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    Manhattan
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    261 critiques spectateurs

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    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    162 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 mai 2012
    Woody Allen a récemment confessé qu'il jugeait n'avoir jamais réalisé de « grand film ». Ce n'est pas moi qui le contredirai. Toutefois, reconnaissons là une de ses qualités : la lucidité, surtout à propos de lui-même et de sa condition d'artiste. Ah Woody Allen! On retrouve dans «Manhattan» tout ce qui fait le charme de ses films... ou tout ce qui peut exaspérer, selon que l'on soit admirateur ou détracteur du réalisateur new-yorkais. Une fois de plus Allen se raconte, parle de lui encore et encore, véritable clown triste névrosé et (très) bavard. L'humour et l'auto-dérision sont certes omniprésents, mais peinent à compenser le manque de pertinence de l'ensemble, centré sur le cinéaste et son amour pour Manhattan, entre autres. On apprend que Woody Allen aime F. Scott Fitzgerald, Ingmar Bergman (ça n'est pas nouveau, et on lui souhaite d'en avoir enfin un jour le talent), August Strindberg (logiquement), Gustav Mahler, Carl Jung, Groucho Marx, Louis Armstrong, etc. etc. Très bien. Pour le fan, cet exercice de citation peut se révéler intéressant, voire passionnant. Pour le « non-fan » que je suis, cela n'est guère exaltant, et conforte l'opinion selon laquelle «Manhattan» est quelque peu surestimé. Car à part Woody Allen par ci, Woody Allen par là, à part une jolie photographie en noir et blanc et une agréable bande-son, pas grand chose à se mettre sous la dent. Quelques classiques de la comédie romantique : le couple, le sexe, l'infidélité,... Mais bon, tout ça reste léger même si souvent d'un relative justesse. Le public de Woody Allen est donc binaire : on aime ou on aime pas. Cependant quelques uns de ses films parviennent à mettre plus ou moins tout le monde d'accord, à intéresser un minimum la plupart des gens. C'est le cas de «Manhattan». De là à en voir un chef-d'oeuvre, il y a un énorme pas que je ne franchirai pas. Sympathique et mordant, nombriliste et bavard, «Manhattan» constitue un parfait exemple du cinéma de Woody Allen, pour le meilleur et pour le pire. [1/4] http://artetpoiesis.blogspot.fr/
    LucienLaurent
    LucienLaurent

    5 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mai 2012
    Je viens enfin de voir le mythique "Manhattan"' du non moins mythique Woody Allen. Même si ce film est sympathique, on est selon moi loin du chef-d’œuvre espéré ... Reste la plongée dans l'univers new-yorkais et le talent des acteurs, qui contribuent à sauver ce qui peut l'être.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 avril 2012
    Chef d'oeuvre du cinéma, c'est LE film de Woody Allen. C'est ravissant, magique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 21 juin 2012
    Entre Woody Allen et New York, c'est une histoire qui dure depuis bien des décennies. Ayant vu les films les plus récents du cinéaste, j'avais envie de découvrir une oeuvre plus ancienne. Si beaucoup de ces films sont de très bonnes qualités, j'ai choisi Manhattan qui m'a semblé être celui qui met tout le monde d'accord. Comme d'habitude, ou plutôt comme il le fera par la suite Woody Allen développe toujours les mêmes thèmes. Certains diront qu’il ressasse, moi je préfère voir la longévité d'un cinéaste qui avec des thèmes semblables invente de nouvelles histoires, de nouveaux personnages et de nouveaux dialogues à chaque film. Le cinéma ne se porterait pas plus mal avec plus de réalisateurs de la trempe de Woody Allen.
