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    Le Verdict
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    maxime ...
    maxime ...

    237 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 août 2019
    Sydney Lumet comme dans la plupart de ces films se bat constamment contre l'ordre établit, les idées reçus et surtout plaide en faveurs des défaites annoncés et courus d'avances. Douze Hommes en Colères, Serpico, Un Après-Midi de Chien, L'Homme à la Peau de Serpent sont des exemples plus ou moins explicite auquel s'ajoute Le Verdict. Ce dernier revisite le mythe de David contre Goliath tout en refilant les clés du camion à un Paul Newman des plus inspirés. Un acteur qui fait office de Grand parmi les Grands ! Le scénario prend quand à lui au bide et trouve une lucidité à travers le voyage périlleux de ses protagonistes qui dégringolent. Ils chutent, ils se relèvent néanmoins. La tirade de Franck incarne parfaitement cela mais c'est assurément touts les silences qui traînent ici et là qui laisse entrevoir cette constatation avec plus de clarté ... Un film qui prend son temps, qui nous perds parfois mais difficile de ne pas en ressortir bouillant et conquis par son audace et sa délicatesse. Qui plus est sans esbroufe superflus, le calme olympien règne en maître.
    pierrre s.
    pierrre s.

    425 abonnés 3 302 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 mars 2019
    Le Verdict est un film judiciaire banal au déroulement lent et assez prévisible. Lumet a su faire beaucoup mieux.
    Jrk N
    Jrk N

    38 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 février 2019
    The Verdict de Lumet en 82 d'après Barry Reed avec Paul Newman (superbe en avocat déchu) ; Charlotte Rampling (transcendante en séductrice traîtresse) ; Jack Warden (formidable en copain solide de l'avocat) ; James Mason (parfait comme toujours en adversaire coriace) ; Milo O'Shea (impayable en juge pourri) : au sujet de la pourriture de l'église bostonienne, sa collusion avec l'establishment, le mensonge et piège l'alcool. Très belles vues de la vieille ville de Boston et d'un pub ancien comme on en voit à Londres, la ville d'Emerson, Poe, Hawthorne etc. Grâce aux acteurs : un chef d'oeuvre.
    Chaill
    Chaill

    18 abonnés 397 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 novembre 2018
    Il est déchu, il est seul contre tous, poussé dans ses derniers retranchements; mais spoiler: grâce à la magie d'Hollywood et ses happy ends, tout ceci va comme d'habitude basculer pour donner raison à notre héros et au clan des "gentils".
    Sydney Lumet déçoit ses aficionados avec ce faux "film de grand procès", dont le récit est une accumulation de déboires en tout genres qui viennent contrarier l'avocat de la défense dans une affaire d'erreur médicale. La presence de Paul Newman est là pour sauver le métrage du désintérêt total, mais n'a pas suffi à l'empêcher de tomber dans l'oubli.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 septembre 2016
    J’adore ce film (culte) de Sydney Lumet. S’il devait y avoir une seule histoire pour prouver qu’il n’est point besoin de violence physique ou d’hémoglobine pour générer des émotions intenses, ce serait celle-là.
    Le point de départ n'a rien d'extraordinaire : Franck Galvin, avocat alcoolique complètement à la dérive qui n’a pas plaidé depuis des années, se voit proposer la défense d’une jeune femme transformée en légume suite à une grossière erreur médicale, et de sa famille qui exige réparation.
    S’il gagne, l’affaire pourrait lui rapporter gros et lui permettre de ré-exercer son métier, avec un peu plus de gloire.
    Face à lui, un hôpital tenu par le clergé où officient des médecins de grande renommée, défendus par un gros cabinet d’avocats, une vraie machine de guerre qui ne lésine pas sur les moyens. Alors que lui n’en aucun....
    On pourrait se dire : c’est archi déjà vu, le coup du looser qui doit se surpasser et se racheter pour trouver la rédemption. Mais le truc, c’est ce que Sydney Lumet réussit à en faire…
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 janvier 2016
    A l'instar de Henry Fonda dans 12 hommes en colère, Paul Newman propose dans Le Verdict une performance extraordinaire. Il incarne un avocat détruit, qui cumule un certain nombre de tares (alcoolisme, paresse, amoralité, négligence de soi,...) et ne semble pas désireux de sortir du trou dans lequel il est tombé. Puis, sonne le réveil. L'affaire qu'on lui confie le rappelle à l'ordre. Lorsqu'il aperçoit sa cliente pour la première fois, une femme à qui une négligence médicale a coûté la vie (elle est dans le coma), alors l'injustice lui redonne la force de refaire surface. Commence alors un combat pénible entre un David (Frank) et un Goliath (une horde d'avocats réputés et sans âme), qui paraît vraisemblablement perdu d'avance. Paul Newman nous fait vivre ces variations d'espoir et de désespoir de façon prodigieuse. On est euphorique lorsqu'il gagne un témoin capital, et complètement anéanti lorsque la défense le lui reprend... On n'oublie jamais non plus que Frank est en plein sevrage et quitte plusieurs année d'un alcoolisme autodestructeur. Alors, lorsque tout paraît perdu, on le voit trembler, transpirer, à bout de forces... prêt à tout instant à replonger dans son enfer personnel. Mais les prises de conscience s'enchaînent, notamment en milieu de film, lorsque les enjeux sont complètement réévalués. On pensait, comme Frank, que cette affaire ne serait qu'une histoire personnelle, de reconquête d'un honneur perdu, mais un twist nous ramène brutalement à la réalité. En effet, jusqu'à sa confrontation avec ses clients, c'est bien de son point de vue que nous observions les événements. Les offres transactionnelles entre les deux parties semblent le concerner personnellement, non ses clients, alors même qu'il les représente et parle en leur nom. On pense alors que ceux-ci ne sont intéressés que par l'argent, égoïstes comme le reste de la Terre (car ils sont présentés comme tel), et l'on ne saisit que tardivement qu'ils vivent en fait un calvaire depuis plusieurs années et désirent simplement en sortir... Alors, Frank se décompose complètement. Les événements prennent une tournure terrifiante et Paul Newman nous la fait endurer avec une justesse épatante. En particulier, une phrase lui/nous assène un fort coup à la tempe et le/nous sonne complètement : "Les gens comme nous vivent avec les erreurs commises par les gens comme vous pour le restant de nos jours". Frank est alors identifié aux "gens comme vous", les faux puissants, ceux qui se servent des autres pour parvenir à leurs fins propres et sont à l'origine des pires injustices qu'il entendait pourtant combattre... On est alors comme dans le cauchemar de Scottie dans Vertigo, sauf que Frank le vit éveillé. Tout le film est puissant comme cela, d'autant qu'il est extrêmement réaliste, juridiquement correct et porteur d'un message fort sur la justice et le "sentiment de justice". Un film à citer sans souci dans une dissertation de droit, peu importe lequel, car il donne à apprécier la matière de façon plus concrète, moins distante, et transmet alors une moralité là où seule la rigueur est permise.
    this is my movies
    this is my movies

