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tomPSGcinema
749 abonnés
3 323 critiques
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3,5
Publiée le 3 novembre 2013
Très divertissant court-métrage que "le Cauchemar de Mickey". Dans son cauchemar, Mickey constate qu'il est marié à Minnie et qu'il est aussi et surtout le père d'une vingtaine de souriceaux qui ont été apportés par plusieurs cigognes. Evidemment, ses fameux souriceaux vont lui apporter moults désagréments. L'animation reste bien agréable à voir pour une oeuvre datant de 1932, et certaines séquences sont bien sympathique - comme en témoigne celle où quelques souriceaux se mettent à jouer du piano.
Mickey rejoint son lit après avoir prier au coté de son chien Pluto. Il embrasse un cadre avec la photo de Minnie poser sur sa table de nuit. Une fois endormi il va se mettre à rêver ou disons que cela vire au cauchemar. Première fois que l'on voit Mickey avec sa progéniture et il y à du monde. Donc les gags sont bien mise en avant. Dans ce court-métrage on peut remarquer également une machine à laver automatique.
Classique parmi les classiques des cartoons de Mickey Mouse. Une revisite des aventures de Gulliver sans temps mort avec une belle orchestration et des situations bien cocasses. Un petit bijou de la firme Disney.
De 1932 un gros délire avec Mickey qui pourtant prie avant de dormir mais se retrouve dans un vrai cauchemar. C'est un peu facile et moyennement amusant mais assez cohérent spoiler: sauf peut être tous ces pots de peinture dans la cuisine et imaginatif.
Un dessin animé qui doit sa célébrité par le tournant qu'il marque dans la carrière de Wlt Disney. En effet, ce dernier changera de distributeur, troquant sa Columbia Pictures au profit de la United Artists, afin d'apporter la couleur à ses court-métrages "Silly Simphonies". Appart cela, Mickey's Nightmare est un court-métrage d'animation appréciable, sans grande nouveauté mais dont l'inventivité permanente de Walt Disney permet tout de même d'y trouver son compte d'humour et de bons sentiments, avec de nombreuses scènes burlesques, très exploités dans ce Disney, sans pour autant délaisser son lyrisme habituel, qui est ici en arrière plan, puisque le réalisateur a préféré privilégié les gags, au coeur d'une histoire que Walt Disney aurait pu plus singuliarisé. Un court-métrage qui a peu d'intêret dans la carrrière de Disney, qui détient son importance seulement dans les événements qu'il va précédés et annoncés.