    Kill-Jay
    Kill-Jay

    70 abonnés 928 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 mars 2012
    Un film étonnant si on ne connait pas le style Allen, pas étonnant si on le connait. Mais au final pour les deux partis, ils ne peut être que bon, avec du recul (sans c'est un peu plus dur) et quand on y réfléchit, l'intrigue est parfaite et semée de rebondissements, de changements, de retours en arrière. Tout est très bien amené. Woody Allen se met lui-même en scène avec sa femme de l'époque Diane Keaton pour une comédie romantique passionnante, peut-être un peu moins bonne que "Annie Hall" dans son efficacité car ce film est un chef d'oeuvre en matière de dialogue et de scénario même s'il comporte certaines longueurs, avec "Manhattan" c'est un peu le même si ce n'est que les dialogues sont un peu moins percutants que le film auquel je viens de le comparer. L'histoire raconte l'histoire d'un homme désabusé, Isaac, plaquant son travail et tentant en vain d'écrire le roman qui le rendra célèbre. Sa seconde femme écrit, elle aussi, un livre sur sa vie de couple passée avec Isaac. Lui fréquente une jeune fille de 17 ans ce qui ne le satisfait pas non plus, et finit par rencontrer une femme qu'il croira être son âme soeur. Toute l'intrigue va se dérouler, pour notre plus grand bonheur, autour de cet imbroglio amoureux, le tout agrémenté d'une BO ainsi que d'une carte postale de New York, aussi sublime l'une que l'autre. Comme je l'ai dit précédemment, malgré quelques longueurs dommageables, le film reste excellent et est un très bon Woody Allen !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 mars 2012
    Probablement le plus romantique des Woody Allen ! Une suite d'échecs et de déceptions qui réussissent à nous rendre amoureux de la vie grâce au talent d'un réalisateur toujours en admiration devant New-York et des personnages complexes aux comportements paradoxaux qui semblent bien proches de nous.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 215 abonnés 4 194 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mars 2012
    Deux ans après "Annie Hall" Woody Allen poursuit son introspection et son analyse du milieu juif new yorkais . A partir de sujets sérieux comme en traite Bergman, son maître à filmer, Allen choisit de pratiquer l'autodérision pour continuer à faire rire en sortant de la recette du comique de situation mâtiné de splastick de ses débuts. Cette recette qui lui avait permis de se faire connaître allait tôt ou tard tourner à vide et le metteur en scène acteur a eu l'heureuse inspiration de développer son style propre, vanté depuis par toute l'intelligentsia mondiale. "Annie Hall" a brutalement propulsé Woody Allen dans la catégorie des cinéastes intellectuels ."Manhattan" creuse la même veine mais avec un parti pris différent au niveau de l'esthétisme, Allen demandant à Gordon Willis son photographe de filmer New York en noir en blanc et en cinémascope pour en faire le personnage principal de son film. La musique de Gershwin achèvera de magnifier l'entreprise. L'intrigue qui n'en est pas réellement une, consiste à se moquer gentiment des relations amoureuses au sein du milieu intellectuel juif new yorkais que Woody Allen connaît si bien. Cette bande de quadras qui passe son temps à disserter sur les problèmes existentiels de chacun ou sur la dernière exposition des artistes à la mode est en réalité bien immature, n'arrivant pas vraiment à assumer sa condition d'adulte. Le personnage de Tracy joué par la toute jeune Mariel Hemingway est très justement positionné sur le registre de la raison pour marquer encore davantage la légèreté et l'inconsistance d'Isaac qui est souvent pris en défaut par sa jeune compagne dont il essaye tant bien que mal d'être le pygmalion. Les couples se font et se défont au gré des petites trahisons de chacun. Mais le ton primesautier de toutes ces petites intrigues, proche du marivaudage nous fait dire que tout ceci n'est pas bien grave face à notre modeste condition d'humain condamné à quitter un jour son enveloppe terrestre. Car ne nous y trompons pas c'est en réalité cette condition de mortel qui hante Woody Allen en filigrane des scènes de badinage au planétarium du musée d'histoire naturelle et dans une salle de classe où trône le squelette d'un de nos ancêtres primates. Mais par dessus ses craintes obssessionnelles, Allen s'amuse et nous avec, des préoccupations qui nous encombrent souvent à tort l'esprit. L'ensemble est comme une bulle de champagne qui pétille à chaque fois que l'on regarde émerveillé ce réalisateur inspiré à l'œuvre dans ses meilleures années. Depuis les choses ont perdus de leur spontanéité et Allen trop vieux pour jouer son propre rôle qu'il habitait avec tant de malice n'a pas encore trouvé celui qui pourra prendre le témoin à sa suite . C'est sûr, ce Woody Allen là nous manque. A noter une apparition de Tisa, la sœur de Mia Farrow dont Allen fera rapidement son égérie et sa compagne.
    CrocodileCosmique
    CrocodileCosmique

    40 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 février 2012
    L'un des meilleurs, si ce n'est le meilleur Woody Allen... Léger, drôle, beau bourré de charme.
    A noter la splendide intro plans de New York / Rhapsody in Blue... *.*
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 janvier 2012
    On a devant nous un chef-d'oeuvre du cinema ! Ce véritable ovni laisse le spectateur sans voix, devant la beauté d'un New-York qui dans sa laideur comme dans sa beauté, dans son malheur comme dans son espoir, est sublimée. Bref un chef d'oeuvre.
