Derniers Avis : Postman - Page 8

Nul à chier,
Impossible d'atteindre la fin en une fois,
Décors et déguisements totalement pur jus des années 90.
Très mauvais, même pour passer le temps les longues soirées d'hiver.

De l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace.
Il fallait oser trouver l'idée de la libération de l'oppression par la distribution du courrier. Il fallait oser déguiser les acteurs de patchworks provenant de tissus de récupérations assemblés par des Tibétains et vendus dans des magasins alternatifs pour bobos en mal d'engagement.
Il fallait oser mélanger les mythes du poney express, du 22e de cavalerie, du post-apocalyptique, du récit messianique, de la révélation de l'homme par la femme, de la victoire de l'idéalisme.
Il fallait oser les cascades à deux balles : Kévin, qui galope au ralenti, attrape depuis son cheval une lettre que lui donne un enfant… et on voit la scène plusieurs fois pour bien qu'on comprenne qu'il s'agit du morceau d'anthologie du film et que c'est vraiment Kévin qui a fait cette cascade très très dangereuse… si c'est pas merveilleux Hollywood !
Il fallait oser ravaler Olivia Williams à un obscur second rôle, alors qu'il s'agit de l'héroïne réelle de l'histoire. Il fallait oser remplacer la belle bataille finale qui aurait dû voir s'affronter les deux clans dans des torrents d'hémoglobine par une bagarre de cour de récré entre le gentil un peu con et le méchant un peu vilain.
Il fallait oser monter un film de trois heures sans rythme qui revient dix-sept fois sur l'incertitude planant au-dessus de la tête de Kévin : va-t-il oui ou non enfin se stransmuter en héros ? Allez Kévin, bouge-toi !
Il fallait oser insister à maintes reprises sur le héros et la hérote qui ne se touchent plus pendant des mois parce qu'elle est enceinte.
Il fallait oser le manichéisme plan-plan : méchants militarisés/gentils baba-cools, vieux/jeunes, arcs et flèches/fusils et carabines, partage de l'émotion/pillage des bijoux, etc.
Il fallait oser transposer Danse avec les loups : un gars qui a fait partie de l'armée devient solitaire et trouve la révélation de sa vraie personnalité grâce à une femme.
Bref, pour avoir osé, Kévin, merci !

Kevin Costner adore se poser en messie. Je suis sûr qu’il tripe en se mettant ainsi en scène. Problème me concernant : ce n’est pas du tout communicatif. Cet univers a encore des vieux relents d’effroyable série B tant il est pauvre et dilué dans des éléments d’intrigue indigestes. Et puis franchement, c’est quoi son trip sur la Poste ? Finalement, rien dans le film ne l’explique ni ne le justifie. Quelle blague…

J'adooore ce film ! Kevin Costner est fabuleux dedans.

Film injustement rejeté à sa sortir. C'est pas le meilleur Costner mais on passe on bon moment. On peut cependant regretter une longueur excessive injustifié, l'épopé n'étant pas aussi riche qu'avec "danse avec les loups".

Vraiment très molasson et ennuyant à souhait.

Je trouve ennuyeux de retrouver pour ce film (et même pour tous les films en général), des critiques écoeurantes pour les personnes qui aiment le film que l'on critique et au lieu de trouver des "J'ai pas aimé" ou même encore "j'ai detesté", on trouve des "il est à chié" etc...Bon..."The Postman"...moi je l'ai aimé, il faut dire aussi que j'aime l'acteur qu'est Kevin Costner. Il est vrai que les costumes et les décors ne m'ont pas trop intérrésé au début(l'on se croirait au début des années 1870) mais doucement on se retrouve entrainé par la musique et par un scénario qui ce ficelle de minute en minute. J'aime cette idée (même si elle est parti d'un sentiment de survie, que le personnage avoue dans le film), que même dans les pire situation il y a un espoir, et l'idée du service postal des Etats-Unis Réédidié, m'a beaucoup plus.
Il se battent pour leurs libertés... dans un monde post-apocalyptique que l'on aurait pu connaître et qui peut toujours arriver...
Après il y a l'idée du Patriotisme américain qui n'est pas toujours aprécié même dans les bonnes critiques, mais moi j'aime ce pays ( pas au niveau Politique je vous rassure^^) mais le paysage, la mentalité et l'immensité de ce pays, à tous les niveau m'empechent de mal jugé cet élan patriotique qu'il y a dans les films même si j'apprécie que dans un film américain il n'y en ai pas....
J'ai un peu dévié mais c'est ma première critique...^^
Donc un bon film à voir..et pourquoi pas à revoir.

