Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Le Parisien
par A.G.
A condition de rentrer dans le monde étrange et souvent déjanté qu'il nous propose, on peut se laisser tenter par ce film où l'on retrouve d'excellents acteurs comme Tim Roth et John Turturro.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cahiers du Cinéma
par David Vasse
Sous les auspices du conte philosophique, ANIMALS n'en montre pas moins ce que le cinéma indépendant américain peut faire de pire.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le problème est que le jeune réalisateur semble se soucier bien peu du spectateur, auquel il demande en revanche beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Entre allégorie romantique et évocation cinéphilique, l'exercice, faute de s'ouvrir un peu sur le monde et de concevoir le cinéma comme un moyen d'y parvenir, demeure désagréablement confiné.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Eric Libiot
Une histoire absconse, d'un ennui terrible mais au sens formel assez développé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marine Landrot
Le film enchaîne sur la démence sénile et très pipi-caca des trois Frenchies, blanchis sous le harnais et toujours tentés par la randonnée américaine, à bord d'un taxi new-yorkais ahuri (Tim Roth, visiblement désolé d'être aussi désouvré).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
A condition de rentrer dans le monde étrange et souvent déjanté qu'il nous propose, on peut se laisser tenter par ce film où l'on retrouve d'excellents acteurs comme Tim Roth et John Turturro.
Cahiers du Cinéma
Sous les auspices du conte philosophique, ANIMALS n'en montre pas moins ce que le cinéma indépendant américain peut faire de pire.
L'Obs
Le problème est que le jeune réalisateur semble se soucier bien peu du spectateur, auquel il demande en revanche beaucoup.
Le Monde
Entre allégorie romantique et évocation cinéphilique, l'exercice, faute de s'ouvrir un peu sur le monde et de concevoir le cinéma comme un moyen d'y parvenir, demeure désagréablement confiné.
Première
Une histoire absconse, d'un ennui terrible mais au sens formel assez développé.
Télérama
Le film enchaîne sur la démence sénile et très pipi-caca des trois Frenchies, blanchis sous le harnais et toujours tentés par la randonnée américaine, à bord d'un taxi new-yorkais ahuri (Tim Roth, visiblement désolé d'être aussi désouvré).