Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
4,5
Publiée le 23 octobre 2010
A part le début ou l'on se demande s il y a pas un probleme car on ne comprend rien mais ce film est magnifique. L esclavage des noirs etaient abominable. Tres beau film
J'ai bien aime ce film grace tout d'abord au sujet et des acteurs que j'apprecie mais le script m'a laisse songeuse il y a qq moments tres peu passionant et et je ne suis pas sure de la verite historique du film
Un film que je découvre bien des années après. Spielberg étant mon Realisateur préféré il me devait de voir ce film. Je suis partagé sur l'avis mais le film reste bon et à voir. C'est un film sur l'esclavage et certaines scènes sont très bien faite et certaines m'ont emu. Le default principal est sa longueur et beaucoup de blabla qui m'ont fait décroché certains passages. Loin d'être son meilleur ça c'est sur mais un film qui mérite d'être vu pour le côté historique.
Un drame Historique de très haute teneur, mis en scène par Steven Spielberg. Sur des images d'une grande précision, il nous propose des scènes chocs voire des séquences extrêmement cruelles. Ce film nous offre aussi, les extraordinaires prestations d'acteurs de Djimon Hounsou dans le rôle principal de Cinqué, et d'Anthony Hopkins dans la peau de John Quincy Adams, l'ex 6 ème président des États-Unis déchu en 1829. Le scénario ne relate pas seulement l'histoire et la révolte d'esclaves. Il met en lumière spoiler: le fond du procès avec la fantastique plaidoirie de John Adams: L'Amérique, État de DROIT et de LIBERTE, peut-elle continuer à considérer l'esclavage comme aussi inévitable et naturel que la guerre ?
Le pitch : En 1839, révolte à bord, les esclaves africains prennent possession du navire espagnol Amistad. Les 44 révoltés, récupérés par un bateau Américain, arrivent à New Haeven. Leur procès retentissant spoiler: va infléchir l'histoire de l'Amérique et entrainer, quelques années plus tard, la guerre de sécession des Sudistes blancs pour conserver leurs droits d'esclavage.
Exceptionnel, j'ai été abasourdi par la performance de Djimon Hounsou, qui est absolument dantesque dans son personnage, Morgan Freeman, Anthony Hopkins ou encore Matthew McCanaughey sont tous bluffant dans leur rôles, Steven Spielberg nous livre encore un récit poignant et dur, certaines scènes sont criant de vérité, la traite des noires m'a totalement bouleversée.
Je suis surpris de voir Amistad figurer parmi les films les plus oubliés de Steven Spielberg par le public, car si le maître fond dans une approche beaucoup plus facile que dans ses autres dénonciations effectivement plus intelligentes comme La Liste de Schindler, je l'ai rarement vu faire preuve d'autant de générosité. Il faut concéder qu'Amistad est loin d'être aussi maîtrisé que la moyenne de la filmographie du maître dans sa première moitié qui alterne les différents personnages presque aléatoirement, apparaissant et disparaissant inégalement sans aider à la clarté du sujet. Mais une fois que la caméra se concentre enfin sur les passagers opprimés de l'Amistad représentés par Djimon Hounsou, le film enchaîne séquence d'anthologie sur séquence d'anthologie. Les scènes les plus longues deviennent les plus iconiques (l'histoire de Cinqué, le calvaire dans les navires négriers, le discours d'Anthony Hopkins), les métaphores sur le combat pour la liberté gagnent un sens nouveau (le lion, la Bible vue par les esclaves) et Spielberg dote son film d'une portée plus universelle par l'idée assez couillue et justifiée par sa durée d'englober plusieurs partis éloignés (esclaves, hommes libres, Espagnols, Anglais, Américains, Nordistes, Sudistes, Blancs, Noirs, Catholiques, hommes d'états, hommes d'affaires...). Comme pour nous rappeler que derrière cette affaire juridique Américaine sur seulement quelques esclaves se produit un combat mené sur tous les fronts pour la liberté de tout êtres humains. Rattacher tous les peuples derrière sa caméra, telle est la différence entre Amistad et tant d'autres films historiques pourtant plus reconnus. Certes du Spielberg mineur mais pas du Spielberg à négliger.
Amistad est un enième chef-d'oeuvre de Steven Spielberg et pourtant il n'a pas la notoriété qu'il mérite. Le film est marquant dès sa première scène. Cette scène de mutinerie est terrifiante de par sa violence graphique (on reconnaît le réalisateur qui réalisera l'année suivante la non moins marquante premières scènes d'Il faut sauver le soldat Ryan) et reste en mémoire. Après, le film a un peu tendance à se perdre dans ses démêlés juridiques propres à la constitution américaine. J'imagine que Spielberg voulait être au près de l'histoire d'origine mais j'ai trouvé que les nombreux rebondissements juridiques rallongeaient un peu trop le film (qui au final fait deux bonnes heures trente). Mais c'est bien le seul défaut que l'on peut trouver à ce film, excellent en tout autre point car le reste de l'intrigue est franchement intéressante. Le casting est bluffant entre des pointures du cinéma (Morgan Freeman, Anthony Hopkins, Stellan Skarsgard) et des futures pointures du cinéma (Matthew McConaughey, Djimon Hounsou, Chiwetel Ejiofor, Anna Paquin). Un classique qui est un peu moins connus que les autres films de Spielberg mais qui mérite vraiment le visionnage.
