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    The Big Lebowski
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    1 075 critiques spectateurs

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    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    237 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 avril 2008
    On connait tous un glandeur de première, prétendant au titre de champion du feinéantisme, un mec qui se met en rogne pour pas un rond et un autre qui s'incruste toujours en plein milieu des conversations sans n'avoir rien suivi de ce dont il est question. Eh bien "The Big Lebowski" raconte l'histoire de ces trois gars qu'on a tous dans notre entourage. Le film pose la question : Et si il leur arrivait des embrouilles pas possible, comment régiraient-ils ? Bêtement répondent les Coen. Le film est un vrai plaisir doué d'un humour caustique à souhait. Les répliques sont cultes, on sourit ou se fend en deux devant la si grande décontraction de ce Dude. La musique accompagne le tout, saupoudrant l'univers de mélodies relaxantes pour nous plonger dans le short-caleçon de ce cher Lebowski.Au final "The Big Lebowski" est vraiment un inmancable de l'humour américain de par sa dérision complétement décalée qui rappelle Terry Gilliam en de nombreux points.
    kal-el 02
    kal-el 02

    114 abonnés 843 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 avril 2014
    Jeff Bridges incarne à merveille un amateur de bowling, sans emploi, paresseux et négligé (souvent en robe de chambre ou en bermuda son cocktail favori à la main, un « Russe blanc »,). Lebowski dit « le Duc » est tellement attachant que l’on pourrait le suivre pendant des heures même en l’absence de scénario. Mais ici, l’intrigue est à la fois simple et complexe. Une méprise sur son nom entraîne notre antihéros sur une affaire de faux kidnapping où l’on croise des individus plus ou moins loufoques, dangereux et pervers. Dans notre monde dominé par le stress, l’indolence du bonhomme est un véritable rayon de soleil. Son copain incarné par l’acteur John Goodman, gaffeur cinglé, capable de sortir un flingue en pleine partie de bowling, vaut également le coup d’œil. Les dialogues décalés et la réalisation fantaisiste des frères Coen (les passages oniriques dont l’un à l’intérieur d’une boule de bowling !), la BO cool complètent admirablement le tableau. J’ai adoré la voix narrative du cow-boy interprété par Sam Elliott ainsi que les prestations de tous les seconds rôles (Julianne Moore, Steve Buscemi, John Turturro etc.). Il s’agit de mon film préféré dans la filmographie des frères Coen.
    Lululouci
    Lululouci

    27 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 novembre 2013
    Après le succès de Fargo, les Frères Coen reviennent sur le devant de la scène avec cette comédie absurde et déjanté porté par un excellent Jeff Bridges et un John Goodman par les frères Coen en même temps que Barton Fink, The Big Lebowski devait être réalisé par ces derniers mais il a en même temps été conçus pour être interprété par Jeff Bridges et John Goodman qui étaient tout les deux indisponibles en raison de tournage. La sortie à du être retardé. Quelques années plus tard le film sort enfin après l'immense succès de Fargo. Avec leurs premiers film, les frères Coen nous on laissé entrevoir leur talent pour la comédie mais avec ce film ils le révèlent. Résultat une comédie burlesque et déjanté.
    Un ridicule souvent poussé à l’extrême (la scène du film pornographique à mourir de rire), des répliques hilarantes et surtout des personnages totalement décalé et caricatural, il n'en fallait pas plus pour en faire une comédie au sommet.
    Des acteurs également au impeccable, Jeff Briges incarne magnifiquement "The Dude" et John Goodman est hilarant.
    Habillé comme un clochard, sans manière, M. Lebowski donne au film un coté burlesque assez incroyable. Toujours en train de râlé, de boire son alcool russe, Bridges offre à son personnage une nonchalance mais surtout un coté comique irrésistible. Le personnage incarné par John Goodman vole limite la vedette au duque, raciste, colérique il a tout pour faire plier en deux le spectateur. On retrouve également une autre figure que l'on voit souvent dans les films des frères Coen : John Turturo dans le rôle d'un homosexuel du nom de Jesus.
    Malgré de très bonnes trouvailles scénaristique et visuel le film patine un peu et n'arrive jamais à captivé à cause de nombreuse séquences d'une longueur insupportable. Ce film reste quand même une oeuvre culte qui n'a pas fini de faire rire.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 octobre 2012
    Excellente comédie, style magistral des Frères Coen, des jeux de caméra uniques. Excellents acteurs, tous autant qu'ils sont. Répliques cultes, quiproquos, scènes oniriques... personnages déroutants... un des meilleurs films des Frères Coen, si ce n'est le meilleur. John Goodman est particulièrement drôle. la scène du pétard au volant aussi.
    Très grand film.
    shmifmuf
    shmifmuf

