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Un des grands films de Woody Allen. On frise le chef-d'oeuvre. Légèreté, profondeur, humour tout est maîtrisé sur un sujet en or. La grâce le touche. Ceux qui pensent que c'est un mauvais film et font de mauvaises critiques sont probablement des gens qui n'ont jamais bossé sur un scénario et des cinéastes frustrés tant ils ignorent la grande maîtrise, la folie et l'inventivité de ce scénario et de son traitement et combien il est difficile de jouer avec tout cela. D'une simplicité si difficile à atteindre qu'on en reste bouche bée.
Certainement mon Woody Allen préféré.
Le noir et blanc fonctionne a merveille,a voir absolument en VO bien sur comme tous les W.Allen d'ailleurs.
Avec toujours son meme humour cynique, ses blagues douteuses sur le sexe,les juifs etc......vraiment tres bon.
Le noir et blanc fonctionne a merveille,a voir absolument en VO bien sur comme tous les W.Allen d'ailleurs.
Avec toujours son meme humour cynique, ses blagues douteuses sur le sexe,les juifs etc......vraiment tres bon.
Un film étonnant parce qu'il est constitué en grande partie de photos et non d'images filmées, ou bien d'images d'archives retravaillées pour y faire apparaître Woody Allen auprès du pape, de Charlie Chaplin, ou d'Hitler (procédé qu'utilisera Robert Zemeckis pour Forrest Gump), ou bien encore de fausses interviews de vrais savants et de grands écrivains (Bruno Bettelheim, Saul Bellow).
Le scénario propose une réflexion profonde sur l'identité: Leonard Zelig, qui, peu sûr de lui et souhaitant se faire aimer à tout prix, a contracté une maladie qui lui donne l'identité des personnes près desquelles il est. Il se guérira en n'ayant plus peur de ses faiblesses, grâce à l'amour...
Le scénario propose une réflexion profonde sur l'identité: Leonard Zelig, qui, peu sûr de lui et souhaitant se faire aimer à tout prix, a contracté une maladie qui lui donne l'identité des personnes près desquelles il est. Il se guérira en n'ayant plus peur de ses faiblesses, grâce à l'amour...
L’espace de quelques minutes (avant que la dimension absurde ne prenne le dessus), le spectateur y croit : il est devant un documentaire retraçant la vie de l'incroyable Leonard Zelig, cet homme qui, dans les années 1920, changeait d’apparence en fonction de son environnement. Mais l’illusion ne fait pas long feu, et c’est tant mieux ! Il s’agit bien d’une farce : un savoureux canular qui permet à Woody Allen d’allonger les États-Unis sur le divan.
Une comédie satirique,un drame psychologique et un faux documentaire.Voici un film des plus génial jamais fait par le grand Woody Allen.Le film qui nous plonge dans les années 20 et nous fait découvrir la psychologie d'un homme qui cherche à tous pris d'être accepter par la société.Un film intelligent bouillant de culture et d'histoire.
Vu ces jours ci. Comme tout le monde je suis très impressionné par le rendu "film documentaire d'époque". J'ai trouvé quelques longueurs, mais il était tard.. Très original. Traitement du problème de l'assimilation/intégration très engagé. A voir.
un woody allen très osé, à se demander comment il a réussi à financer le film! Très bon, par ailleurs.
Une comédie originale, une mise en scène incroyable, des montages de folie dont le film « Forrest Gump » sest inspiré (Allen sinsère dans des scènes celebres de lhistoire), un film OVNI totalement décalé, original mais devant lequel je me suis ennuyé.
Une idée originale, des effets visuels qui changent de l'ordinaire et un humour propre a Woody Allen pour ce film qui mérite d'etre vu.
Woody Allen fait du Woody Allen ...mais sous la forme d'un documentaire, et c'est déjà une TRES grande variations dans la filmographie du réalisateur. Le film vaut le détour car son sujet est assez troublant, on se reconnaît rapidement dans ce personnage qui adapte sa personnalité (… jusqu'à la ressemblance physique ) pour mieux sociabiliser, reste à savoir si c'est véritablement un mal...
L'idée de départ, une histoire ayant pour fil conducteur des images d'archives détournées, est originale et semblait prometteuse. Malheureusement, comme dans Take the money and run, l'abus de la voix off crée une distance entre le spectateur et l'action du film, qui ne permet pas vraiment l'empathie avec les personnages.
Il faut tout de même noter quelques réflexions intéressantes sur la versatilité des masses, qui peuvent brûler ce qu'elles ont adorer. On trouve aussi ce thème du juif soucieux de s'intégrer, même dans une société qui s'en méfie, thème que l'on retrouvera plus tard dans Ombres et Brouillards.
Il faut tout de même noter quelques réflexions intéressantes sur la versatilité des masses, qui peuvent brûler ce qu'elles ont adorer. On trouve aussi ce thème du juif soucieux de s'intégrer, même dans une société qui s'en méfie, thème que l'on retrouvera plus tard dans Ombres et Brouillards.
Espèce de mockumentaire très particulier.
Pour arriver à ses fins, le réalisateur Woody Allen a monté un ensemble d'images d'archive (dans lesquelles il s'est inséré lui-même comme un personnage) et de de nouvelles images.
C'est un mélange de réalité et de fiction, ce qui lui a pris un temps de dingue à réaliser.
Vu en 2024.
Pour arriver à ses fins, le réalisateur Woody Allen a monté un ensemble d'images d'archive (dans lesquelles il s'est inséré lui-même comme un personnage) et de de nouvelles images.
C'est un mélange de réalité et de fiction, ce qui lui a pris un temps de dingue à réaliser.
Vu en 2024.
Chef-d'oeuvre, drôle et profond à la fois et servi par une technique inédite à l'époque !
Sacré Woody! Avis aux fans du Grand Detournement, ce film est fait pour vous! Ou l'histoire de Zelig qui prend la forme de son interlocuteur pour se faire accepter, "s'integrer", se faire aimer. Hilarant, a must see!
Original tant sur le fond que sur la forme, Zelig n'en garde pas moins la touche Allen. Notamment parce que le personnage principal est joué par Woody himself, qui excelle en caméléon pathologique en mal d'attention. Malgré certains temps faible, l'humour et l'intelligence du propos suffisent à rendre Zelig convaincant et même attachant. A voir.
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