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    Boogie Nights
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    178 critiques spectateurs

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    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 952 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mai 2021
    Plongée folle dans l’univers décadente de l’industrie porno des années 70 et 80, à travers une histoire inspirée de la vie d’une star de l’époque, John Holmes.
    Un film culte à la mise en scène brillante, porté par un casting grandiose et une BO dingue.
    Alasky
    Alasky

    346 abonnés 3 385 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 novembre 2020
    L'ambiance seventies est tellement réussie, on croirait que le film a été tourné dans les 70's. Casting de haut vol, tous les acteurs/actrices jouent le jeu avec brio. Dommage que le film soit si long, interminable.. 1 heure de moins pour nous montrer l'industrie du porno ça aurait été juste génial.
    bobbyfun
    bobbyfun

    40 abonnés 1 246 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 janvier 2020
    Vibrant hommage de l'âge d'or du porno, Anderson le dépeint comme s'il en était une grande famille. Magnifiquement touchant.
    mx13
    mx13

    241 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mai 2019
    Un bon film de romance qui bascule soudainement dans le thriller. Thomas Anderson est décidément un des meilleurs dans le domaine des très longs métrages. Bonne mise en scène qui ne s’essouffle jamais. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5
    Cyril J.
    Cyril J.

    26 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 décembre 2018
    De 1977 à 83, dans une ambiance libertaire encore épargnée du sida et du mercantilisme dévastateur de l’industrie de la cassette vidéo adulte, un réalisateur de films érotiques repère un grand ado exceptionnellement bien monté, dont la carrière le propulsera très vite au rang de star nationale du porno. La première partie relate l’ascension fulgurante d’une célébrité transitoire, bientôt suivie de son inévitable déchéance, programmée par ces règles de superficialité triomphante et de course au spectaculaire transitoire. Sous le ton d’un vaudeville glauque et désinvolte, valsant avec les puissances de l’argent, du sexe et de la drogue, ce film est un pamphlet sur la dangereuse inconscience de l’école de l’illusion éphémère, filmée depuis les coulisses coïtales insolites et banalisées d’un certain cinéma, avec la finesse de ne jamais montrer la moindre scène de cul. L’intérêt se focalise dans le syndrome de la star, dans le feu d’une ascension insolente autant que dans la menace de la disjonction identitaire par narcissisme mégalomane.
    A mes yeux le personnage le plus paradoxal, c’est l’attachant réalisateur blasé (Burt Reynolds) qui conserve malgré tout l’âme d’un cinéma poétique, tournoyant autour de ce grand gamin doué (Mark Wahlberg) dont l’immaturité ne lui permet pas de voir venir la perversion du succès facile, l’altération toxicomane, l’artifice financier et la duperie d’un trône illusoire. A l’instar de ces jeunes filles exploitées le temps de l’éclat passager de leur beauté, et reléguées dans le caniveau d’où elles proviennent une fois épuisée leur moment de gloire et de séduction, ce destin masculin se mêle à d’autres portraits tout aussi touchants. Car ce drame psychologique de 1997 s’enrichit des aventures d’autres acteurs déçus ou périmés, et de celui de l’épouse du réalisateur, incarnés par une flopée d’authentiques vedettes (Don Cheadle, Luiz Guzman, Alfred Molina, Julianne Moore, Philipp Seymour Hoffman, Thomas Jane, William H. Macy, John Reilly…), toujours très sympas à revoir, surtout avec leur look d’il y a 20 ans.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 décembre 2018
    Le panaché sexe, drogue et disco sans danger au commencement de l’histoire, cette réalisation possède la plus grosse paire du grand cinéma étalé sur deux décennies, la wave party reprend la seconde en continu olé-olé. Un hommage à la production de vidéo cassette pornographique et aux humbles films de série B et Z. Les réalisateurs pornographes sont des coquins voyeurs pour leurs résistances à la débandade du rire. Un fond dramatique chez cette star du X masculin, beau sensuel comme dieu grec, prêt à tout pour réussir dans ce milieu de gus et nenettes de la débauche planante. Une mise en scène constante, des drames, de la nymphomanie, un milieu de cocuage coule à flot l’alcool et la snife jusqu’à l’overdose de drogue du roi dollars. Beaucoup de choses intéressantes à retenir dans cette longue intrigue coquine se glisse aussi derrière une parodie où tout tourne autour du sexe et l’on se demande pourquoi c’est toujours les mêmes qui raflent les prix « Oscar du Hot ». Ça bouge énormément dans une ambiance pleine de musiciens rockeurs discothèques, des copains avec les pornographes pour leur filer la dose substantielle. Fini les années 70, place à 80 et la technicité électronique d’avant-garde direction l’Est, Nena et son 99 luftballons
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    685 abonnés 3 005 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 novembre 2018
    Avec son premier film, Paul Thomas Anderson célèbre le cinéma sur pellicule qui n’a d’autre réceptacle que la salle dans laquelle il est projeté ; ainsi croise-t-il d’une manière très intelligente la naissance de la VHS et donc de la consommation cinématographique individualisée avec la mise à mort d’une tradition dont les tenants s’exposeront par la suite aux pires déviances. Car la pornographie avant les années 80-83 s’apparente à une bulle protectrice où il fait bon vivre ; nous y sommes comme en famille – chaque protagoniste entretient avec sa propre famille une relation périlleuse et trouve une échappée dans cette vaste villa dont chaque couloir semble la branche d’un arbre généalogique gigantesque. La caméra virtuose embrasse l’enchaînement logique des actions par un goût prononcé pour le plan séquence au passage incroyablement réalisé qui reproduit l’effervescence des années 70. On apprécie également le regard presque enfantin avec lequel le réalisateur aborde l’univers pornographique, ne montrant que très tardivement au spectateur ce qu’il meurt d’envie de voir, proposant une galerie de personnages-sketchs aussi drôles que touchants. Voire tristes. Car à mesure que le film avance s’installe en bouche un arrière-goût rance : quelque chose ne fonctionne plus, l’âge d’or semble révolu, les choses sérieuses commencent et, avec elles, le malheur. Pour incarner cette lente descente, Anderson s’entoure d’un casting incroyable, Mark Wahlberg en tête, qui donne de la chair à une écriture polyphonique intéressante quoiqu’un peu trop chargé de symboles. Tragicomédie monumentale, œuvre qui veut en mettre plein la vue au risque peut-être de se répéter ou d’enfoncer des portes ouvertes, Boogie Nights capte l’homme dans sa folie et ses étoiles intérieures sans jamais se poser en moralisateur.
    liamsi
    liamsi