    697 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 août 2015
    Le cinéma de Lumet est très dur à analyser pour un spectateur inattentif. Sa mise en scène paraît presque simpliste, dépouillée, certains diront télévisuelle. Il n'y a rien de plus faux. Sa connaissance parfaite de la grammaire cinématographique. Ainsi, il utilise tous les moyens à sa disposition pour rendre compte d'une situation, avec une grande économie d'effets : peu de musique, peu de mouvements, pas de jeu de vitesse avec la caméra et surtout un découpage qui doit flotter sous les mille plans alors que le film dure plus de 2 heures. (...) De la même façon, Lumet s'approprie le cadre et les effets de lumière pour exprimer par l'image des notions abstraites. Ainsi, le personnage de Frank est régulièrement représenté seul dans le cadre quand il fait face à ses adversaires, afin de mieux rendre compte de sa solitude. Quand la caméra bouge, c'est pour mieux le laisser au 1er plan, flou, quand les autres semblent ligués contre lui au 2nd plan. L'image souligne les paroles et parfois renforcent ces dernières. Pareillement, Frank est parfois représentés au milieu de ses 2 adversaires (Concannon et le juge), comme pris en étau entre le marteau et l'enclume qui veulent l'enfoncer dans sa perdition. C'est cette utilisation de la grammaire de l'image qui fait de Lumet un très grand réalisateur. (...) A mon sens, pour faire un grand film, il faut réunir 3 éléments majeurs : une mise en scène magistrale, des acteurs prodigieux et surtout un scénario maîtrisé. Autant dire qu'avec David Mamet à la plume, on est servi. Cet excellent artisan passe pour être un des meilleurs d'Hollywood dans son domaine. Cet homme du théâtre maîtrise les dialogues et les intrigue complexe comme peu d'autres dans le monde et son sens des dialogues tout comme sa science de la narration lui permet d'enchaîner les longues plages de palabres sans jamais être ennuyeux et tout en restant lisible. Si le montage acéré du film est une aide précieuse, il faut également savoir apprécier les différents monologues du film ou bien certaines scènes de dialogues notamment les scènes de prétoire, qui constituent souvent les vrais morceaux de bravoure du genre. Chaque mot est pesé, chaque phrase doit frappé le spectateur, chaque séquence doit faire avancer l'intrigue. (...) Au final, je dirais que nous voilà devant un grand film tout simplement, porté par une mise en scène éblouissante, avec des personnages attachants, une intrigue rondement menée, un rythme plaisant qui fait qu'on ne s'ennuie jamais tout au long des 2 heures du film avec des acteurs incroyablement justes qui récitent leurs numéros avec un savoir faire qui laisse pantois. On tutoie véritablement le chef d'oeuvre. La critique complète à lire ici
    Benjamin A
    Benjamin A

