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    Amistad
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    3,6
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    195 critiques spectateurs

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    Luc D.
    Luc D.

    7 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2017
    Ce film de Steven Spielberg couvre un fait réel : en 1839, des esclaves s’emparent du navire qui les transportait ; débarqués par fourberie aux États-Unis par le capitaine du navire, ils seront jugés et défendus par un avocat obstiné qui réclame leur remise en liberté. Cette affaire a causé un remous considérable dans la société américaine. En effet, c’est le procès de l’esclavage qui a donné une telle importance à cette affaire.
    Spielberg raconte donc cette histoire dans ce film, en commençant par la tempête qui permet aux esclaves de se libérer. Le film se veut forcément très réaliste. Le réalisateur prend d’ailleurs le parti de faire dialoguer les esclaves en langue mandé, langue parlée au Libéria. On y voit un aperçu de toutes les tortures et tourmentes infligées aux esclaves par les trafiquants de chair humaine. Certaines images sont violentes, surtout pendant la traversée.
    Le casting est impressionnant : Il y a aussi bien des acteurs connus et confirmés (Morgan Freeman, Anthony Hopkins, etc.) que des stars en devenir (Djimon Hounsou, Matthew McConaughey, Anna Paquin, etc.). Cependant, personne ne se détache, hormis peut-être Djimon Hounsou. Et la perruque de McConaughey est ridicule.
    Le film traite de l’histoire des États-Unis, et surtout de l’esclavage, dont la vision est profondément différente entre le nord et le sud. Ce qui fait que certains passages du film sont lourds de sentiments, avec de grands envolées lyriques, destinées à souligner la grandeur d’âme du pays à travers la personnalité des abolitionnistes du film. Ceci fait que le film est rempli de grands discours sur les valeurs fondamentales des USA (liberté, etc.). Tout cela allonge le film, qui est très long (2h28). Mais le film a le mérite de ne pas cacher les faits. Toute la culpabilité n’est pas mise sur le dos d’une communauté.
    Un film puissant et réaliste mais long et parfois un peu lourd de sentiments.
    Stephenballade
    Stephenballade