    18 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2018
    Le film le plus dynamique de Paul Thomas Anderson, visuellement c'est toujours aussi soigné et contrairement à ses autres films il y a une petite touche d'humour très bienvenue. Le dernier chapitre du film est brillant voire culte !
    The Claw
    The Claw

    62 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 octobre 2018
    Ca devait bien faire plus de 15 ans que je ne l'avais pas vu, et pourtant, je n'en avais quasiment rien oublié! Un excellent film, à la fois osé, drôle, triste, sexy, avec du suspense. Un film qui dure plus de 2h30 et pourtant on ne s'ennuie jamais. Les acteurs sont tous excellents dans leurs rôles, avec mention pour Burt Reynolds et Julianne Moore. La bande son est colossale, du début à la fin du film : on a l'impression de revivre ces années, de 1977 à 1983. Le film est déconseillé aux moins de 16 ans, mais on est d'accord : vous avez tous plus de 16 ans ?! Donc si vous ne l'avez pas encore vu, je vous le recommande chaudement!
    fooker95
    fooker95

    4 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 août 2018
    L’erection puis la débandade de Dirk Digler, représentées de manière drôle et alerte par Anderson, sans oublier certains personnages aussi savoureux que celui du réalisateur et de Julianne Moore, attachante et pitoyable, ou encore de Philipp Seymour Hoffmann (beaucoup de jeunes acteurs dans ce film qui deviendront des stars !). Ce film divertit et amuse, peut être deux surprises : un film sur la pornographie mais bien prude, et une décadence du personnage bien douce. Bref un hard plutôt soft, en fin de compte.
    Nicolas S
    Nicolas S

    43 abonnés 542 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 février 2018
    'Boogie Nights' commence en trombe, dans un feu d'artifice 70s : c'est drôle, coloré, rythmé. Malheureusement le film se perd ensuite, de la même façon que ses héros, dans des intrigues secondaires sordides et inutiles qui nous font craindre la tragi-comédie moralisatrice. Si PTA a finalement le bon goût de sauver ses personnages, on ressort tout de même un peu épuisé de ce 'Boogie Nights' trop long, trop plein de fioritures, et parfois excessif jusqu'à l'hystérie dans ses situations comme dans ses effets visuels et sonores.
    vivilenono
    vivilenono

    32 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mai 2017
    Sur fond de décennies disco joyeuse et lunatique. Dirk Diglers aka 33 cm, pas mauvais garçon mais pas franchement brillant se découvre une véritable passion dans l'industrie du X et cherche par tous les moyens à devenir une star dans son métier. Gloire nostalgique des 70s-80s, star déchue, tout y passe dans cette belle Amérique glorieuse et libérée !
    La bande son est géniale, et les performances des acteurs sont tout à fait respectables !