    178 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 avril 2013
    Les Coen ont 2 spécialités le polar décalé(Fargo,Blood simple,Miller's crossing....) et la comédie loufoque.
    The big Lebowski est le meilleur représentant de cette dernière catégorie.
    Un grand film mais avant tout un très bon moment tout court.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    109 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 mars 2013
    Dans la voluptueuse filmographie des frères Coen, The Big Lebowski se place tout de suite après l’énorme Fargo, cela démontrant pour moi que la fin des années 90 fût la période la plus glorieuse pour les frangins cinéastes et scénaristes. Oui, les tribulations du fumeux Duc, ou Dude, incarné par le formidable Jeff Bridges constituent un monument de cinéma, le film étant facilement classifié comme culte, un objet de divertissement, une comédie qui aura surpassé son concept pour prendre des allures de trip éphémère et inoubliable. Oui, les frères Coen se sont souvent approchés de la comédie au travers leur humour noir distinguable de toutes les autres, leurs amours pour la parole, les mimiques et le cocasse. Ici, nul place aux doutes, c’est d’un monument fantasmer et assumé par deux génies dont il s’agit.

    Si les frères Coen en sont pour beaucoup, n’oublions pas de saluer la prestation légendaire de Jeff Bridges, dépenaillé, maladroit, drôle parfois à s’en plier en deux. Il y a aussi, et l’on ne peut passer à côté, le tonitruant John Goodman, ici colérique, sociopathe et d’une stupidité sans bornes, un être indissociable de la légende du duc, de l’abruti flémard de référence qui jongle avec malfaiteurs, bienfaiteurs pour se perdre dans son imagination alors que le monde autour de lui contemple sa bêtise, son obstination à créer lui-même les règles de tous jeux. Le duc est un alcoolique, un sacré clin d’œil au Russe blanc, le duc ne travaille pas, fume de la drogue, joue au Bowling avec un tandem de bras cassé, le duc est sans un sous. Oui, mais par-dessus tout, le duc est pris pour un autre, un autre Jeffrey Lebowski, lui milliardaire. Les ennuis commencent ici.

    Alors qu’on relève quelques scènes relativement mal fichues, peu nombreuses, l’on pourra s’extasier devant bien d’autres, certaines frisant la perfection humoristique, de mise en scène. Jeff Bridges et John Goodman se lâchent complètement, tirent la grimace, gueulent, jurent, au travers d’un scénario qui n’est pas la force première du film, ça même les deux frères l’avouent. Oui, si l’histoire n’est pas exempte de défauts, de légèreté, le concept, les personnages et la coté décalé de l’œuvre en font un énorme poids lourd dans une collection de films, un incontournable américain en terme de comédie, d’humour noir, d’illustration de loosers patentés à l’écran. Bridges et Goodman signent tous deux leur plus emblématique apparitions télévisuelle, voués, là aussi tous deux, à trôner sur des produits dérivés, Shirts, tasse et cendriers.

    Oui, le film aura dépassé l’écran, devenant un concept de mode, 1, 2, 5 ou 15 ans après. The Big Lebowski est un film de geeks en sommes, d’aficionados indétrônables qui défendent leur bébé devant une foule mitigée de détracteurs qui n’auront pas saisi, et qui ne saisissent toujours pas le travail des frères Coen. Le film ne plait certes pas à tout le monde, mais à la majorité, et ceux qui l’aiment en font leur idole. Un film, donc, qui ne laisse pas indifférent. Beaucoup esèrent maintenant revoir Jeff Bridges, John Goodman, Steve Buscemi, John Turturro et autres dans une suite, ce qui n’est pas à exclure et qui consisterai à un énorme évènement ciné. 18/20
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 avril 2012
    A mi-chemin entre David Lynch et Quentin Tarantino, les frères Coen se sont pourtant livrés à une excellente performance en schématisant les mésaventures d’un homme ordinaire embarqué dans une histoire sans queue ni tête pour un bout de moquette qu’il aurait simplement pu apporter au pressing. Et c’est justement cette trame farfelue qui motive un long-métrage spirituel et cynique, débordant d’humour et de situations absurdes. Tout semble prétexte pour mener le Duc (Jeff Bridges) là où il doit se trouver, et pourtant la lourdeur des conjonctures n’est en rien un obstacle à l’enchaînement des évènements, bien au contraire. C’est avec hardiesse que les frères Coen ont fait le pari d’emmener le spectateur jusqu’au bout du film, et l’audace est récompensée puisque jamais le public ne se pose de questions quant à la crédibilité des enchaînements.