    395 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 septembre 2016
    "Amistad" n’est pas le film le plus connu de Steven Spielberg, et pourtant je le considère comme étant une œuvre majeure du cinéaste. Je me souviens l’avoir vu il y a bien longtemps, et je me rappelle avoir été totalement emporté par l’histoire. Cependant je ne me souvenais pas du casting. J’avais complètement oublié que dans les rangs figuraient Djimon Hounsou, Matthew McConaughey, Morgan Freeman, Anthony Hopkins et… Chiwetel Ejiofor. Je ne me souvenais que très vaguement de l’histoire, plus ou moins un sombre épisode de l’esclavage. Eh bien c’est en partie cela, puisque "Amistad" évoque un épisode peu connu de l’histoire dramatique de la traite des Noirs vers l’Amérique. Sauf que ça va beaucoup plus loin que ça. Dès les premières secondes, on comprend que l’émotion va être vive avec les vocalises envoûtantes de Pamela Dillard sous la direction de John Williams. Ces vocalises se taisent mystérieusement pour laisser la place aux premières scènes tout aussi mystérieuses dans leur cadre naturel, faites d’abord par de très gros plans qui montrent un noir ruisselant de sueur essayant d’extirper un clou d’on ne sait où (sur le moment en tout cas : du bois ? de son pied ? de sa cuisse ?). L’opération est délicate, et la caméra de Spielberg rend bien toute cette difficulté, de même que l’absence de toute partition musicale au profit du silence régnant autour de nous, si ce n’est le bois qui craque, faisant comprendre au spectateur qu’il est sur un bateau malmené par une inquiétante tempête qui fait rage. Nous sommes bel et bien sur un bateau, dont le nom va nous être présenté en lettres dorées sur fonds noir, faisant passer le générique de début, pourtant réduit à sa plus simple expression, pour inutile. Ce qui frappe d’entrée, c’est la remarquable présence de Djimon Hounsou qui, bien qu’il ne parle en tout que cinq mots d’anglais (doublés en français pour la version française), ne baissera d’intensité à aucun moment. Une présence énorme durant TOUT le film au cours duquel ses changements d’humeur le rendent méconnaissable, à tel point qu’on croirait presque que ce sont deux acteurs différents qui jouent le personnage, l’un quand il est en colère (ou en rage), l’autre quand il est calme, allant jusqu’au visage d’ange quand il daigne vraiment sourire, un sourire qui m’a fait fondre de compassion. C’est bien lui qui va littéralement traverser l’écran, habité comme jamais par son personnage, alors qu’il ne parlera que le mendé, un dialecte africain utilisé en Sierra Leone. Une langue qu’il a dû apprendre car non parlée dans le pays natal du comédien, le Bénin. La bonne idée des dialoguistes est d’avoir su garder les langues originelles : le mendé d’un côté, et l’espagnol de l’autre. Cela conforte le réalisme. Durant le premier quart d’heure, aucun des dialogues ne sera d’ailleurs sous-titré, hormis les rares répliques espagnoles : une bonne façon d’impliquer le spectateur dans une relative inquiétude dans un mode de questionnements (que se passe-t-il ? qu’est-ce qu’ils veulent ?...). Je disais plus haut que le sujet allait plus loin que l’esclavage. C’est vrai, et nous en aurons confirmation lors du réquisitoire final, dont la tirade se caractérise par un choix de mots longuement pensés et lourds de sens, allant même jusqu’à qualifier un document officiel et d'importance comme étant un embarrassant et ennuyeux document, en rappelant que "tous les hommes sont créés égaux des droits inaliénables de la vie et de la liberté". La suite qui y est liée est culottée, mais il fallait le faire. Le fait est que cela donne matière à réfléchir, à l’image de l’assemblée réunie autour d’un procès sans précédent. Et dès qu’il faut oser, Spielberg le fait, jusqu’à créer des scènes particulièrement choquantes. Certes l’entame du film est déjà violente en soi, mais ce n’est rien comparé à l’histoire (SON histoire, et celle de ses semblables) que raconte Cinqué (Djimon Hounsou), et dans laquelle on voit les noirs dans leur plus simple appareil. Une splendide narration en flash-back qui permet de faire la transition entre la geôle et la salle d’audience. Ce film n’est pas forcément à mettre entre toutes les mains, bien qu’il ne comporte à priori aucune restriction d’âge. Certes cette scène est dure, horrible, impensable, inimaginable. spoiler: Et pourtant elle semble nécessaire à ce que j’appelle (pour paraphraser l’avocat qui donne le dernier réquisitoire) un procès sur la nature humaine.
    Amistad est un film fort, prenant, et qui prend aux tripes dès lors qu’on croit encore au genre humain. Et c’est à cette seule condition que vous passerez par divers états-d’âme, de la révolte au bonheur, en passant par le dégoût, la honte, le dégoût, et le soulagement. Il est aussi empreint d’une certaine poésie, avec cette voûte céleste emplie d’étoiles recouvrant tel un dôme l’immensité de l’océan atlantique sur lequel La Amistad vogue. C’est si bien filmé qu’on pourrait se croire à une projection dispensée dans un planétarium. Et surtout le talent de Spielberg nous permet de nous passer de scènes inutiles, mis à part peut-être lorsque Cinqué prononce ses premiers mots occidentaux à la surprise générale, la caméra s’attardant un peu trop sur l’expression des visages alentours. Et puis certes nous avons l’immense talent du cinéaste, mais également celui des acteurs. Je ne reviendrai pas sur celui du béninois car j’en ai déjà parlé, mais tous ont été très bons chacun dans leur registre, ce qui me fait applaudir aussi la direction artistique. On pourrait reprocher à Morgan Freeman d’être un peu en retrait, mais dans ce contexte, il ne peut en être autrement à cause du statut et de la couleur de peau de son personnage. Anthony Hopkins, que voulez-vous ? C’est la classe. On désespère de le voir davantage sur le devant de la scène dans ce film, car on sent que c’est un personnage-clé dans ces prémices de l’abolition de l’esclavage. Pour finir, je serai tenté de dire que "Amistad" n’a bénéficié que de quatre nominations aux Oscars : meilleure musique (fabuleuse composition de John Williams), meilleure photographie (et il est vrai qu’elle est splendide), meilleurs costumes (ils contribuent à nous plonger aisément en l’année 1839) et meilleur second rôle masculin pour l’inimitable Anthony Hopkins. Une injustice selon moi, vu l’adhésion complète de tous les acteurs qui, on le sent, se sont tous sentis personnellement impliqués. Les décors ne sont pas mal non plus : entre un bateau (en réalité le Pride of Baltimore II, la réplique de La Amistad n’ayant été construite qu’en 2000) qui donne parfaitement l’illusion, et les geôles qui ne donnent pas envie d’y aller, il faut avouer que ce n’est pas mal non plus. Ceci dit, pour ceux qui ne connaissent pas le film, je reconnais que l’entame puisse laisser entrevoir tout autre chose, plutôt qu’un procès jugé interminable et pompeux. Mais on ne peut pas reprocher ni à Spielberg ni au scénariste David Franzoni d’avoir respecté l’Histoire, du moins dans ses grandes lignes.
    Shephard69
    Shephard69