    B-Lyndon
    B-Lyndon

    81 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 décembre 2011
    Milieu du film. Plan fixe. Diane Keaton et Woddy Allen assis sur un banc. Leur corps en ombres chinoises. L'aube se pointant, traversant les arbres, remplaçant la nuit. Cette même nuit bombardée de feux d'artifices au dessus des gratte-ciel, paraissant à la fois tomber des étoiles et surgir de la terre. On est bien à New York. « Il adorait New York », nous dit le narrateur. Pour lui, qu'est-ce que c'est ? Un rêve, un fantasme en noir et blanc. Ou l'on contemple le gris étincelant de ses buildings, de ses paysages, de ses nuages, de son ciel. …Dans ce film génial qui essaime à tout vent, Woody Allen est partout. Il filme, fait l'acteur, et parle surtout. Parle, petite silhouette bondissante ou écrasée, radote, critique, sans s'arrêter, cause ciné, sexo, culture donc... Il nous touche, le Woody, et Manhattan, il en fait son miel. Lieu incontournable et imposant où se dessine un immense art de vivre, nœud des rencontres, des amitiés, des amours. On y marche, tête baissée, et on s'y bouscule. On s'y retrouve. Tant de choses qui se passent, dans des vies si monotones...…Allen conçoit, en plans fixes, caméra statique, une véritable galerie de photos inoubliables. Et des situations, mémorables, où les répliques fusent, de partout à la fois, drôles, fines et intelligentes. Des références, jusqu'à Bergman où Van Gogh, ces gens qu'il admire, qui l'inspirent. Logique, puisqu'il s'y raconte un peu, voir beaucoup. De ses gros yeux, il caresse sa ville, et de sa fine bouche, il en fait l'éloge. L'hommage. Achevant à lui tout seul de créer la magie. L'enchantement d'un chef d’œuvre mélancolique, et mieux encore : enrobé d'un ruban pailleté scintillant, le plus passionné des cadeaux qu'un cinéaste aura pu nous offrir. 18/20.
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    149 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 décembre 2011
    Manhattan est un Allen qui m'a véritablement comblé, une véritable perle sur pellicule et un des films les plus fins que j'ai pu voir. Woody parle de relations humaines, d'amour, d'art tout en y ajoutant une grosse dose d'humour subtil qui fait vraiment plaisir, surtout quand on y reconnait les différents oeuvres ou personnalités auxquelles le cinéaste fait référence.
    En tout premier lieu je tiens quand même à souligner à quel point l'ambiance de ce film est sublime et la superbe qualité visuelle suffit à appuyer cela. Le film est dans un des plus beaux Noirs et Blanc que j'ai pu voir, très contrasté lors des scènes extérieures, un éclairage délicat, c'est juste délicieux pour la rétine et presqu'à en pleurer! La mise en scène dans sa globalité est juste remarquable, non seulement dans les cadrages mais aussi dans l'utilisation de l'espace qui ne sera jamais modifié pour laisser place à une forme de sincérité, de réalisme, d'authenticité cinématographique tout simplement. Certains plans sont magistraux, le plus célèbre étant celui des deux personnages assis sur un banc en face du pont de Manhattan qui semble si gigantesque par rapport à eux. Esthétiquement ce film est sublime, l’utilisation du Cinemascope apporte d'ailleurs cette impression de grâce et de majesté.

    Mais si il n'y avait que ça, Manhattan est aussi une oeuvre drôle, très ironique d'ailleurs et à la qualité d'écriture impressionnante. Woody Allen est aussi un grand amoureux du cinéma et ça se voit. Il détourne même certaines répliques (Le "We'll always have Paris" notamment) dans une perspective totalement ironique et c'est à mourir de rire. Les petites références à Bergman ou Fellini sont également délicieuses de par leur pertinence, d'ailleurs Allen n'en est pas à son premier clin d'oeil concernant Bergman, son film Guerre et Amour (que je n'avais pas trop aimé cela dit) faisait ouvertement référence au Septième Sceau notamment.