    708 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mars 2014
    Alors que Frank Galvin est aux creux de la vague, alcoolique et que sa carrière d'avocat a été brisé par une accusation injuste, il se voit proposer une affaire visant à défendre une jeune femme dont la sœur est dans le coma depuis 4 ans, victime d'une erreur médicale. Sydney Lumet signe un passionnant film de procès avec "Le Verdict", au scénario captivant et bien écrit et malgré une trame classique c'est un récit plutôt sombre et pessimiste, où Lumet se fend d'une subtile critique du système judiciaire ou encore de l'institution catholique. Il nous concocte une très belle mise en scène, subtile et efficace et il sublime Boston, ses bars, ses maisons et nous offre un superbe cadre. Les interprétations sont excellentes, que ce soit Paul Newman dans le rôle principal, comme souvent excellent et charismatique, même plus âgés ou des seconds rôles comme la tout aussi classe et superbe Charlotte Rampling ou encore James Mason. Un très bon film, passionnant, qui bénéficie d'une grande direction d'acteur, d'une belle mise en scène et qui est sous-coté dans la filmographie de son réalisateur.
    Nico591
    Nico591

    46 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 novembre 2013
    Voila un film de procès dans la plus pure tradition hollywoodienne, on y retrouve tous les ingrédients : accusation, défense, plaidoyer, témoins etc...
    La structure narrative est elle aussi très classique : affaire mal embarquée au début, bâtons dans les roues, et puis le témoin qui va faire basculer le procès.
    Mais tout ceci est bien emballé grâce à la réalisation de Sidney Lumet qui fait toujours preuve de beaucoup d'humanisme dans ses films, mais aussi à Paul Newman parfait en avocat alcoolique.
    gnomos
    gnomos