    331 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juillet 2016
    En dépit de ficelles émotionnelles bien trop appuyées par moments, Steven Spielberg livre là une fresque historique au message certes fort mais particulièrement réactionnaire. Si l'interprétation générale est plutôt correcte, le jeu d'acteurs de Djimon Hounsou est superbe, Anthony Hopkins également dans une moindre mesure. Au final, un film procès assez commun et plutôt consensuel à l'exception de quelques scènes vraiment marquantes comme celle de la traversée depuis l'Afrique jusqu'à Cuba qui montre une facette sombre, violente de l'esclavagisme que je n'avais encore jamais vue dans un film. Tout juste bien, loin d'être exceptionnel.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    120 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 mai 2016
    [Il y a quelques spoilers]
    Le rythme du film a beaucoup de mal à se mettre en place, ce qu'on voit rarement dans ce genre d’œuvres où l'on entre directement dans le vif du sujet, à peine est-on installé. Et bien que l'indéniable réussite graphique que Spielberg nous envoie systématiquement à la figure nous immerge ensuite facilement, on garde certaines séquelles de ce faux départ, que vient renforcer le choix musical classique et orchestral en arrière-plan sonore et qui ne fait malheureusement que mettre en valeur les blancs. Je parle des "trous" dans le flot narratif et pas des personnes, bien sûr.

    Hélas, rester convaincu est une véritable épreuve pour le spectateur qui doit subir des retournements de situation incessants et éprouvants - car le spectateur est lui aussi bien souvent esclave de ce qu'il visionne. Et quand il peut se réjouir d'être passé au travers de ces pièges, la conclusion est textuelle et historique, détruisant tout ce qui reste du rêve en le ramenant à la réalité dont est tiré le film. C'est sans compter les mises en évidence niaises des parties mystérieuses de l'histoire, des liens évidents qui donnent envie de s'exclamer : "Spielberg, descendant de Sherlock Holmes !". Par exemple, lorsque la boucle narrative est bouclée et qu'on comprend d'où viennent les esclaves : une charnière scénaristique tout à fait bâclée.

    Par ailleurs, tout est trop bavard : les dialogues ennuyeux sont gaspillés pour des scènes de tribunal belles et symboliques mais trop longues. Un temps désolant est d'ailleurs employé pour mettre en scène des Anglais parlant anglais aux esclaves Mendé qui ne comprennent qu'un mot - "liberté" - à moins que, comme baignés par une lumière ancestrale, la compréhension leur tombe d'un coup dessus. Et quand on parle de symboles, ils sont trop nombreux : le lion, la violette d'Afrique...toutes ces images sont pertinentes et bien amenées mais perdent tout intérêt de par leur fréquence. Bref : bien réalisé oui, mais avec trop de mauvais choix, que vient pauvrement compenser l'allusion pourtant astucieuse de la vision des Américains de la reine d'Espagne qui n'est qu'une enfant - un vrai casse-tête diplomatique que certains Grands, comme le film le montre, décident purement et simplement d'ignorer. Ah oui, autre chose : vous avez vu Morgan Freeman ? Moi pas.
    xavierch
    xavierch

