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    Manhattan
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    ClashDoherty
    ClashDoherty

    233 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mai 2007
    Tout simplement le meilleur film jamais fait sur New York. Et le meilleur Woody Allen. Sublime musique (Gershwin), sublime noir et blanc, interprétation inoubliable...un chef d'oeuvre.
    John Henry
    John Henry

    107 abonnés 708 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mars 2019
    Brillant, dans son apparente simplicité, à soulever des questions éternelles. On trouve là le germe de l'homme moderne, de l'homme d'aujourd'hui, que WA avait vu arriver de loin.
    Brillant
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    116 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 janvier 2019
    Une gentille bleuette de Woody Allen qui a connu un succès retentissant. Pourtant je ne la trouve pas extraordinaire dans sa filmographie hormis la qualité de l'interprétation et la réalisation en noir et blanc qui n'apporte pas grand chose. C'est bien maîtrisé bien qu'il manque une fin plus consistante pour savoir avec qui il va finalement poursuivre une relation...
    gooneur
    gooneur

    50 abonnés 840 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 décembre 2022
    Des dialogues drôles et enlevés, une galerie de personnages artistico-bohèmes comme on en fait plus, mais en fait et surtout une déclaration d'amour à une ville, dans un noir et blanc très photogénique. Bavard et beau.
    Mathilde Russo
    Mathilde Russo

    27 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2017
    Un film à la photo superbe, étonnament moderne et subtil. Le jeu des acteurs est vraiment touchant. Une histoire qui parle à chacun. Meryl Streep est si jeune ! Un humour très fin. Certains plans sont incroyables comme celui sur le ban devant le pont.
    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    31 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 juin 2023
    Woody Allen nous promène dans son New-York remplit de joie, de tristesse et de surprises. Une photo et des dialogues qui rendent ce film magique.
    Wobot
    Wobot

    20 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 septembre 2012
    Comment peut-on oser dire que "Manhattan" est un chef d’œuvre du cinéma américain?Ce n'est qu'une comédie romantique se croyant intelligente,où nous sommes les pauvres victimes de longues conversations faussement philosophiques entre bobos new-yorkais têtes à claques et où on est exaspéré par les stupides amourettes d'un Woody Allen au sommet de son narcissisme artistique.Reste quelques beaux plans de New York et des jeux de cadrage ingénieux avec le décor.Mais à part ça,dites-moi où est le grand cinéma parce que moi,je ne vois pas du tout.Sans intérêt!
    Redzing
    Redzing

    1 139 abonnés 4 486 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 janvier 2016
    Un auteur de sitcom médiocre se voit tiraillé entre différentes femmes : une ex devenue lesbienne qui s'apprête à écrire un livre incendiaire sur lui, une lycéenne très mature, et une journaliste intellectuelle, accessoirement amante de son meilleur ami. Le tout aurait pu donner lieu à une romance basique, mais c'est sans compter la patte de Woody Allen. Celui-ci incarne comme à son habitude un littéraire désinvolte, pris dans une tumultes d'émotions qu'il ne maîtrise pas. Les dialogues sont fins et tantôt très sérieux, tantôt très amusants, permettant de nous faire suivre sans ennui les déboires du protagoniste. Cependant, "Manhattan" est célèbre pour son esthétique, véritable déclaration d'amour à la ville de New York. Le noir et blanc est superbe, avec des jeux d'ombre et de luminosité intéressants, tandis que de nombreux plans panoramiques sont majestueux (dont le fameux plan du pont de Queensboro, qui s'est glissé sur la plupart des affiches). Le tout est accompagné par la BO entraînante, à la fois classique et jazzy, signée George Gershwin.
    Hotinhere
    Hotinhere

    566 abonnés 4 983 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 juin 2013
    Cette suite douce amère d'Annie Hall est le point culminant de l'histoire d'amour de Woody Allen avec New York sur la sublime musique de Gershwin jouée par le New York Philharmonique. Un film magnifique rempli d'humour désabusé.
    Santu2b
    Santu2b