    Bonne séance
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 avril 2017
    Surprenant, Boogie Nights raconte l'histoire d'un timide jeune homme doté d'une troisième jambe. A travers son parcours et celui de son entourage, nous découvrons le monde du porno des années 70 à 80. Le film, qui oscille entre comédie loufoque et drame bienveillant, gagne en tension au fil des minutes sans pour autant pâtir de longueurs. Enfin, Boogie Nights se distingue par une complicité criante entre les acteurs qui y incarnent des personnages authentiques et attachants.
    Eselce
    Eselce

    1 386 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Pour une comédie, il n'y a pas tellement d'humour ! On ne sait pas bien si les scènes doivent nous faire rire ou non... Le gars qui se fait cocu sans arrêt par sa femme, le sait et lui reproche en direct mais tout le monde s'en fou et lui ne fait rien pour que ça change, il prend juste la fuite et se plaint à qui veut l'entendre... Le langage cru et sérieux de Mark Walhberg qui se voit le plus sérieusement du monde en star de films x... Le sujet est traité avec beaucoup trop de sérieux et joue tout du long sur la frontière entre humour et sérieux avec un penchant favorable au mode "sérieux". Dommage quand on espère un humour décapant et une moquerie cette lucrative industrie. C'est plus un biopic maladroit qu'une comédie. Beaucoup d'erreurs de cadrage et un manque d'appuis et de scènes humoristiques.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 janvier 2017
    Du Grand Art. Pour son second long métrage, le réalisateur Paul Thomas Anderson nous emmène dans l'ambiance décadent et déchanter de l'industrie de la pornographie dans les années 70 a travers son nouvel ovni cinématographique. Pour Commencer la Mise en Scène est éblouissante en regorgeant de sublimes Plans Séquences sans coupure assez hallucinant tout en disposant d'une belle reconstitution des années seventies et qui accompagné d'une BO disco endiablé qui contribue énormément au long métrage. Ensuite le Scénario est quand a lui Passionnant du début à la dernière seconde en suivant l’ascension a la gloire ainsi qu'a la chute d'un jeune acteur de porno ainsi que les dessous industriels du cinéma pour adultes a travers un rythme maîtriser au cours des 2h30 de film,Ajouter a cela une multitude de Séquences Mémorables qui sont rester dans les annales en passant par des Dialogues parfaitement ciselé qui sont digne d'un Scorcesse ainsi qu'une bonne dose d'Humour grinçant mais aussi quelques scènes de nudités et de sexe particulièrement explicites sans oublier quelques moments particulièrement dérangeant a réserver a un public avertie qui n'oublie pas pour autant d'y apporter quelques notes d'émotions lors des moments intimistes. Enfin le film regorge d'une galerie de Personnages hauts en couleurs grace notamment a l'interprétation impeccable de son Casting de haut vol qui permis entre autres de faire connaitre au grand public le talentueux Mark Whalberg qui explose totalement a l'écran pour son premier grand role au cinéma en campant le personnage de Dirk Diggler un jeune acteur débutant dans les films pour adultes dont on parvient a suivre son évolution au fur et a mesure que le film avance, a ses cotés le comédien est épaulé par une impressionnante galerie de Seconds roles comme Julianne Moore,Burt Reynolds,Heather Graham,John C. Reilly,Don Cheadle,Luis Guzmán,Philip Seymour Hoffman,William H. Macy,Alfred Molina et Nicole Ari Parker qui complete cette distribution de luxe. En Conclusion, Boogie Nights est un véritable perle dans l'histoire du Septième Art qui confirme que Paul Thomas Anderson a tout d'un grand cinéaste et qui livre ici une oeuvre a la fois Jouissif,Sulfureuse,Entraînant,Corrosif et Poignant qui rentre incontestablement au panthéon des plus grands films des années 90 a voir impérativement et qui confirmera par la suite le génie incroyable de Anderson pour ses autres films suivants.
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