    46 abonnés 1 167 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2016
    Une histoire prenante, avec un procès déclencheur de la guerre de sécession, tout un pan de l'histoire de l'amérique. Les acteurs sont excellents, et le film, malgré sa longueur, ne nous ennuie jamais. A voir, rien que pour comprendre l'histoire des Etats-Unis et de l'esclavagisme.
    Critik D
    Critik D

    152 abonnés 1 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 avril 2016
    Un très beau film traitant de l'esclavage, mais essentiellement sur leur droit et devoir en plein bouleversement de leur condition. Steven Spielberg nous présente avec beaucoup de réalisme (même si tout est un poil romancé), cette affaire tiré de fait réel. La réalisation est très réussi, elle m'a personnellement donné le tournis pendant l'orage et la confusion de l'attaque des esclaves. Le scénario est très bien construit, on ne s'ennuie pas une minute malgré la durée du film. Et surtout, un casting très intéressant qui nous démontre une fois de plus tout son talent. Un peu déçue au départ que les dialogues entre esclaves ne soient pas sous-titrés, puis j'en ai compris l'intérêt. Allant même jusqu'à croire que le film serait essentiellement visuel. Finalement non, une fois sur le sol américain sa parle beaucoup et parfois pour ne rien dire. J'ai été plus qu'indigné tout le long du film, ses pensées sortant un peu d'outre tombe... Puis je me suis rappelé qu'encore aujourd'hui certain tenait ce genre de discours envers les personnes différentes. Triste de voir que malgré les siècles et l'évolution, certaines choses n'ont toujours pas changées. Djimon Hounsou m'a bluffé, son jeu est parfait. Tout comme Matthew McConaughey que je ne connaissais encore que pour des rôles dans des comédies romantiques. Mais celui qui m'a le plus touché, c'est Anthony Hopkins, un peu déçue au départ de le voir si peu, et ne comprenant pas très bien l'intérêt de sa présence. Son discours final est marquant, réaliste et touchant. Certainement la scène qui retiendra mon attention pour ce film. Un film que je vous conseil de découvrir très vite si ce n'est pas déjà fait, d'autant plus quand il est porté par Steven Spielberg !
    Adrien B.
    Adrien B.

    19 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 mai 2016
    Amistad est l un des premiers films de Steven Spielberg qui montre son engouement a filmer des procès (Lincoln, Bridge of Spies)
    Le film souffre malheureusement de trop de longueurs et le rôle d Anthony Hopkins est trop écourté pour que l on puisse arriver a vraiment s attacher a lui avant le dénouement qui arrivera comme un cheveu sur la soupe.
    Il en reste malgré tout une belle musique et une belle performance de Morgan Freeman
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    271 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 mars 2016
    Pas le meilleur film de Spielberg dans son penchant "adulte", mais une œuvre utile particulièrement soignée, notamment dans son introduction, et qui bénéficie d'un casting très au point. Le film n'est pas exempt de défauts, en raison surtout de sa longueur et d'un scénario qui peine parfois à meubler de façon efficace tout au long de l'intrigue principale. Cela étant, la maîtrise du grand Steven est toujours là et si le résultat final touche moins que la Couleur Pourpre par exemple, Amistad reste un bon moment de cinéma.
    Karim A.
    Karim A.

    45 abonnés 615 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 janvier 2016
    Je note toujours bien les films qui transmettent un message et une histoire vraie
    c'est le cas de celui ci.
    spoiler: On découvre une Amérique esclavagiste ou certains hommes ne sont que des marchandises, le combat du detective de True Detective est excellent et mention spécial à Anthony Hopkins..qui nous fait un discours à inscrire à L ONU.
    rocky6
    rocky6

