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7 critiques presse
Critikat.com
par Carole Milleliri
[Reprise] L’issue du film fait du parcours de Terry Malloy une initiation strictement personnelle, où la nécessité d’une lutte de classe semble finalement éclipsée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
France Soir
par André Lang
"Sur les quais" est une œuvre d'un mérite exceptionnel, servie par un très grand comédien. France-Soir, 18 janvier 55
Libération
par Simone Dubreuilh
["Sur les quais"] est diaboliquement habile et joué à la perfection. Libération, 18 janvier 55
Cahiers du Cinéma
par Jacques Doniol-Valcroze
"Sur les quais" demeurera (…) présent dans la mémoire pour ses seules parties qui concernent l'aventure amoureuse entre Terry Malloy (Marlon Brando) et Edie Doyle (Eva Marie Saint). Cahiers du cinéma 44, février 55
Le Monde
par Michael Braudeau
Marlon Brando est évidemment inoubliable, comme Eva Marie Saint [et] la mise en scène (…) dégage une beauté puissante. Le Monde, 3 octobre 86
Les Inrockuptibles
par La Rédaction
[Reprise] Dilemme moral de la dénonciation présenté de façon lourdingue.
Positif
par Jacques Demeure
Le jour où Elia Kazan aura compris que la réalisation ne se limite pas à la recherche d'un statisme plastique, mais comporte également la création d'un récit dynamique, parviendra peut-être, faisant moins de photographie et un peu plus de cinéma, à créer un film. Positif 14-15, novembre 55
Critikat.com
[Reprise] L’issue du film fait du parcours de Terry Malloy une initiation strictement personnelle, où la nécessité d’une lutte de classe semble finalement éclipsée.
France Soir
"Sur les quais" est une œuvre d'un mérite exceptionnel, servie par un très grand comédien. France-Soir, 18 janvier 55
Libération
["Sur les quais"] est diaboliquement habile et joué à la perfection. Libération, 18 janvier 55
Cahiers du Cinéma
"Sur les quais" demeurera (…) présent dans la mémoire pour ses seules parties qui concernent l'aventure amoureuse entre Terry Malloy (Marlon Brando) et Edie Doyle (Eva Marie Saint). Cahiers du cinéma 44, février 55
Le Monde
Marlon Brando est évidemment inoubliable, comme Eva Marie Saint [et] la mise en scène (…) dégage une beauté puissante. Le Monde, 3 octobre 86
Les Inrockuptibles
[Reprise] Dilemme moral de la dénonciation présenté de façon lourdingue.
Positif
Le jour où Elia Kazan aura compris que la réalisation ne se limite pas à la recherche d'un statisme plastique, mais comporte également la création d'un récit dynamique, parviendra peut-être, faisant moins de photographie et un peu plus de cinéma, à créer un film. Positif 14-15, novembre 55