Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Sans le mensonge, Chabrol ne s'amuserait pas. Et s'il ne s'amuse pas, Chabrol n'est plus Chabrol.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Humanité
par Jean Roy
Une fois de plus, le moraliste sardonique qu'a toujours été Chabrol s'en donne à coeur joie pour lever ses jupes à l'hypocrisie et découvrir des dessous bien sales.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Jacques Gamblin (...), époustouflant de fragilité et d'obstination mêlées, (...) porte tous les doutes du film et du monde
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Claude Baignères
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie Noëlle Tranchant
(...) ce qui captive le plus durablement dans le film, c'est la grave et puissante relation du couple formé par Jacques Gamblin et Sandrine Bonnaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Le cinéaste français agence brillamment les pistes pour signer l'un de ses meilleurs films, servi par une interprétation exceptionnelle
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par P.V.
C'est du grand Chabrol. Du solide, du goûteux, avec autant de cuisse que de jarret, autant de force que de finesse
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Michel Pascal
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Planetcinema.com
par Stéphanie Thonnet
Maître Chabrol n'a pas perdu la main et nous mène par le bout du nez jusqu'à la fin.
La critique complète est disponible sur le site Planetcinema.com
Positif
par Olivier De Bruyn
Le rire de Claude Chabrol grince comme aux plus belles heures. Qui s'en plaindra ?
Cahiers du Cinéma
par Antoine de Baecque
AU COEUR DU MENSONGE c'est une intensité, un ton, une teinte qui ont longtemps fait nommer ce film, jusque sur la première version de son scénario : La Couleur du mensonge.
Les Echos
par Annie Coppermann
Claude Chabrol ne vieillit pas. L'oeil est toujours malicieux et, derrière la caméra, le regard acéré, voire impitoyable, sur nos misérables petits tas de secrets.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Sophie Bonnet
(...) un film somnanbule, qui avance à l'image de la barque fendant lentement les brumes épaisses et glacées.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Séguret
Anodin à bien des égards, piquant de temps en temps, Au cour du mensonge se feuillette sans conséquence et sans doute un peu trop facilement, mais le film laisse au final un sentiment de bon petit travail bien fait.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Pierre Murat
Par un dosage subtil de ses ingrédients favoris, Claude Chabrol plonge un couple en enfer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
(...) les dialogues sont mal écrits (surtout dans la première partie) ; la photo, malgré une recherche sur le bleu et les teintes hivernales, est aussi fade que dans un téléfilm; et l'intrigue n'est pas des plus passionnantes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Studio Magazine
par Thierry Klifa
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Première
par Gérard Delorme
Chabrol a exécuté son film avec une grande désinvolture, ratant la plupart de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
Sans le mensonge, Chabrol ne s'amuserait pas. Et s'il ne s'amuse pas, Chabrol n'est plus Chabrol.
L'Humanité
Une fois de plus, le moraliste sardonique qu'a toujours été Chabrol s'en donne à coeur joie pour lever ses jupes à l'hypocrisie et découvrir des dessous bien sales.
L'Obs
Jacques Gamblin (...), époustouflant de fragilité et d'obstination mêlées, (...) porte tous les doutes du film et du monde
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
(...) ce qui captive le plus durablement dans le film, c'est la grave et puissante relation du couple formé par Jacques Gamblin et Sandrine Bonnaire.
Le Monde
Le cinéaste français agence brillamment les pistes pour signer l'un de ses meilleurs films, servi par une interprétation exceptionnelle
Le Parisien
C'est du grand Chabrol. Du solide, du goûteux, avec autant de cuisse que de jarret, autant de force que de finesse
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Planetcinema.com
Maître Chabrol n'a pas perdu la main et nous mène par le bout du nez jusqu'à la fin.
Positif
Le rire de Claude Chabrol grince comme aux plus belles heures. Qui s'en plaindra ?
Cahiers du Cinéma
AU COEUR DU MENSONGE c'est une intensité, un ton, une teinte qui ont longtemps fait nommer ce film, jusque sur la première version de son scénario : La Couleur du mensonge.
Les Echos
Claude Chabrol ne vieillit pas. L'oeil est toujours malicieux et, derrière la caméra, le regard acéré, voire impitoyable, sur nos misérables petits tas de secrets.
Les Inrockuptibles
(...) un film somnanbule, qui avance à l'image de la barque fendant lentement les brumes épaisses et glacées.
Libération
Anodin à bien des égards, piquant de temps en temps, Au cour du mensonge se feuillette sans conséquence et sans doute un peu trop facilement, mais le film laisse au final un sentiment de bon petit travail bien fait.
Télérama
Par un dosage subtil de ses ingrédients favoris, Claude Chabrol plonge un couple en enfer.
Chronic'art.com
(...) les dialogues sont mal écrits (surtout dans la première partie) ; la photo, malgré une recherche sur le bleu et les teintes hivernales, est aussi fade que dans un téléfilm; et l'intrigue n'est pas des plus passionnantes.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Chabrol a exécuté son film avec une grande désinvolture, ratant la plupart de ses personnages.