l’innocente Susan Parrish, interprétée par la trop rare Claire Forlani, et l’énigmatique Joe Black s’accompagne d’une magnifique photographie, d’une bande originale enivrante et de décors d’une grandiloquence à la mesure de cette improbable rencontre. Mais au-delà de sa qualité esthétique, la force de Rencontre avec Joe Black repose sur la façon dont son scénario parvient à mêler à cette improbable amour impossible une tragédie familiale, un peu d’humour de situation mais aussi une intrigue financière. La candeur du concept et la durée du film peuvent facilement rendre difficile l’adhésion à son développement mais l’interprétation d’Anthony Hopkins, le charme de Brad Pitt (d’apparence assez lisse mais toujours subtil) et le lyrisme du récit maintiennent captivante la magie du film de bout en bout.
Un film basé sur de grand acteurs (jouant avec perfection le rôle attribué à chacun), et laissant apparaitre un scénario aussi intriguant que passionnant. Ce film nous parle donc de la mort, de la vie, de la passion entre deux être (certes bien exprimé, ou le réalisateur a peut être même était un peu loin pour arriver à quelques choses d'un peu "niais' ou plutot simpliste)... C'est un film que l'on regarde calmement, et non lors d'une soirée entre amie ou autre. LA durée du film, en reboot beaucoup. Il est vrai que le film est assez long et donc ; que l'ennuit peut apparaitre chez certaines personnes. Le film étant plus psychologique que remplit d'action ou autre (le thème ne s'y pretant d'ailleurs absolument pas, mais aurait pu être vu d'une autre façon). Mais pour les personnes arrivant à se prendre au jeu, l'émotion ; l'interrogation... sont au rendez vous et laisse le spectateur à la fois intrigué, passionné (ça, apres tout dépend de chacun^^) et dans l'attente du fameux dénouement final (aussi bien réussit soit-il, même si je le voyait autrement). Bref, le film film est effectivement lent ; mais c'est un des films (comme par exemple "Au-dela", "Sept vies"...) qui sont plus psychologique que quelques choses remplit d'action, d'effets spéciaux et compagnie. On est donc plus ou moins conquis si l'on arrive à rentrer au grè de l'action. Et beaucoup moins, si la trame de départ ne nous "accroche" pas. A chacun donc, de se faire sa propre idée ; mais c'est vrai que le film aurait pu être raccourci d'au moins 30 minutes sans aucun problème (sans que cela ne nuise au déroulement de l'histoire et aux éventuelles réponses aux questions). Mais pour ma part, j'ai trouvé l'ensemble assez interessant et qui avec le recul ; nous laisse plus ou moins songeur... Bref, je ne le vois pas comme un chef d'oeuvre ; mais comme un film qui vaut le coup d'être vu au moins une fois (si ce n'est que pour le jeu des acteurs et la trame de base assez interessante (apres, le théma assez spécial ; ne peut ; il est vrai ; interessé tout le monde)) si l'on apprécie ce genre de film (et cette sorte de "spécialité" qu'on certains films pour arriver à nous faire passer plein de choses sans nous bombarder d'effets spéciaux et d'action à gogo). Mais pour ma part, j'ai trouvé ce film "beau", interessant et touchant de par son thème. NE regrettant en rien donc, de le revoir à l'occasion.
Un bon film sur le sujet classique du mythe Faustien," vendre son âme au diable" . Les acteurs sont bons, la mise en scène élégante. Le film possède un bon rythme. Un bon spectacle intelligent.