    Tout semble normal dans ce fouillis de quiproquos. Mieux, on rit de bon cœur en attendant de vivre la prochaine incohérence en même temps que le personnage principal. Des malotrus s’introduisent chez le Duc pour lui faire payer un acte commis par un homonyme ? Aucun problème, on les suit. Un riche milliardaire embauche le Duc pour ramener sa femme alors qu’il sort plus ou moins de nulle part ? Pas de soucis, on cherche aussi. La fille déjantée de ce même milliardaire fait irruption chez le Duc pour récupérer son tapis ? Classique, cela n’a rien d’étonnant. Et pourtant, tout devrait rebuter un spectateur se sentant lésé d’assister à une farce grotesque et vulgaire. La recette miracle ? L’autodérision permanente. Si le Duc et ses amis se prennent au sérieux, ce n’est jamais le cas des deux réalisateurs qui s’amusent du peu d’humour des protagonistes en faisant contraster la gravité avec laquelle ils appréhendent leurs mésaventures et la mise en scène délirante de ce brouillaminis génial. Illustrations parfaites : les scènes spectaculaires de coma du Duc qui s’opposent pourtant radicalement à sa façon de penser et d’agir : je-m’en-foutiste précaire, il n’est pas censé faire rire mais plutôt exaspérer par sa mollesse. Or, tout est tellement poussé à l’extrême que l’on ne peut que rire d’assister aux rêves pseudo-érotiques d’un " loser " qui passe sa vie en savate et en robe de chambre à boire des Russes-blancs comme du petit lait. Pareillement, la disparition de Donny (Steve Buscemi) est certes fort tragique. Néanmoins, elle n’est que le point d’orgue d’une vie pathétique qui se résume en un simple "la ferme Donny". Ironie du sort, Donny sera resté le béotien de service jusqu’au bout puisqu’il décède au milieu d’une bagarre… d’une crise cardiaque. C’est noir, c’est cynique, et on applaudit.

    Côté casting, il n’y a rien à redire. Jeff Bridges est excellent dans le rôle de la victime désabusée mais entêtée – rappelons qu’il fait tout ce qu’on lui demande pour récupérer un simple tapis. John Goodman incarne à merveille le Vétéran pas tout à fait soigné de la guerre du Vietnam, juif à l’extrême, qui ne vit que pour le bowling, sauf le jour du shabbat. Steve Buscemi brille de par son inexistence et Julianne Moore est tout simplement divine en artiste marginale et fêlée, qui se balance nue accrochée à un harnais pour envoyer des giclées de peinture sur une toile, à la Pollock.

    Situations grinçantes, dialogues de sourds, répliques cinglantes, tout a été pensé pour faire de " The Big Lebowski " une œuvre décapante servie par des acteurs hors du commun, et l’on se régale du début à la fin de ce chef-d’œuvre d’ingéniosité narquoise et d’amertume.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 janvier 2015
    Ennui total.... Aucun intérêt... Pourquoi tant d'admiration sur ce film?
    Sid Nitrik
    Sid Nitrik

    58 abonnés 416 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 novembre 2013
    Un film que l'on ne se lasse jamais de voir et revoir. Les frères Coen nous offrent une excellente comédie pastiche (du « Grand sommeil » de Chandler) bien barrée et qui sublime l'art de la glande et de la nonchalance. L'enchaînement de quiproquos et de situations burlesques vaut son pesant d'or. Jeff Bridges et John Goodman sont littéralement stratosphériques, l'intégralité des seconds rôles vaut gravement le détour (Moore, Buscemi, Seymour Hoffman, Turturro, Huddleston...), aucun personnage n'étant ordinaire. La BO est également terrible, les dialogues décalés de très bonnes qualité. Bref culte et re-culte, le meilleur des Coen avec « No country for old man » dans un tout autre style. Dans mon top 25.
    cbl4
    cbl4

    5 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 novembre 2010
    "un demi point" ne peut-on pas mettre une note plus basse ? Trop généreux alors un demi point pour ce film d'un humour lourd et pitoyable, critique B sur yahoo movies ca en dit beaucoup sur l'humour frenchy pour le placer dans le top 250.
    christine D.
    christine D.

    30 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 mai 2015
    Il n'est pas gros, Lebowski, il est lourd, lourd et ennuyeux, l'intérêt de ce film m'échappe complétement, ni divertissant, ni distrayant, ni esthétique.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 mai 2010
    Une nullité de plus signée par les frères coen, capables du meilleur (millers' crossing, no country for old man, fargo) comme du pire (euh, à peu près tout le reste ?...). ça se veut "décalé", "déjanté", "top cool", c'est surtout bidon et surfait. Hilarant et symbolique de voir des beaufs américains essuyer leurs boules (de bowling) ? bon, si vous le dites...
    limule62
    limule62

    9 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 octobre 2009
    Beaucoup de personne m'ont dit si tu as aimé Fargo, tu vas aimer celui là ! Et bien, non ! Je me suis ennuyée devant cette histoire qui n'a franchement pas beaucoup d'intérêt !!!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 avril 2010
    Je ne comprend pas pourquoi tout le monde aime ce film. Ce n'est pas drôle, mais par contre c'est très ennuyant. C'est d'une lourdeur, il ne se passe rien. C'est encore un de ces film où ça fait "cool" d'avoir aimer car justement le message est tellement inéxistant qu'il doit bien se cacher quelque part. A éviter car je le répéte (voir radoter) ce n'est pas drôle.
    LucasdeGrasse
    LucasdeGrasse

    85 abonnés 585 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 janvier 2009
    Les frères Cohen font des chef-d'oeuvre dramatiques ou policiers mais sont nullisimes dans les comédies. Ce film ne déroge pas à la règle! C'est un truc de blasé avec des pépéres et des personnages agaçant. C'est ennuyant au possible malgré l'originalité de la mise en scène propre aux deux frères. Jeff Bridges est parfait en loser...Mais c'est bien peu pour suciter l'attention.
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