    254 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 février 2013
    Woody Allen et New York, c’est une longue histoire d’amour dont "Manhattan" semble en signer définitivement l’acte de mariage. Réalisé en 1979, le film fait en effet figure d’admirable synthèse de l’œuvre du réalisateur. Car tout ce qui fait sa richesse et sa personnalité se trouve ici réuni : le jazz (on pense à la musique suggestive de George Gershwin), la cinéphilie, la psychanalyse, sans bien sûr oublier au centre de tout cela cet éternel petit intello juif névrosé ayant un penchant coupable pour les jeunes filles. Et que dire une nouvelle fois de New York et de l'étincelante photographie signé par Gordon Willis ? La Grande Pomme y est en effet sublimée comme jamais, affublée par ailleurs d’un noir et blanc absolument superbe. Quant à la structure narrative du long-métrage, elle est rondement menée du début à la fin. Dans cet enchevêtrement de situations cocasses toutes aussi hilarantes les unes que les autres, Allen nous gratifie en outre de ses dialogues mordants, faisant mouche à chaque fois. S’il n’est pas à titre personnel celui que je préfère, cet opus fait assurément partie des incontournables de son auteur.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    135 abonnés 1 629 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 novembre 2016
    Woody Allen filme ici, au-delà de ses sujets de réflexion traditionnelle, son amour d’un New-York bouillonnant de vie (nuit et jour se succèdent sans que l’on s’en aperçoive, la vie ne s’arrête jamais à New-York). Un New-York, un brin nostalgique (un New-York du passé voire romancé), d’où son choix d’un noir et blanc sublime (certaines photographies sont passées à la postérité dont l’affiche, magnifique) ; mais aussi un New-York de cartes postales surtout dans l’introduction. Introduction aussi très littéraire qui rend compte du caractère universel et complexe de la mégalopole, difficile de résumer une ville. Donc derrière cette intro très écrite (une habitude chez Woody) et très graphique (on oublie souvent le metteur en scène derrière l’excellent dialoguiste et scénariste) ; ce film est la quintessence des interrogations alleniennes sur l’amour, la mort, la futilité, la culture et la fatalité. Un condensé efficace et riche qui mérite plusieurs visions afin d’en apprécier la profondeur.
    Les angoisses multiples de Woody ressortent ici avec son ton saccadé et son phrasé si particulier. Sur Dieu, Woody montre un monde en perte de repère, sans idéaux et ne croyant plus en Dieu. Ce qui lui fera répondre à son meilleur ami qui lui dit « Tu te prends pour Dieu ! » ; « Il faut bien que quelqu’un me serve de modèle ». Et le film foisonne de répliques aussi précises. Sur les bourgeois intellos des grandes villes, pas de cadeau, il nous les montre par pur snobisme débiner des génies de la peinture, de la littérature,… Sur la société, son ex femme élève leur fils avec une autre femme ce qui le laisse dubitatif sur l’avenir d’un petit être élevé par deux mères : « alors que peu de gens parviennent à survivre à une seule… ».
    Mais au-delà de tout çà, c’est bien l’histoire amoureuse entre Woody, la snob catho Mary aussi hésitante que lui, la trop jeune Tracy (qui une fois largué par Mary ne semble plus avoir 17 ans aux yeux de Woody) ; le tout supervisé par un vieil ami indécis qui est au centre des débats. Les va et vient amoureux entre ces 4 là sont délectables car toujours objectivés avec un triste bilan final que personne n’est vraiment jamais au bon moment avec la bonne personne. Allen et Keaton (Mary dans le film) sont des alter ego de névrose et Tracy au milieu de çà est délicieuse de gravité. La plus jeune (Tracy, 17 ans) est la plus lucide sur la comédie humaine du haut de sa candeur ce qui fait dire à Woody : « Tu es la réponse de Dieu à Job. Dieu t’aurait désignée et aurait dit : « Je fais des choses horribles, Job, mais je suis capable de faire çà » ». Et l’épisode des œufs reflète bien la pensée de Woody sur l’amour. Docteur, mon frère se prend pour une poule. Eh bien faites le interner répond le médecin. Ce n’est pas que je ne veux pas mais j’ai besoin des œufs. Et Woody : « c’est comme çà que je vois les histoires d’amour. On sait pertinent que c’est irrationnel, dingue, absurde. Mais je suppose qu’on s’accroche parce que la plupart d’entre nous ont besoin des œufs. ».
    Cependant Woody a bon ton de remettre tous ces petits maux de la comédie humaine à leur juste hauteur en se présentant devant le squelette d’un homme préhistorique alors qu’il apprend la trahison de son meilleur ami reprenant sa relation avec Mary. Ces petits agissements ne sont rien au regard de l’histoire de l’Homme.
    Grande leçon Allenienne hyper dense et concise.
    Charlotte28
    Charlotte28

    126 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 juillet 2016
    Quel ennui! Que de vaniteux verbiage! D'ailleurs Woody Allen est en sur jeu permanent et le personnage interprété par Diane Keaton insupportable. Certes la réalisation est soignée pour mettre en valeur New York mais c'est loin d'être suffisant...
    keating
    keating

