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Acidus
736 abonnés
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1,5
Publiée le 13 décembre 2012
"La Souris" se compose de gags lourdingues et puérils à la "Maman, j'ai raté l'avion" rendant le long métrage plus appréciable pour les enfants que pour les adultes. C'est mignon mais idiot.
Pour son premier film, Gore Verbinski réalise une comédie délirante au ton très cartoonesque, portée par l’excellent duo Nathan Lane/Lee Evans et des des personnages secondaires réjouissants comme Christopher Walker.
Prenez un soupçon des aventures de « Tom & Jerry », une pincée de « Maman, j’ai raté l’avion », ainsi qu’une bouchée de « Ratatouille » (que ce film a dû tout de même pas mal inspirer…) et vous obtenez le long-métrage « La souris ». Ce dernier constitue ainsi à un divertissement familial estampillé Dreamworks d’honnête facture qui peine toutefois à démarrer mais qui, une fois son rythme de croisière trouvé, ravira petits et grands grâce aux déboires des deux frères (qui sont à chaque fois à la limite du cabotinage excessif) et surtout aux nombreuses farces de cette souris malicieuse !
Léger comme une plume, "La Souris" est un divertissement destiné prioritairement aux enfants. Dirigé par Gore Verbinski, cette comédie fantastique parvient à sortir quelques gags réussis de son chapeau avec une mise en scène et une ambiance pas désagréables en soit. On apprécie effectivement ce petit rongeur malin qui fait tourner en bourrique Nathan Lane, Lee Evans mais surtout Christopher Walken. Car oui, ce-dernier tient une place de choix dans ce long-métrage pourtant peu commun à la filmographie sanglante de l'acteur. De son côté le scénario tire son inspiration d'épisodes de cartoon tels que "Tom & Jerry" en les réadaptant pour le grand écran avec plus ou moins de réussite ce qui au final nous donne un certain plaisir à découvrir les péripéties sévissant dans cette maison infernale.
" La Souris " est un film léger, sans prétention aucune qui amuse plus qu'il fait rire. Les acteurs principaux rivalisent de burlesque pour agrémenter les sympathiques trouvailles visuelles du réalisateur. Certaines scènes font ainsi mouche (la scène des attrape-souris dans toute la pièce notamment est hilarante)... Si l'ensemble fait globalement penser à un dérivé " animalier " de " Maman, j'ai raté l'avion ", le film reste à ne pas bouder, ne serait ce que pour l'apparition surprenante d'un Christopher Walken très... inattendu !
Tiens donc, Gore Verbinski ? Petite surprise que de découvrir que le papa d’une célèbre troupe de pirates signait avec La Souris son premier long-métrage, œuvre que j’ai pu visionner une tripotée de fois étant gamin. L’envie de le redécouvrir m’ayant il y a peu repris, voici un semblant d’avis : conformément à mes souvenirs, La Souris est un divertissement haut en couleur, son caractère grandement comique versant d’ailleurs dans une pléiades de gags cartoonesques. Difficile en somme de le prendre vraiment au sérieux, le film ne se départageant à aucun moment de son objectif premier : faire rire ; pour autant, il faut reconnaître que l’intrigue est suffisamment bien ficelée (jeu de mot du jour) pour intéresser, l’histoire de ces deux frangins fort différents s’avérant au bout du compte plutôt dense, pas forcément surprenante mais non linéaire. A l’humour bon enfant se couple donc quelques bonnes idées, à commencer assurément par cette fameuse souris maligne comme pas deux, aussi improbable qu’indispensable au long-métrage ; s’ajoute à cette dernière quelques séquences toujours aussi folles, à l’image d’un Christopher Walken déjanté, un chat pour le moins teigneux et enfin une vente aux enchères faisant dans le grand n’importe quoi. Mais comme bon nombre de métrages humoristiques, La Souris n’échappe pas au contrecoup de la légèreté à tout prix : cela se ressent notamment au travers de la fratrie incarnée par les amusants Nathan Lane et Lee Evans, leurs protagonistes finissant par manquer d’épaisseur tant ils alignent bêtise sur bêtise (surtout le cadet, un peu trop idiot à mon goût). Bref, La Souris ne vole pas très haut mais il convient de relativiser sur son propos premier, tandis que le dénouement nous fait terminer sur une bonne note : la conclusion est en effet certes tout aussi incongrue que le long-métrage dans son ensemble, mais il s’agit là d’un happy-end véritablement bien trouvé. Une comédie tout public à découvrir sans hésitation en résumé !
J’aimerais bien revoir ce film, je le regardais beaucoup quand j’étais petit. C’est vrai que c’est un peu gentillet mais le rythme est soutenu, ça ne s’arrête jamais, on est surpris, on se divertit. Que demande le peuple ?
Une bonne comédie américaine. Plutôt pas mal dans l'ensemble, on a l'impression de voir " Maman j'ai raté l'avion" mais avec une souris. L'ensemble reste correct et ravira tous les membres de la famille. Drôle...
Gore Verbinski propose ici une comédie loufoque au rythme cartoonesque ou les personnages principaux, deux frères qui ne sont pas toujours sur la même longueur d'onde, s'en prennent plein la tête a cause d'une simple souris. Cette dernière est une vraie souris, pas un échantillon de CGI dégueulasse comme c'est dorénavant le cas.
Bien avant Pirates des Caraïbes, Gore Verbinski s’était déjà fait remarqué. En effet, avec le film « La souris », il a signé une comédie sans grande prétention en un succès commercial considérable. Il faut dire que l’histoire de cette souris qui ne souhaite pas partir au détriment de deux héritiers se laisse regarder. Le scénario et le jeu des acteurs n’est pas extraordinaire mais suffit à passer un agréable moment dans cette comédie familiale.
La chasse à la souris la plus monumentale du cinéma. Les acteurs sont assez bons, les effets spéciaux aussi, on se prend d'affection pour la souris. L'histoire est pas mal, les situations sont assez drôles, et on se prend au jeu du film. Une histoire sympathique, sans être incroyable, de deux frères qui ont hérité d'une maison avec une souris. En définitive, un film relativement vieux, mais qui propose malgré tout quelque chose de cohérent et de divertissant.
Le film me fait moins rire qu'avant, mais certains gags sont toujours aussi drôles, et on passe toujours un agréable moment devant ce film, surtout quand Christopher Walken fait son apparition.