Minuit dans le jardin du bien et du mal : Critique presse
Minuit dans le jardin du bien et du mal
Note moyenne
4,8
5 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Le Monde
Libération
Positif
L'Humanité
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5 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Antoine de Baecque
Eastwood est (…) là, derrière chaque plan (…) tournés par un cinéaste en état de grâce.
Le Monde
par Jean-Michel Frodon :
[Un] film qui, sans effort perceptible, allie le classicisme de sa réalisation et le modernisme radical de sa mise en scène, celle des grands, ceux qui savent que l’essentiel est ce qui n’est pas montré. Le Monde, 12 mars 98
Libération
par Gérard Lefort
(…) la subtilité eastwoodienne [est] outrageante et bouleversante, désarmante et désarmée, vénéneuse et suave. Libération, 11 mars 98
Positif
par Jean-Pierre Coursodon
"Minuit dans le jardin du bien et du mal" est un film pluriel, parfois onirique et iconoclaste, toujours à contre-courant du cinéma hollywoodien actuel. Positif 445, mars 98
L'Humanité
par Jean Roy
On aime (…) cette incrustation d’un documentaire dans la fiction, ou cette inscription dans la fiction dans un cadre documentaire, qui faisait déjà tout le prix de « Sur la route de Madison », cette familiarité intime et non affichée. L’Humanité, 11 mars
Cahiers du Cinéma
Eastwood est (…) là, derrière chaque plan (…) tournés par un cinéaste en état de grâce.
Le Monde
[Un] film qui, sans effort perceptible, allie le classicisme de sa réalisation et le modernisme radical de sa mise en scène, celle des grands, ceux qui savent que l’essentiel est ce qui n’est pas montré. Le Monde, 12 mars 98
Libération
(…) la subtilité eastwoodienne [est] outrageante et bouleversante, désarmante et désarmée, vénéneuse et suave. Libération, 11 mars 98
Positif
"Minuit dans le jardin du bien et du mal" est un film pluriel, parfois onirique et iconoclaste, toujours à contre-courant du cinéma hollywoodien actuel. Positif 445, mars 98
L'Humanité
On aime (…) cette incrustation d’un documentaire dans la fiction, ou cette inscription dans la fiction dans un cadre documentaire, qui faisait déjà tout le prix de « Sur la route de Madison », cette familiarité intime et non affichée. L’Humanité, 11 mars