    53 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 septembre 2013
    Difficile de noter ce film. J'aime bien Lumet, mais il y a quelques longueurs, en plus de n'être guère surprenant quant au verdict dont il est question dans le titre. En même temps, ce n'est pas un thriller judiciaire. Charlotte Rampling ne sert à rien, à part ajouter une histoire d'amour un peu ambiguë. C'est une histoire très classique, j'ai pensé pot de terre contre pot de fer, puis je me suis aperçue que plusieurs personnes l'ont déjà dit, tant pis. Donc, c'est l'histoire d' un avocat fini et alcoolique qui en est arrivé à racoler des clients dans les salons funéraires. Il prend une affaire et décide de refuser l'arrangement financier, par idéal, et pour se retrouver lui-même. Il est seul contre tous, les riches, les puissants, l'église catholique, etc.. Corruption, justice à deux vitesses, magouilles judiciaires en tout genre, l'ordinaire de ce genre de film de procès. Mais ça se laisse voir sans ennui, même si c'est à cent lieues de " 12 hommes en colère ". Mais j'aime bien quand on égratigne l'image de la multinationale de la foi et également le politiquement correct avec le papy noir pas si blanc.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 174 abonnés 4 168 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 août 2024
    Paul Newman et Sidney Lumet auraient pu se rencontrer bien avant cette collaboration tardive sur « Le Verdict ». Lumet avait travaillé en 1959 avec Marlon Brando pour une adaptation de Tennessee Williams ("L'homme à la peau de serpent") et Newman lui aussi issu de l'Actor Studio était accoutumé aux adaptations théâtrales dont Lumet était devenu le spécialiste depuis le succès de "Douze hommes en colère". Mais la rencontre ne s'est pas faite avant cette année 1982 où Lumet se voit confier un scénario original rédigé par David Mamet qui sera d’abord rejeté pour permettre à Robert Redford de tenir le rôle de l'avocat avant que Lumet n'en revienne à Mamet une fois Newman entré dans la danse.
    Paul Newman est alors définitivement entré dans l'âge mur et les rôles de beau gosse ne sont plus pour lui. Il lui aura fallu un long apprentissage et une forte détermination pour tout d’abord se débarrasser d’une certaine forme de maniérisme apprise chez Lee Strasberg puis se sortir des rôles de play-boy imposés par son physique de dieu grec. En 1982 à 56 ans, il est au sommet de son art ayant donné le meilleur de lui-même depuis une quinzaine d'années. Paradoxalement, il ne tournera plus beaucoup durant les 26 ans qu'il lui reste à vivre (9 films). Peut-être donc a-t-il senti qu’était venu pour lui le moment de livrer avec un réalisateur lui aussi au sommet, l’une de ses meilleures interprétations ? Peut-être aussi, anticipait-il intuitivement que d'autres occasions ne lui seraient plus données, les réalisateurs du nouvel Hollywood faisant désormais la part belle aux Robert De Niro, Al Pacino ou Dustin Hoffman ?
    C'est donc conscient de tous ces enjeux qu'il s'abandonne à la caméra de Lumet qui lui offre ce rôle d'avocat revenu de tout, alcoolique honteux restant figé dans le passé après un brillant début de carrière brisé par une sombre affaire de corruption. Newman qui traîne avec lui la douleur de la perte d'un fils (Scott mort en 1978 par overdose) n'a sans doute pas eu beaucoup de difficultés pour exprimer la souffrance rentrée de cet homme au bord de l'abîme. Les premières images du film presque muettes sont remarquables qui présentent ce vieux beau traînant son désarroi dans les pubs de Boston à jouer au flipper tout en sirotant son gin avant d'aller vendre ses services frelatés dans les salles funéraires dont il se fait régulièrement expulser manu militari. spoiler: Mais il est dit que tout homme peut un jour rebondir s'il s'en donne les moyens et que la chance veut bien frapper à sa porte. Celle-ci se présente avec une affaire médicale opposant un riche hôpital de la ville dirigé par une institution religieuse à la famille d'une jeune femme plongée dans le coma depuis quatre ans. C'est devant le lit de la malade que Frank Galvin va avoir la révélation que sa vie peut à nouveau avoir un sens s'il consent à se mettre au service d'une noble cause pour redonner sa dignité à cette jeune femme que la société a abandonnée sur un lit d'hôpital.
    C'est un Newman magistral qui en vingt minutes donne vie à cet homme, avec une économie de moyens lourde de sens, marque de sa longue expérience. Lumet doit désormais parachever le travail en menant comme il sait si bien le faire le suspense judiciaire. Rien ne manque des rebondissements nécessaires pour captiver le spectateur et Lumet qui pianote en virtuose sur la partition que lui a écrit David Mamet sort de son chapeau les premiers violons que sont les James Mason, Jack Warden, Milo O'Shea ou Ed Binns dont il a déjà dirigé certains, notamment dans "Douze hommes en colère" (Jack Warden et Ed Binns). Tout ce gratin des seconds rôles hollywoodiens accompagne un Newman en apesanteur qui donne le la.
    Pour parachever le tout et donner une touche sulfureuse à un film qui diffuse déjà une odeur de tubéreuse entêtante, Lumet fait entrer en jeu Charlotte Rampling qui apporte la note de classe définitive à ce joyau du film judiciaire. Les critiques comme l’Académie des Oscars ne s'y sont pas trompés, nommant le film cinq fois sans toutefois qu'il ne remporte une seule statuette. Pour ce qui est de Paul Newman, il devra s'effacer devant Jack Lemmon récompensé pour son premier Oscar dans "Missing". Sans vouloir faire de peine au grand Jack Lemmon qui aurait pu être couronné bien avant (« La Garçonnière »), la prestigieuse statuette aurait dû cette année-là revenir à Paul Newman. Certainement repentante, l'Académie récompensera l'acteur quatre ans plus tard pour sa performance dans "La couleur de l'argent" de Martin Scorsese, réalisateur plus dans l'air du temps. Que tous ceux qui ont la chance de ne pas avoir encore vu "Le Verdict", se précipitent sur le magnifique Blu-ray édité avec des bonus originaux sur la genèse du film.
    Oriwa
    Oriwa

    63 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 septembre 2013
    Une affaire qui parait vide tant elle est mal menée, un déroulement ultra lent, un Paul Newman franchement pas génial...
    Gabriel B
    Gabriel B

    5 abonnés 359 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 février 2013
    Très bon film avec un Paul Newman magistral comme toujours. Seul bémol, un petit sentiment d'inachevé sur le dénouement de l'intrigue, surtout sur la complexité du personnage interprété par Charlotte Rampling...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 26 février 2012
    Une facture classique de film de tribunal mais très agréable à voir.
    Julien D
    Julien D

    1 195 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2011
    Le réalisateur du film référence en matière de suspense juridique ("Douze hommes en colère" bien sûr!) remet ça en racontant l'histoire d'un avocat déchu plaidant dans une affaire plus que délicate dans le seul but de retrouver ses anciens idéaux de justice. Les prestations de Paul Newman et de tout un casting choisi avec discernement ainsi que les rebondissements parfaitement mis en images par Sidney Lumet en font un film palpitant.
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