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dejihem
139 abonnés
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1,5
Publiée le 25 décembre 2013
Cet enchaînement de gag manque de tenue et de rythme, même s'il décrit les us et coutumes dans les studios d'Hollywood. ce premier film de Jerry Lewis a un certain charme mais plus de cinquante ans plus tard, tout cela est vraiment très daté...
La polyvalence de Jerry Lewis est vraiment admirable. Il est aussi à l'aise dans le rôle du gros neuneu infirmier, que celui du gros neuneu dessinateur, celui du gros neuneu valet de chambre ou enfin celui du gros neuneu colleur d'affiches. Et quel naturel, il n'a jamais besoin de se forcer, ses grimaces et ses chutes sont tellement travaillées. Allez, je propose qu'on lui élève une stèle. Bon, plus sérieusement, c'est nul à chier comme tous les films de Jerry Lewis, avec pourtant un scénario pas trop mal, mais une intrigue qui devient vite rasoir. Pour une fois, Jerry Lewis nous fait grâce d'une histoire d'amour bidon, c'est déjà ça de gagné. Pour la première fois dans l'un de ses films, j'ai connu un peu d'émotion avec le passage de la marionnette. Je dis bien un peu, ça casse pas non plus trois pattes à un canard.
C'est en solo que Jerry Lewis réalisé,interprète,écrit et compose pour "Le zinzin d'Hollywood"(1961). Comédie burlesque en noir et blanc,qui pénètre de l'intérieur les grosses compagnies hollywoodiennes(ici une sorte de Paramount) pour mieux en faire exploser les personnages grossiers,imbus d'eux-mêmes et superficiels. Jerry Lewis vise souvent juste en faisant grincer des dents. Si l'on s'éclate devant la partie de baskets folle ou l'imitation du producteur,ce sont les 2 séquences plus poétiques avec les marionnettes qui emportent la mise. Malheureusement,en l'absence d'une quelconque histoire,on assiste à une succession de gags,certes soignés,mais qui ne nous amène nulle part. De plus,Lewis incarne une fois de plus un imbécile heureux,qui parvient au sommet de façon hasardeuse. Savoureux et assez représentatif de l'usine à rêves de l'époque.
Avec Jerry Lewis, avec moi soit ça passe complètement soit ça ne passe pas du tout... Là ça n'est pas passé du tout... Le thème des studios hollywoodiens de l'intérieur était certainement un vivier de gags très riche mais Lewis ne parvient pas à bien l'exploiter. Les quelques rares gags qui font rire sont trop faciles pour être marquants, et pour le reste chacun d'entre-eux est mal amené, est trop répétitif et surtout la chute est trop minable (mention spéciale avec l'épisode de la star de cinéma lors de la première !!!) pour réussir à arracher ne serait-ce qu'un sourire.
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3,0
Publiée le 5 janvier 2014
Dans "The Errand Boy", Jerry Lewis quitte en courant un plateau de cinèma et heurte malencontreusement une armure, qui tombe contre une autre armure, laquelle entraîne dans sa chute toute une rangèe d'armures placèes en rang! Et il s'aperçoit avec effroi que toutes ces armures, dont les bras et les jambes s'agitent, sont habitèes par des figurants...Ce genre de gag appartient à un art purement visuel et on pourrait multiplier à l'infini ces exemples èdifiants dans ce second film de Jerry Lewis derrière la camèra! Le gag surprend et il amuse sans que la parole soit nècessaire: la sèquence de la cabine d'ascenseur, du cintre suspendu, de la bouteille de champagne ou d'un Lewis tombè dans une piscine qui en ressort plus que ventripotent du fait de l'eau qu'il a bue! Gags par ailleurs classiques mais l'acteur sait aussi être èmouvant comme nous le montre la scène formidable du petit clown! C'est parfois lourd mais les scènes comiques n'en continuent pas moins toute une sèrie de films catastrophes à l'èchelle du grand Jerry Lewis! De plus, "The Errand Boy" nous dècrit la rèussite involontaire d'un colleur d'affiches maladroit embauchè pour espionner les travaux d'une firme tenu par Brian Donlevy et nous permet de tout connaître non seulement d'un Hollywood imaginaire, mais d'un Hollywood rèel, car le film est tournè dans les lieux rèels de l'action! La parodie rejoint en quelque sorte une forme de documentaire où l'acteur comique plonge ici dans un sacrè panier de crabes...
