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    Boogie Nights
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    3,8
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    178 critiques spectateurs

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    vivien-b
    vivien-b

    57 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 avril 2014
    Une maîtrise assez impressionnante et même exceptionnelle venant de Paul Thomas Anderson, surtout pour aborder un sujet aussi osé (c'est-à-dire l'industrie du porno dans les années 70 et les terribles années 80), et surtout aussi pour seulement un deuxième film derrière la caméra, qui montre alors très bien l'étendue du talent du réalisateur. Et tout cas cela donne au final un film tendre et drôle mais qui peut s'avérer tout autant dramatique et sanglant (mais jamais véritablement malsain) ; tout vient au final du fait que les personnages barrés et hauts en couleur qui habitent le film ne sont jamais traités comme des horreurs, des gens rongés par le sexe et l'argent, mais au lieu de ça comme des humains, des âmes en peine qui essayent de vivre en communauté malgré la particularité de leur profession. Bref, super photo, supers acteurs, super bite de Mark Whalberg (non, sérieusement, elle est vraiment très grosse), super réalisation... Pour résumer, c'est là un petit chef d'oeuvre de 2h40 qu'on ne voit pas passer. Remarquez aussi que je n'ai glissé aucune blague de mauvais goût dans la critique d'un film traitant du porno, ce qui est tout bonnement un exploit, je peux donc maintenant me considérer blanchi. Merde.
    NomdeZeus
    NomdeZeus

    88 abonnés 1 044 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 janvier 2014
    Pour son deuxième film, Paul Thomas Anderson présente une immense fresque socioculturelle aussi sévèrement membrée que son personnage principal. L'ambition de Boogie Nights est immense: restituer l'évolution de l'industrie pornographique entre la fin des années 70 et le début des années 80 à travers l'histoire d'un célèbre harder américain. Pour parvenir à ses fins, le jeune réalisateur dispose d'un casting absolument incroyable, d'une bande originale restituant parfaitement l'ambiance de l'époque, et d'une mise en scène extrêmement dynamique, enchainant avec insouciance les plans séquences spectaculaires. Résultat: les 2H30 de film s'envolent en un instant et le spectateur médusé se rend compte qu'il vient d'assister à un grand moment de cinéma.
    Yetcha
    Yetcha

    875 abonnés 4 386 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 janvier 2014
    Attention très bon film! Superbement réalisé avec une photographie exceptionnelle et des acteurs fantastiques. Derrière un sujet "léger" on découvre la lourdeur des situations et la détresse des protagonistes. Un très très bon film dont on aurait souhaité qu'il dure encore plus afin de balayer sur une période encore plus longue l'évolution de ce milieu si particulier qu'est l'industrie du porno.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 décembre 2013
    Paul Thomas Anderson nous entraine dans le monde merveilleux de l'industrie pornographique des années 70-80, au tournant de la révolution VHS. Un film, qui traite d'un sujet sulfureux, où l'on peut facilement tomber dans le putassier bien crade. Le réalisateur nous en ressort un drama très poétique ou la pulsion sexuelle n'est plus et les liens d'amour-amitié-attirance sexuelle se confondent et se mélangent. Le complexe œdipien appliqué tel quel. Très sobre dans ses effets et dans l'interprétation, on y retrouve une très belle dissertation sur le "succès", les recettes de celui-ci, les limites de ce succès et les conséquences de tout ça. C'est un long film, mais il n'est pas long en durée, Anderson sait jouer de sa temporalité pour laisser des moments en suspens, comme hors du temps. C'est fascinant, et le plan final très bien trouvé. Car ce coquin de réalisateur montre au final l'objet de fascination initial, ce qui régit le film, le personnage principal, ce qui fait de lui ce qu'il est et ce qu'il sera. Très philosophique, la marque des grands réalisateurs.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    85 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 décembre 2013
    Un film fun et virtuose, à l'énergie dévastatrice. Héritier de Martin Scorsese, Paul Thomas Anderson raconte avec brio la carrière d'un jeune acteur porno, incarné avec talent par Mark Wahlberg. C'est donc à une plongée passionnante dans l'industrie du sexe que nous convie l'équipe du film, monde à la fois accueillant, hilarant mais aussi dramatique. Au son d'une excellente bande originale, Anderson sait varier les ambiances et retracer les destinées sous une forme chorale. On pense à "Ed Wood", de Tim Burton, qui lui aussi montrait le parcours d'un réalisateur de nanars se comparant à Orson Welles. Les enjeux sont ici les mêmes : alors que son gagne-pain est généré par une industrie basée sur la consommation, Jack Horner tente de prouver son intégrité d'auteur et de ramener le cinéma X à un art au même titre que les autres. L'idée est excellente, les personnages immédiatement attachants malgré leur côté parfois tête à claques et le film un véritable bijou.
    Truman.
    Truman.