    30 abonnés 1 718 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 février 2016
    Très déçu par ce film dont j'attendai beaucoup. Avec Spielberg aux commandes, un casting 4 étoiles et un sujet fort on pouvait espérer un grand film historique. Au final on a un film très bavard, long et assez ennuyeux. A oublier dans la filmo de Spielberg.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 janvier 2016
    Beaucoup à dire sur ce film. Un grand film, trop hollywoodien : impérialisme et orgueil américain, séquences émotion, musique,… Si ce film n’a pas été primé, est-ce parce que Spielberg en fait trop ? Heureusement, les américains font profil bas dans cette histoire vraie proche de l’histoire de l’abolition de l’esclavage au XIXème siècle. L’absence de différences blanc-noir est très bien filmée, malgré les différences culturelles. Le thème est plus religieux que politique : découverte du christianisme, humanisme, rites tribaux, pouvoir des morts. Problème moral : Fallait-il montrer cette scène crue de violence au début du film, et surtout les détails de la torture et de la nudité des esclaves lorsque l’esclave prisonnier raconte sa détention sur le bateau ? Peut-être. Pour les âmes sensibles, les 5 premières minutes et le récit au milieu du film (1h13-1h22) sont à zapper à tout prix. Le jugement final par Hopkins est ronflant. Le jugement précédent sera dix fois plus captivant. Et la touche de Spielberg : Après le jugement final, quand l’esclave dit (en français) : « Merci Monsieur Baldwin », le ton ressemble étrangement à « E.T. téléphone maison ». Les images finales sont magnifiques et la fin de son histoire est émouvante. A revoir en VO.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 janvier 2016
    beaucoups de scènes sur la justice et sur les lois tombant parfois dans l'ennui.... AMistad n'est pas le meilleurs film de Spielberg, les répliques sont beaucoup trop longues et enlève l'action du film. cependant la scène sur l'histoire des esclaves est poignantes et touchantes. UNe tripoté d'acteurs exceptionnels : Morgan Freeman, djimoun hounsou sont grandioses, Matthew mc.c encore surprenant dans le rôle du petit avocat en quête de justice, Anthony hobkins un peu décevant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 octobre 2015
    "Je voulais parler de mes ancêtres, je vais remonter dans le passé, jusqu'au commencement des temps et je les supplierais de venir m'aider, au jugement, je les ferrais venir en moi et ils viendront, car en cet instant, je suis la seule raison pour las quelles ils ont existé ". Cinqué interprété par l'acteur Djimon Hounsou, une performance que j'ai rarement vu, avec une force incroyable. En passant par Matthew McConaughey, Anthony Hopkins et Morgan Freeman, la plaidoirie de John Quincy Adams (alias Anthony Hopkins) est absolument sublime. J'allais oublié la musique de John Williams... Une pure merveille ! Enfin bref un chef d’œuvre ou Djimon Hounsou aurait mérité son Golden Globe et une nomination aux Oscars.
    David M.
    David M.

    13 abonnés 247 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2015
    Amistad à tout d'un très bon film, son scénario est très bien écrit la mise en scène est très bien et les acteurs sont très bons notamment Djimon Hounsou qui est excellent, Anthony Hopkins en avocat de la défense est au top est bien d'autre bien sur, les musiques donne très bien le ton du film,beaucoup de film ont abordé le sujet de l'esclavage est celui ci fait partie des culte qu'il faut avoir vue.
    CH1218
    CH1218

    196 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 octobre 2015
    Steven Spielberg a partiellement raté le coche en réalisant de la sorte la mutinerie d’une cinquantaine d’Africains survenue en 1839 à bord du navire "La Amistad". Galvaudé par un scénario qui résume l’un des symboles qui mena à l’abolition de l’esclavage par près de deux heures de dialogues et de procès sur un total de 150 minutes, est bien trop réducteur. A part les intenses scènes d’introduction, superbement bien filmées par ailleurs, ainsi que du flashback des événements, terriblement dures et intolérables, le film assomme en dépit de quelques moments de sursauts où, heureusement, l’émotion parvient à (r)éveiller l’esprit. De plus, Djimon Hounsou est le seul à insuffler la force et la détermination adéquates à son personnage au milieu d’un casting 4 étoiles mal exploité. J’ai eu un sentiment quasiment identique avec « Lincoln », comme si le réalisateur ne savait pas aborder ce sujet-là autrement que par une mise en scène académique et bavarde, à l'image du long réquisitoire final.
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