Très bon film, !! Encore un monde du futur détruit, et quelques héros, ...

En visionnant la pélicule, on comprend pourquoi le titre original n'a pas été "françisé" ... c'est vrai que "le facteur" est un titre aussi ridicule que le film en lui-même ...
Bref, je n'ai vraiment pas aimé ...

The Postman nosu entraîne en l'an 2013 où après une grande guerre, le monde à sombré dans le chaos. Un homme capturé par l'armée tyranique se sauve et retrouve des vêtements de facteur pour lui tenir chaud. Il fait ensuite crorie à tout le monde qu'il est facteur et qu'il est envoyé par le gouvernement réunifié d'amérique afin de réabilité le circulation du courrier. UN scénario très original. Les décors de l'amérique tombé à l'âge féodal sont très biens réussis. On y croit. Kevin Costner et Will Patton jouent très bien. Un très bon film d'aventure à voir.

je trouve que postman est vraiment un bon film, le seul défaut c'est une fin trop vite baclée et qui manque de réalisme cazr trout le reste est bien calculée et on se laisse tranquilement bercé par le talent de kevin cosnter

Y'a un truc qui m'a terriblement dérangé avec ce film : je viens de le voir, et au bout d'une heure j'ai réalisé que je l'avais déjà vu... Plutôt bizarre pour une bande aussi longue et qui a tant fait parler. Autant dire que c'est pas la peine de s'attendre à une oeuvre qui va vous marquer d'une façon ou d'une autre. C'est un bon produit, divertissant, et totalement dénué d'intérêt. Je note 2 pour faire une moyenne entre le 1 que mettrons tous ceux qui serons à juste titre frappés par le patriotisme et la violence gratuite du film (mal dissimulée derrière la scène de combat finale... hé, Facteur, si t'es pacifiste, extermine pas tes ennemis dans un guet-apens, ou alors renseignes-toi sur Gandhi, t'as du retard culturel) et le 3 que mettrons tous ceux qui suivrons l'aventure en restant pépères, bien calés dans leur fauteuil et profitant des messages positifs (même si convenus) du film. Ce qu'il y a de mieux à faire, je crois : c'est pas du cinéma d'auteur, c'est de la guimauve en forme de bannière étoilée et quand on s'attarde plus sur le goût que sur la forme notre gourmandise est satisfaite.

Belle illustration du pouvoir d’invincibilité que peut donner l’espoir aux gens même quand son origine est un mensonge opportuniste. Kevin Costner se fait passé au début pour un facteur des Etats-Unis restaurés et, constatant l’espoir que cela a fait naître dans une population victime de longues années de guerre et d’oppression, il commence lui-même à croire en son propre mensonge. Et le personnage désintéressé et opportuniste se transforme en un héros qui se dresse face au général Bethlehem (parfaitement interprété par Will Paton) qui régnait jusque là par la terreur et l’injustice. Certaines personnes peuvent y voir un autre film éveillant la fibre nationaliste des américains… c’est peut-être vrai… mais n’empêche que la force de la dimension humaine donne matière à réflexion.

Projet très, peut-être trop ambitieux, alors que la symbolique omniprésente, si elle recherche la profondeur, manque parfois de subtilité, et que le film pioche souvent par manque de réalisme. Mais en visant si haut, Postman n'aurait pas dû tomber si bas au box-office ; car la présence de Costner des deux côtés de la caméra, la grandeur des décors, le rythme des rebondissements et la force émotionnelle comme symbolique de certaines scènes-clefs en font globalement une réussite, méritée pour un film d'une grande liberté que Costner (réal) va chercher au fond de sa personnalité.

J'adore ! Enfin... J'adore tout ce qui est dans l'unives post apocalyptique à la Mad Max, par exemple. Ici, c'est la poste... Mais il n'empêche, j'adore. Et ça dur plus de 2 heures, waouw le rêve de tout accroc aux Fallout, aux Mad Max, au post apocalyptique, hihihi