    227 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 décembre 2013
    Boogie Nights ? Mouais au vu de l'affiche on dirait un film de danse sur de la musique disco, il manque juste John Travolta quoi !
    Et bien non ce n'est pas un film de disco mais une descente aux enfers, une descente aux enfer dans l'univers de la pornographie dans les années 70/80 .

    Au début tout se passe bien, magnifique plan séquence qui t'éclate la rétine, ambiance chaude dans une bande son vraiment sympa et photographie très sympathique .
    Oh oui la réalisation transpire la réussite en tout points ( sans pour autant crier au génie ), c'est soignée et les quelques plans séquences sont parfaits .

    Ensuite le film se décompose en deux parties, la première ou on l'on entre dans l'univers de la pornographie et on découvre une ambiance cool ou tout se passe bien .
    Les acteurs baisent et font des films, ils gagnent de l'argent et se payent de jolies maisons, de supers voitures et la vie est belle, ils ont tout et se prennent pour des stars .

    Puis la drogue fait son apparition, ils redescendent sur terre et la descente aux enfers commence, cette seconde partie change radicalement, ici ça commence a devenir sombre et violent .
    La dépendance a la drogue augmente et la violence va elle aussi augmenter, les acteurs tout comme le réalisateur semblent perdu et rien ne va plus .
    Le casting est excellent avec Mark Wahlberg, Burt Reynolds, Julianne Moore et John C. Reilly .

    Boogie Night est au porno ce que sont les Affranchis a la mafia, violent, cru, percutant baignant dans une excellente bande son et une super réalisation, Paul Thomas Anderson n'y va pas de main morte offrant une mise en scène impeccable sans jamais sombrer dans la vulgarité .

    Le monde de la pornographie tel qu'il est réellement, un enfer de violence, de sexe et de drogues, une claque .
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 novembre 2013
    4,5 étoiles et demi. Pourquoi ? Parce que quand je sélectionne 5 étoiles, je vois écris "chef-d'oeuvre" dans la description. Vous voulez un chef-d'oeuvre académique d'une beauté figée ? Regardez "There will be blood". Vous voulez voir un film qui marque l'arrivée de l'un des plus grands cinéastes de sa génération ? Regardez "Boogie Nights". Vous voulez pleurez, rire ? Regardez "Boogie Nights". Vous voulez voir un film à haute teneur symbolique tout en écoutant une bande-son qui vous feras sauter sur le canapé ? Regardez "Boogie Nights". Vous voulez voir Mark Wahlberg porter une prothèse terrifiante ? Vous avez des fantasmes discutables, mais regardez "Boogie Nights". Vous.. regardez "Boogie Nights" quelque soit les raisons qui vous portent à le faire, ça ne me regarde pas, mais regardez-le, lui.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 octobre 2013
    Boogie Nights constitue le deuxième long métrage réalisé par Paul Thomas Anderson, alors qu'il n'a que 27 ans... Il s'inscrit dans la continuité du reportage fictif que l'auteur avait réalisé 10 ans plus tôt, the « Dirk Diggler Story ».

    Le film n'hésite pas à mettre en lumière un milieu au fonctionnement grandement méconnu du grand public, du fait du puritanisme de la société occidentale. Ainsi, PT Anderson va faire de l'inédit : son film parle ouvertement de sexe et montre des tournages porno, sans y aller par quatre chemins. Il faut dire que son script initial laissait entrevoir une approche directe : Eddie Adams (Mark Wahlberg) va devenir Dirk Diggler, acteur porno renommé pour son charisme, mais surtout pour la taille massive de son engin.

    Le scénario ne fait pas dans l'original (dans sa structure, entendons-nous bien): Boogie Nights relate l'ascension du nouveau roi de la baise filmée, et les difficultés qui vont accompagner sa nouvelle notoriété. Toutefois, l'interprétation des acteurs s'avère être une grande réussite, avec une mention spéciale pour Mark Wahlberg (Dirk Diggler), Burt Reynolds (le réalisateur porno Jack Horner), et Philipp Seymour Hoffman, méconnaissable en gay graisseux et pathétique. Le deuxième point fort du film, c'est sa touche d'humour imparable. De nombreuses scènes sont hilarantes, comme le cocufiage récurrent de Little Bill, où les trailers de promotion des films produits par Jack Horner.
    Enfin, l'esthétique parfaite du film, la succession de plans audacieux, couplés à une bande son tonitruante achèvent de faire passer au spectateur un très bon moment de cinéma.

