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On retrouve ici l'art de Schrader-scénariste (...) : les personnages, chacun porteurs de leur part de fictions, rêvée ou non, se mêlent pour former une trame aux contours flous, comme la neige brouille les traces de pas, la vision, l'écran.
Affliction ne manque pas de qualités (magnifique interprétation de Nick Nolte, climat à couper au couteau) et l'ensemble a de la gueule. Dommage que Schrader se disperse en courant trop de lièvres à la fois.
Une histoire bousculant les piliers du confort psychologique, une quête d'un amour décapité à la base, une soif de décence écrite par Russell Banks et filmée par un Paul Schrader qui a retrouvé toutes ses facultés.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Paul Schrader trouve, dans l'univers sombre du romancier policier Russell Banks, un écho à ses propres angoisses. Pourtant, malgré un pessimisme sans recours, il est parvenu à construire un film chargé d'émotions.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
(...) Schrader subordonne son filmage à la logique des personnages et des situations. Cette retenue de la mise en scène fait d'Affliction, oeuvre de maturité, son meilleur film depuis Light Sleeper, sinon le meilleur tout court.
Paul Schrader (...) a assez fidèlement restitué l'essence même de l'œuvre de Russell Banks : cet art de scruter minutieusement une réalité très quotidienne pour mettre au jour une fatalité inexorable
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Paul Schrader, jadis scénariste de talent (...) n'a jamais été un réalisateur intéressant (...). Seul moment de grâce : la présence de James Coburn, en vieillard alcoolo et brutal.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Première
C'est une histoire qui interroge la posture virile, l'orgueilleuse défiance des pères (Coburn en butor définitif) pour leurs fils.
Cahiers du Cinéma
On retrouve ici l'art de Schrader-scénariste (...) : les personnages, chacun porteurs de leur part de fictions, rêvée ou non, se mêlent pour former une trame aux contours flous, comme la neige brouille les traces de pas, la vision, l'écran.
L'Evénement
Affliction ne manque pas de qualités (magnifique interprétation de Nick Nolte, climat à couper au couteau) et l'ensemble a de la gueule. Dommage que Schrader se disperse en courant trop de lièvres à la fois.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Une histoire bousculant les piliers du confort psychologique, une quête d'un amour décapité à la base, une soif de décence écrite par Russell Banks et filmée par un Paul Schrader qui a retrouvé toutes ses facultés.
Le Monde
La grande qualité du film de Paul Schrader réside dans la façon dont le cinéaste laisse à son récit le temps de se déployer.
Le Parisien
Paul Schrader trouve, dans l'univers sombre du romancier policier Russell Banks, un écho à ses propres angoisses. Pourtant, malgré un pessimisme sans recours, il est parvenu à construire un film chargé d'émotions.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) Schrader subordonne son filmage à la logique des personnages et des situations. Cette retenue de la mise en scène fait d'Affliction, oeuvre de maturité, son meilleur film depuis Light Sleeper, sinon le meilleur tout court.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Paul Schrader (...) a assez fidèlement restitué l'essence même de l'œuvre de Russell Banks : cet art de scruter minutieusement une réalité très quotidienne pour mettre au jour une fatalité inexorable
L'Obs
Paul Schrader, jadis scénariste de talent (...) n'a jamais été un réalisateur intéressant (...). Seul moment de grâce : la présence de James Coburn, en vieillard alcoolo et brutal.