    Le cinéaste traite aussi avec légèreté les rapports humains, on y voit le côtoiement de plusieurs triangles amoureux, la vie privée du personnage principal, Isaac, étant d'ailleurs un gros bordel. Les personnages sont savoureux et on prend un malin plaisir à suivre l'histoire entre Isaac et Mary (Magnifique Diane Keaton) dans ce New-York sublimé par la fabuleuse mise en scène d'Allen (J'ai l'impression de me répeter beaucoup sur ce point-là). Ce film est d'ailleurs une déclaration d'amour à New York mais aussi à l'Art et à l'humain. Un chef d'oeuvre aussi accessoirement, un film d'une grande finesse, d'une grande intelligence peignant des êtres teintés de magie, à la fois remplis de vie et chargés de mélancolie et ça fait plaisir de voir évoluer des personnages d'une telle vivacité avec en prime une qualité de dialogues hallucinante. A la fois drôle et sincère, Manhattan de Woody Allen est bien une oeuvre majeure, savoureuse et grandiose.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 octobre 2011
    Allô, allô, Woody Allen est un escroc.
    Dans la filmographie (considérable) du cinéaste, le titre Manhattan revenait souvent dans la bouche de ses experts.
    Curieux donc, de voir ce qu'il pouvait faire pour sa ville qu'il chéri tant (on le saura), surtout étant donné ses derniers films, tous très marqués par le lieux de l'action (Londres, Barcelone, Paris...)
    Première surprise : Manhattan on ne le voit pas ; sauf dans la première séquence pour nous montrer où nos mondains vivent, au cas où on n'aurait pas compris...
    L'arrogance excecrable de ce film se vérifie dans plusieurs choses : les personnages d'abord et surtout, de jolis adultes libres et cultivés, ce qui nous donne donc une lesbienne reconvertie, un homme la quarantaine passée sortant avec une jeune adolescente au lycée, un autre qui trompe sa femme avec une Dame, ultra-cultivée sur l'art : le cinéma, l'art pictural, la sculpture, tout quoi. Heureusement, elle n'est pas la seule, Woody Allen en connait tout autant mais n'est certainement pas d'accord avec elle. C'est pas des cons chez Woody Allen, faut bien s'mettre ça dans le crâne.
    Leurs discussions existentialistes et artistiques nous intéresse absolument pas ; on lève juste un peu le sourcil quand Madââme n'aime pas Bergman, là on est un peu d'accord avec Woody ; c'est vrai qu'elle est insupportable cette fille...
    Mais bingo, Woody ça lui fait pas peur, voilà qu'il tombe amoureux d'elle, précisemment la maîtresse de son pote (vous savez, celui qui trompe sa femme). Du coup le Woody il peut plus assurer avec sa jeunette, alors ça fout un sacré patatra dans leurs vies de bobo à tous ces gens.
    Ajoutez à ça une démission de son boulot de comik à la télé (c'est vrai que c'est pour les cons comme il dit) et le voilà avec beaucoup moins de sous ; obligé de se séparer de son duplexe le mec ; aller dans un 4 pièces c'est vraiment pas chouette.
    Voilà à peu près ce que raconte le réalisateur dans son film.
    Dans ce qu'il montre, ce n'est pas beaucoup mieux ; Woody Allen est un artiste donc, il le sait et le crie (sa grande culture), et nous met tout ça en noir et blanc pour... (on sait pas pourquoi?), en fait si, il nous fait des jeux de lumières hyper-intéressants grâce à ça (voir la séquence du Planétarium) ; on sent que là, il touche quelque chose ; ben oui, c'est ça un artiste.
    De plus, le jeu précisemment insupportable du réalisateur, en bon premier rôle qu'on voit partout ; un peu perdu, un peu sympa, réspectueux envers ses potes et ses meufs; mais surtout sacrément cocasse.
    Le comble est peut-être la dernière partie du film, quand le Grand Woody allongé dans son sofa dicte au micro son projet de livre ; voilà qu'il nous raconte son film mais en y ajoutant par des explications toutes genres de choses faisant potentiellement un chef d'oeuvre. On a peur alors de ne pas se tromper quand on réalise que c'est peut-être ce qu'il a voulu nous montrer. Mais non Woody, on a rien vu de tout ça nous, on a juste vu que tu t'es planté.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 octobre 2011
    Jamais une ville n'aura eu un tel hommage. Les personnages sont savoureux. Ah, moi aussi je veux être une intello New yorkaise!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 octobre 2011
    Du grand cinéma. Un film sublime, étonnant. A voir et revoir
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 octobre 2011
    Quel film ennuyeux, pas d'humour, ce n'est qu'un résumé de la vie de bobo a Manhattan.... En voyant Minuit a paris j'ai pensé que tous les films de woody allen étaient fins et délicieux, quelle grossière erreur...
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