    Boogie Nights constitue une belle réussite, dans la mesure où il transgresse les codes d'Hollywood, en proposant un sujet inédit et sulfureux, un peu à l'image de Larry Flint de Milos Forman, sorti en salles un an auparavant. Toutefois, et très subjectivement, il lui manque ce petit quelque chose qui distingue les bons films des grands films.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 novembre 2013
    Ambiance saisissante. Un très bon film, très peu prévisible dans son dénouement, ce qui est appréciable.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 octobre 2013
    Après un Hard Eight en demi-teinte, il était logique que je continue ma rétrospective du cinéma de Paul Thomas Anderson avec son deuxième film, le sulfureux Boogie Nights, à la fois intrigué par ce que le film semblait proposer mais aussi un peu inquiet quand à ce sur quoi on aurait pu tomber.

    En effet, pour résumer, le film avait tout pour être casse gueule. Franchement, un film qui parle de l'ascension d'un acteur ... porno ... et des soucis qu'il va rencontrer en fréquentant ce milieu ... pendant 2 putains d'heures 30 ... Autant dire que le risque de tomber sur un film longuet, prévisible, chiant, vulgaire et bourré de clichés était quand même non négligeable. Il s'en sort pourtant de manière magistrale !

    Le film ne tombe dans aucun de ces pièges, Anderson jouant avec eux en permanence, et parvenant à tirer profit du moindre obstacle qu'il rencontre. Boogie Nights est un film à la structure narrative d'un Scarface ou d'un Barry Lyndon (une ascension colossale suivie d'un violent déclin ... une structure qui marche quasiment à chaque fois sur moi et que j'adore !) passionnante et très fine, absolument pas vulgaire et au contraire de ce que le sujet de base pouvait laisser croire, très humain, qui se joue des clichés pour mieux mettre en avant la réalité. Il réussit aussi à échapper à l’écueil de la prévisibilité en évitant de tomber dans cette dernière autant que possible, et en arrivant malgré le fait que, dans un tel contexte, certaines grandes directions scénaristiques se devinent (en même temps, y’avait pas 36 manière de faire avancer l’intrigue) à rester passionnant de bout en bout et a tout de même conserver quelques beaux retournements de situation dans sa poche. Et puis, pour ceux qui comme moi ne connaissait rien à l’histoire de l’industrie pornographique des années 70-80, ça donne aussi au film un certain aspect documentaire qui le rend d’autant plus intéressant.

    La vraie réussite du film réside sans doute dans l’universalité des innombrables sujets abordés qu’il arrive à atteindre au final en partant d’un univers si réduit et privé qu’est le monde de la pornographie des années 70-80. Car à travers cette industrie, ses règles, son évolution, ses réalités et ses risques, c’est au cinéma en général, voir parfois même au commun des mortels qu’Anderson touche, tant pas mal des aspects qu’il met en avant sont autant vraies dans d’autres milieux sur lesquels, contrairement au porno, ça ne choque personne (on notera d'ailleurs que le réalisateur n'émet aucun jugement vis à vis de l'activité de ses personnages, sans les défendre pour autant).

    Non content d’être parfait sur un plan narratif, le film se paie aussi le luxe d’être un diamant sur le plan technique, avec une réalisation magnifique, une bande originale magnifique et un casting tout simplement parfait. Tellement parfait que même l’inutilité vis-à-vis de l’intrigue de certains personnages passe comme une lettre à la poste tant chacun d’entre eux sont parfaitement interprétés et utilisés (William H. Macy est magique, Wahlberg est parfait, Phillip Seymour Hoffman est culte en cadreur gay qui en pince pour Diggler, et Burt Reynolds est génial en réalisateur porno).

    Le seul petit bémol que j’aurais à exprimer vis-à-vis du film (et encore, c'est vraiment très mineur vis à vis du résultat global) ce serait en fait la toute fin.

    Je dois avouer que j’ai du mal à comprendre pleinement le pourquoi de ce happy ending, que je trouve assez en décalage avec le reste du film.

