Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Albinus35
27 abonnés
73 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 10 juin 2010
Malgrès les trois heures on ne s'ennuit pas et on regrette même une fin trop rapide. Un léger manque de réalisme dû à quelques incohérences. Kévin Costner est convainquant dans le rôle de l'opportuniste désintéressé qui devient héros. Un bon film d'aventure post-apocalyptique plein d'espoir et surtout de patriotisme.
je confirme ce film est enfer on es pres à ce tirer une balle des le premier quart d'heure. on dirait un film du dimanche .c'est pas crédible les acteurs sont merdique tout comme le scénrion si tenté qu'il y een ai eu un
Un film bourré de bonnes intentions qui n'a seulement pas trouvé son public. Ni bon, ni mauvais, The Postman n'est simplement pas à la hauteur de nos espérances.
Magnifique film au souffle épique qui délivre un magnifique message. En effet dans un monde en plein chaos, un homme va faire la différence et va "malencontreusement" redonner de l'espoir a tout un peuple. Les hommes, en communicant et étant unit sont capable de se relever contre la tyrannie et le chaos, et c'est ce que va provoquer le "messager" incarné par Kevin Costner. Ce simple et faux facteur luttant juste pour survivre est porté par Costner qui nous embarque dans cette splendide aventure de 3 heures. Dommage que le public n'ait pas compris ce film, il mérite vraiment mieux que sa réputation à l'instar du grand Waterworld
Vraiment mauvais. Costner , noyé par waterworld , nous entraine dans un histoire pénible et absolument sans interêt . 3 heures d'emmerdemment non stop.
Nul à chier, Impossible d'atteindre la fin en une fois, Décors et déguisements totalement pur jus des années 90. Très mauvais, même pour passer le temps les longues soirées d'hiver.
De l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace. Il fallait oser trouver l'idée de la libération de l'oppression par la distribution du courrier. Il fallait oser déguiser les acteurs de patchworks provenant de tissus de récupérations assemblés par des Tibétains et vendus dans des magasins alternatifs pour bobos en mal d'engagement. Il fallait oser mélanger les mythes du poney express, du 22e de cavalerie, du post-apocalyptique, du récit messianique, de la révélation de l'homme par la femme, de la victoire de l'idéalisme. Il fallait oser les cascades à deux balles : Kévin, qui galope au ralenti, attrape depuis son cheval une lettre que lui donne un enfant… et on voit la scène plusieurs fois pour bien qu'on comprenne qu'il s'agit du morceau d'anthologie du film et que c'est vraiment Kévin qui a fait cette cascade très très dangereuse… si c'est pas merveilleux Hollywood ! Il fallait oser ravaler Olivia Williams à un obscur second rôle, alors qu'il s'agit de l'héroïne réelle de l'histoire. Il fallait oser remplacer la belle bataille finale qui aurait dû voir s'affronter les deux clans dans des torrents d'hémoglobine par une bagarre de cour de récré entre le gentil un peu con et le méchant un peu vilain. Il fallait oser monter un film de trois heures sans rythme qui revient dix-sept fois sur l'incertitude planant au-dessus de la tête de Kévin : va-t-il oui ou non enfin se stransmuter en héros ? Allez Kévin, bouge-toi ! Il fallait oser insister à maintes reprises sur le héros et la hérote qui ne se touchent plus pendant des mois parce qu'elle est enceinte. Il fallait oser le manichéisme plan-plan : méchants militarisés/gentils baba-cools, vieux/jeunes, arcs et flèches/fusils et carabines, partage de l'émotion/pillage des bijoux, etc. Il fallait oser transposer Danse avec les loups : un gars qui a fait partie de l'armée devient solitaire et trouve la révélation de sa vraie personnalité grâce à une femme. Bref, pour avoir osé, Kévin, merci !
Kevin Costner adore se poser en messie. Je suis sûr qu’il tripe en se mettant ainsi en scène. Problème me concernant : ce n’est pas du tout communicatif. Cet univers a encore des vieux relents d’effroyable série B tant il est pauvre et dilué dans des éléments d’intrigue indigestes. Et puis franchement, c’est quoi son trip sur la Poste ? Finalement, rien dans le film ne l’explique ni ne le justifie. Quelle blague…