Je dois bien avouer que je suis déçu par ce film de Jerry Lewis. Enfin ce n’est pas vraiment un film mais plus une succession de scènes et de gags plus ou moins raté, mais plus souvent raté que réussi. Il y a pourtant de bonnes idées et de quoi faire une satire sur le monde Hollywoodien mais ce n’est jamais le cas. Certains gags font quand même sourire, Jerry Lewis reste Jerry Lewis mais ce n’est pas assez. Le scénario est très mal écrit et construit. Enfin, Jerry Lewis a une très longue filmographie et il a déjà fait beaucoup mieux, dommage que celui-là soit raté car il y avait de bonnes idées. De plus la fin me laisse perplexe…
Pour son deuxième long-métrage en tant que réalisateur Jerry Lewis reste dans le même état d'esprit que son précédent film c'est-à-dire que Le Zinzin d'Hollywood est avant tout une succession de sketchs. A travers son personnage de gaffeur Lewis nous fait découvrir l'envers d'un grand studio hollywoodien et s'en suit une flopée de gags inégaux mais véritablement burlesques qui nous amuse, Jerry Lewis a vraiment l'humour collé à la peau. Les chutes sont parfois trop prévisibles mais on se laisse emporter par le dynamisme de Le Zinzin d'Hollywood, on regrettera par contre une réalisation en N&B qui enlève de la pétillance à l'ensemble.
Et ben dis-donc ça vole pas haut. Déjà avec sa voix débile c'est insupportable. Et je ne comprends pas comment on peut rire de cette suite ridicule de gags absolument pas drôles. C'est assez consternant.
Je suis éberlué : comment Jerry Lewis a-t-il pu devenir le chouchou de la critique française avec des films aussi nuls ? Pas de scénario, une succession de scènes n'ayant que peu de rapports entre elles et dans lesquelles les gags sont lamentables et ne font jamais rire, des grimaces à tire larigot, c'est absolument pathétique. Les pires comédies françaises arrivent à être meilleures que ce pâle navet. Les quelques minutes qu'on peut sauver sont celles où apparaissent les marionnettes. Ce n'est pas drôle du tout, mais on ressent une certaine émotion.
Un film en N&B coécrit et mis en scène par Jerry Lewis en 1961. Il est aussi le génial interprète du rôle principal de Morty, nouvel employé comme coursier de la Paramutual Pictures D'Hollywood. Notre Zinzin va semer une belle pagaille dans les studios de tournages, avec des gags à tiroir, des blagues tellement attendues qu'elles en sont encore plus drôles. Le scénario nous offre de bons effets visuels dans des scènes délirantes ; il nous gratifie également de belles séquences avec un Jerry émouvant parlant aux marionnettes.
Bon les gags ne sont pas d'une grande originalité,quand par ex Jerry rentre le parc d'un taureau évidement il porte une veste rouge et il va jouer sur les conseils de Dean Martin au matador. Les gags sont tous dans ce registre,autant dire que ce n'est pas exceptionnel. Il n’empêche que j'ai regardé ça sans vraiment m'amuser mais sans pour autant trouver ça mauvais,ça passe facilement même si on ne retient pas grand chose de ce qui est donné à voir là dedans.
Ce film de Jerry Lewis dont le titre anglais est le garçon de course est dans la lignée de ses films d'autant qu'il est ici à la réalisation. Pourtant tout semble haché, enchainement de gags très inégaux, essais de cohérence qui ne sont que des essais. Il y a des moment un peu particuliers mais l'ambition de présenter les studios annoncé en début est un peu passé aux oubliettes et la fin ne fait que confirmer le manque de perspective sa réussite caricaturée ou pas on ne sait trop. Au lieu d'un florilège de Jerry Lewis on a plutôt ici la preuve qu'il n'est pas bien doué pour la réalisation.
Film se situant dans la carrière de réalisateur de Jerry Lewis entre Le Tombeur de ces dames et Docteur Jerry et Mister Love, Le Zinzin d’Hollywood représente une grosse déception. En effet, ce film en noir et blanc est très loin des deux réussites suscitées. La virtuosité de mise en scène que possédait Le Tombeur de ces dames n’est ici pas présente et l’humour fait rarement mouche, ce qui est assez gênant dans un film où le scénario n’est qu’un prétexte à une succession de sketchs. Cependant, quelques séquences (pas obligatoirement les plus comiques) sont assez réussiesspoiler: (les scènes de marionnettes, celle où Jerry Lewis imite un patron ou celle de la piscine) . Décevant.
La folie de Jerry Lewis ajoute beaucoup de magie, de poésie à une histoire sans queue ni tête, sans véritable lien. Un film assez bon quand même, marrant et qui procure pas mal de bonheur, de bien-être sans occulter les quelques moments d'ennui, de lenteurs parsemés ici ou là !!
Ce qui est dommage dans ce film de Jerry Lewis, c'est que c'est plus une succession de gags sans réel lien entre eux plutôt qu'un film avec intrigue. De ce fait, on rit de bon coeur même si on est un peu moins attentif sur la fin. A part cela, il est impossible de ne pas rire devant les pitreries de Jerry Lewis: certains gags comme celui de la piscine, de la confiserie ou de la salle de réunion avec le big band en fond sonore sont absolument formidables; cependant la plus belle scène du film reste celle de la marionnette du petit clown, particulièrementréussie et émouvante. A voir absolument.