    Bien sûr, je comprends qu’il n’est que partiel, puisqu’il montre que c’est un milieu qui emprisonne définitivement ses membres en son sein sans possibilité de pouvoir en sortir (surtout pour Dirk) autrement que par un coup de chance extraordinaire ou un miracle (le cas de Buck, qui même malgré ça, finit par y retourner d'ailleurs), mais au regard des événements de la fin du film, je trouve la manière dont tout se résout tout de même un peu trop rapide (voire facile sur certains points) …

    C’est toujours mieux que la fin de Hard Eight car au moins ça conserve une vraie cohérence, mais je trouve la rupture de ton entre ce déclin et cette renaissance est bien trop abrupte et soudaine (et, dans le cas de cette dernière phase, bien trop courte et survolée) pour être pleinement efficace.

    Mais bon, comme je l'ai dit plus haut, c'est tellement du détail qu'on excuse sans le moindre problème cet empressement final, qui ne ruine en rien tout ce qu'avait apporté le reste du film.

    Bref, pour ce qui n'est seulement que son deuxième film, PTA nous livre un chef d'oeuvre très original et couillu, vraiment pas loin de la perfection. Un film impressionnant à voir absolument

    Ma Note : 18/20
    Don Keyser
    Don Keyser

    73 abonnés 1 641 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 juillet 2013
    Doté d'un scénario très bien écrit, original et s'adaptant de faits réels, "Boogie Nights" entraîne le spectateur dans une histoire loufoque et rocambolesque. De ce fait, la réalisation est très minutieuse pour mélanger moments très comiques, plus érotiques et aussi émouvants. Par ailleurs, les acteurs sont extrêmement convainquants, mention particulière à Mark Wahlberg et Juliane Moore. Ainsi, le film est totalement captivant, du début à la fin, grâce à un ensemble très maîtrisé pour toucher le spectateur et le divertir.
    Plume231
    Plume231

    3 878 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 juillet 2013
    Quand Paul Thomas Anderson aborde l'univers du porno de la fin des années 70-début 80 et la transition d'un genre cinématographique à part entière à l'amateurisme vidéo, il évite remarquablement trois choses que l'on pouvait craindre avec un tel sujet : la vulgarité, le racolage et le moralisateur. Au contraire, c'est avec une justesse parfois stupéfiante (en particulier pour les films tournés dans le film, le jeu amateur hors des séquences de sexe, les griffures, les flous, les tremblements de caméra, le grain tout simplement, même les caractères des lettres pour le générique... où là on est en plein dans la perfection !!!), et un ton qui oscille entre le sarcastique et une tendresse non dissimulée que le cinéaste au sommet emballe le tout. On peut difficilement oublier de signaler aussi une technique de prodige et une équipe d'acteurs absolument formidables... Incontestablement une grande réussite.
    this is my movies
    this is my movies

    698 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 avril 2016
    Déjà connu de quelques cinéphiles pour "Hard eight", l'ultra-doué P.T. Anderson explosa à la face du monde avec ce film, biopic fictif inspiré par la légende du porno J. Holmes, connu pour son sexe démesuré. Le talent de metteur en scène de Anderson est visible dès l'ouverture avec ce plan-séquence magistral qui présente en 3 minutes chrono les personnages principaux. Mais le talent visuel de Anderson, c'est aussi sa recherche d'axes, de plans et de compositions sublimes et narrativement très utiles car sa maîtrise de la grammaire visuelle lui évite de nombreuses répétitions. C'est aussi un scénariste hors pair qui raconte différents destins avec un brio peu commun, depuis largement repris, avec des dialogues parfaits et des acteurs à son service, son flair et ses qualités dans ce domaine étant au dessus de la moyenne. Un cinéaste complet donc qui se révèle dans ce film noir, violent, dur, âpre et tortueux, peinture d'un milieu décadent et en pleine mutation, le tout au milieu d'un Los Angeles lumineux. Des destins forts, brillamment interprétés, un film sans bout de gras malgré sa longueur, dense et riche de nombreux clins d’œil pour les puristes. D'autres critiques sur
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 juin 2013
    Une histoire bien ficelée, un groupe de personnage attachants, une bande son incroyable, des scènes tarantinesques... bref un chef d’œuvre ! Bien sur à voir absolument en VO !!
    Abarai
    Abarai

    132 abonnés 1 507 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juin 2013
    Surprenant et passionnant, "Boogie Nights" nous plonge dans le cinéma porno des années 70/80.
    Loin de toute vulgarité outrancière, Paul Thomas Anderson signe une fable drôle et osée, emmené par un casting de haute volée - Marc Wahlberg, Burt Reynolds, Julianne Moore, William H. Macy, John C. Reilly ou encore Philip Seymour Hoffman.
    Un bon film, qui même s'il n'échappe pas à certaines conventions abusives (porno = alcool + drogue), reste maîtrisé et parfois hilarant.
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