Plus qu'un fillm sur l'esclavagisme ou les esclaves, relègués en arrière-plan et réduit à l'image d'Epinal, Steven Spielberg réalise un film sur le droit et le lent cheminement qu'il emprunte pour mettre l'humain au coeur de la vie de la cité. Le droit y est montré comme la clé accèdant à l'universalité et permet de faire évoluer le monde. Le caractère répétitif du film est aussi sa force et malgré un certain académisme et la difficulté de dépasser l'illustration, Spielberg reste un maitre de la narration. Chez les acteurs, seul Anthony Hopkins tire son épingle du jeu.
Alors là c'est le comble ! ce film (de toutes façons beaucoup trop long) qui contient certains passages intéressant lorsqu'il s'agit de décrire le traitement réservé aux noirs à bord des navires esclavagistes, n'est au fond qu'un véritable morceau de propagande au service des Etats-Unis, pays qui aujourd'hui encore continue à condamner à mort (sans preuves véritables) une majorité de prisonniers noirs. Le personnage incarné par Morgan Freeman est totalement surréaliste. Comment croire qu'un noir à l'époque, pouvait, dans ce pays, rencontrer un ex-président quand il le désirait, comme il le désirait ? Comment même croire qu'on ait pu donner à un noir un rôle prépondérant dans une telle affaire ? Du grand n'importe quoi. Spielberg qui déjà c'était montré parfait lèche-botte dans "Il faut sauver le soldat Ryan" descend encore d'un cran. Et puis il y a ce morceau d'anthologie : un de ces africains fraîchement débarqués, ne parlant pas la langue, découvrant la bible en prison et comprenant soudain tout, l'expliquant à ses congénères. Il fallait oser ! Totalement grotesque et même écoeurant. Quel dommage qu'un tel talent ait pu ainsi se commettre.
Un trés bon sujet. L'esclavage à toujours en quelque sorte inspiré le cinéma et dans "Amistad" l'histoire est d'une grande envergure. Djimon Hounsou joue merveilleusement son rôle.
Un très beau film sur l'esclavage et leur droit . Un film très bien réalisé par Spielberg , une histoire consistant a sauver des esclaves qui se sont révoltés au cours de procès . Un scénario excellent et très utile . De très bon acteurs comme Morgan Freeman et Anthony Hoppkins dans ce film contre l'esclavage . Il y a aussi une histoire et une enquête comme des rebondissements faisant avancé l'histoire . L'un des meilleurs film dramatiques basé sur une histoire vraie .
Amistad est un film traitant d'une histoire vraie sur le jugement "d'esclaves" en 1839 qui n'en étaient pas et qui ont tués leur geôlier du bateau pour retrouver la liberté. Steven Spielberg, malgré quelques maladresses, réussit encore une fois à nous livrer un très bon fil, bien qu'il ne soit pas un des meilleurs films de Spielberg à mon sens. Steven Spielberg comme à son habitude, fait un film historique quand il ne s'occupe pas de gros films de divertissement. Avec un casting incroyable tels Djimon Hounsou, Matthew McConaughey, Morgan Freeman, Anthony Hopkins et Chiwetel Ejiofor,Spielberg fait un film sur l'esclavage, et c'est une réussite ! Le réalisateur nous livre une histoire très émouvante traitant un sujet douloureux (l'esclavage). Amistad posssède un bon scénario. La B.O du grand John Williams est juste magnifique une fois de plus. Spielberg nous livre un très bon film malgré quelques longueurs par moment.
Spielberg fait alternativement un film à gros budget et un a petit budget. Maleureusement, il a réaliser un chef d'oeuvre sur la shoah et nous sort un film a petit budget sur la traitre des esclaves africains. Ce traitement inégalitaire n'est-il pas raciste ? Des le debut du film, on voit des africains capturé d'autre africains sans expliquer que sans la demande des blancs les africains ne se serait jamais conduit comme ça. Ensuite on montre les gentils blancs qui prenne la défense des pauvres noirs présentés comme des idiots incpables de se défendre tout seul. A la fin, les américains c'est les gentis et les espagnols les méchants. C'est raciste. Combien d'esclaves ont eu droit a un proces ? Combien d'abolitionniste dans l'Amérique qui restera ségrégationniste pendant encore des siècles ? Les contre-vérités sont trop nombreuses pour qu'on adhère, même si l'idée de départ est bonne et que certains aspects de l'horreur esclavagiste sont bien traités (mais pas tous et pas assez).