    52 abonnés 582 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 septembre 2014
    MANHATTAN
    Avec « Annie Hall », j’avais eu un coup de cœur direct du début à la fin du film. Le cas de « Manhattan », réalisé dans la même période, est un peu différent. Sur le moment, c’est un long-métrage très agréable, certes, mais moins extraordinaire que le précédent nommé. Par contre, avec le recul et les révisions, il ne cesse de se bonifier.
    Ce qui le distingue des autres Woody Allen, c’est la déclaration d’amour porté à une ville, à sa ville, New York. Evidemment, cet amour transparait dans bon nombre d’opus alléniens, mais il semble atteindre ici son paroxysme. En témoigne la séquence d’ouverture, cultissime, où le réalisateur écrit et réécrit sans cesse un premier chapitre élogieux sur cette ville. La multiplicité des facettes de la ville transparait, et au final la déclaration d’amour reste inachevée, ce qui la rend encore plus puissante.
    Rarement un cinéaste n’aura rendu un tel hommage à une ville. La photographie de Gordon Willis et la musique de George Gershwin méritent bien tous les éloges qu’elles ont reçues. Alors, à défaut d’être très original, je vais moi aussi vous dire que je rêve de visiter ce New-York en noir et blanc, d’avoir une conversation nocturne sous le pont de Queensboro ou de commettre un acte pervers interstellaire sur la lune du Planétarium ! Cette dernière scène est peut-être d’ailleurs la plus belle à mes yeux, avec les silhouettes de nos héros qui se confondent avec les étoiles.
    Cette plus-value esthétique embellit un fond typiquement allénien, fait de personnages atypiques et névrosés : woody-yale qui sort avec une étudiante de 17 ans, son ex-femme l’a quitté pour une autre femme, son meilleur ami entretient une relation extra-conjugale. Le tout baigne dans une ambiance ironique réjouissante. Yale-Woody se livre à l’introspection et se montre à la fois hilarant, émouvant et angoissé.
    Les dialogues sont toujours aussi inspirés, et les aphorismes mémorables sont légions ; souvenez-vous par exemple de « I’ll probably have to give my parents less money. They’re not gonna be able to get as good a seat in the synagogue. They’ll be in the back, away from God, far from the action. » ou bien de «You rely too much on the brain. The brain is the most overrated organ » !
    Ces personnages nous font rire, et nous émeuvent aussi, de par leurs incapacités à saisir totalement le bonheur qu’ils recherchent, par leurs névroses à la fois ridicules et touchantes. On sent l’angoisse de la mort (scène du squelette dans la salle de classe) et de la solitude, du vide de l’existence. Et puis arrive cette dernière partie où super Woody trouve un chemin vers l’optimisme, avec cette scène inoubliable où il énumère toutes les choses qui valorisent la vie, et ce final incroyablement touchant où Mariel Hemingway arrive à le convaincre de « croire un peu plus en l’homme ». Je ne suis pas sûr que Woody Allen acteur ait jamais été plus touchant que dans ce final.
    Au final, les personnages se cherchent, se perdent et se trouvent peut être parfois, à la fois dans la gigantesque New York et en eux-mêmes. Et il devient difficile de résister au désir de les accompagner, au risque de se perdre avec eux. New York was his town, and always will be.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    39 abonnés 2 422 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 octobre 2024
    Au-delà de l'aspect visuel (et musical avec les compositions de Gershwin) visant à présenter New York sous un visage étonnamment romantique qui est le reflet de la passion que Woody Allen éprouve pour cette ville, "Manhattan" rejoint le thème principal de son précédent film "Annie Hall".
    Le cinéaste traite de l'incapacité à aimer durablement et uniformément, de la fluctuation des sentiments, et son film est, à ce propos, fondamentalement pessimiste, présentant le couple comme une alliance forcément éphémère, frustrante et inaboutie.
    Bien que Woody Allen impose une fois de plus sa physionomie irrésistible de binoclard chétif et angoissé, on sent dans le texte une certaine gravité, une amertume qui diffère du ton plus fantaisiste de "Annie Hall".
    Les railleries de l'auteur sont cependant très drôles lorsqu'elles ciblent le snobisme de certains intellectuels de New York ou quand Allen désamorce son désarroi devant l'amour en assimilant ironiquement le sentiment à la libido. La relation d'Isaac, son personnage, avec les trois femmes de sa vie actuelle tend à prouver que l'humain est condamné aux incertitudes et à la solitude.
    ChauvelCinema
    ChauvelCinema

    18 abonnés 578 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 décembre 2015
    Malgré sa très grande popularité, je ne m'attendais pas du tout à ce scénario pour "Manhattan", que je croyais être un film "policier". J'ai dû le confondre avec un autre Woody Allen, donc ce fut une découverte, sympathique. Ce film est clairement un symbole haut de gamme (parce que des suivants n'auront pas la force de celui-ci) du style du cinéaste, où les dialogues courts, longs et surtout précis autour de l'amour et du sens de l'avis monopolisent le scénario toujours assez simpliste au final. Très peu de personnages aussi, mais tous très bien écrits, et très bien interprétés. Et on n'oublie pas la plus-value ajoutée par le noir et blanc, donnant encore plus de cachet à une superbe photographie d'un New York rêvé.
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