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Votre avis sur Psychose ?
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Certainement le Hitchcock le plus terrifiant : Psychose est un exercice de style époustouflant.
Réticent avec les vieux films, je dois avouer que j'ai été très agréablement surpris par celui-ci. Mon premier Hitchock, et certainement pas le dernier, puisque comme il m'a convaincu, je vais parcourir l'ensemble de ses classiques.
Luc H.
Hitchcock, maître du suspence, nous plonge ici dans un film angoissant. Très bon film malgré la présence de quelques Faux Raccords, principalement dans la scène de l'assassinat sous la douche et autre scène que je ne citerais pas ici. A voir absolument malgré tout.
Un classique du thriller
spoiler: La musique, la musique de la scène de la douche, elle vous glace le dos, vous donne la chair de poule, vous fait levez les bras, pour finir par avoir des blessures défensives tellement on s'imagine à la place de cette cliente du motel, pas si clean que ça dans sa probité. Hitchcock lui fait il payer sa malhonnêteté ?
spoiler: La musique, la musique de la scène de la douche, elle vous glace le dos, vous donne la chair de poule, vous fait levez les bras, pour finir par avoir des blessures défensives tellement on s'imagine à la place de cette cliente du motel, pas si clean que ça dans sa probité. Hitchcock lui fait il payer sa malhonnêteté ?
Ce n'est pas mon Hitchcock favori, mais "Psychose" reste un pur chef d'œuvre et un grand moment de cinéma et d'angoisse.
J'ai longtemps hésité à mettre une critique à ce film. En effet, malgré l'énorme enthousiasme de beaucoup, Psychose a de très nombreux défauts. Tout d'abord, l'histoire met trop de temps à se mettre en place. Le début est trop long, ennuyeux, et l’intérêt n'arrive vraiment qu'à la scène de la douche (qui a d'ailleurs vieillie et qui est aujourd'hui -il faut tout de même le dire- ridicule). Au contraire, la scène de la "révélation", bien qu'impressionnante, dure une demi seconde, et on ne voit Norman dans les habits de sa mère qu'un très court instant. J'ai trouvé cela dommage, car je crois que le film aurait vraiment gagné à s'attarder plus sur ce passage, au lieu de privilégier et de mettre l'accent sur toute l'histoire inutile de Marion au début, ainsi que sur son trajet en voiture bien trop long. Mais malgré ça, je ne peux nier que la fin fait vraiment flipper, que Anthony Perkins joue extrêmement bien, et que tout le film est tout de même construit de manière très intelligente. Alors, malgré ses défauts et son âge, Psychose est et restera gravé dans l'histoire du cinéma.
L’un des titres les plus célèbres de tous les temps. Un incontournable du film d'angoisse, peuplé de scènes cultes...La scène de la douche, le regard d'épouvante de Janet Leigh, tout ça sous la BO sublime de Bernard Herrmann.
Artriste
Avec Psychose, Alfred Hitchcock nous offre un thriller horrifique de grande qualité. Cette histoire nous fait suivre une femme qui va voler de l'argent à un riche homme et décider de s'en aller avec ce butin. Seulement tout ne va pas se passer comme prévu pour Marion. C'est prenant de bout en bout, le suspens est présent et le film va prendre une tournure inattendue et franchement osée vers la moitié de l'intrigue. Les différents personnages ont chacun un rôle important et sont joués par un casting impeccable. Janet Leigh, John Gavin ainsi que les autres acteurs sont tous excellents. Mais le plus inquiétant c'est bien Anthony Perkins qui livre une superbe prestation en Norman Bates. Les relations entre les protagonistes créent de la tension et les dialogues sont plaisants. Une des grandes force de ce long-métrage vient de son esthétique. Le noir est blanc est très beau et la réalisation d'Alfred Hitchcock est astucieuse et sait parfaitement créer de l'angoisse. Ce super visuel est accompagné par une b.o. très présente. Son thème principal est mémorable, revenant sans cesse il créer la panique dès qu'on l'entend. Les autres musiques sont tout aussi bonnes. Reste une fin des plus réussi qui clôt de très bonne façon ce Psychose qui est un film majeur à voir absolument.
Un film culte qui a offert ses lettres de noblesse au genre de l'epouvante. Anthony Perkins est bluffant de folie. Si le film accuse esthétiquement le coup, il n'en reste pas moins un concentré de suspense au rythme inégal mais à la réalisation splendide pour l'époque.
shindu77
J'ai vu ce long métrage après avoir avoir vu récemment Hitchcock.
Je tombe là sur très bon film. Réalisation plus qu'efficace avec du suspens bien orchestré ! Le maître du suspens mérite bien ce surnom.
La fin est très bien faite. Même si le film a pris de l'âge, ce qui est tout à fait normal, ça reste un vrai classique.
Je recommande !
Je tombe là sur très bon film. Réalisation plus qu'efficace avec du suspens bien orchestré ! Le maître du suspens mérite bien ce surnom.
La fin est très bien faite. Même si le film a pris de l'âge, ce qui est tout à fait normal, ça reste un vrai classique.
Je recommande !
Shawn777
Ce film réalisé par Alfred Hitchcock et sorti en 1960 est vraiment très bon ! Cela fait du bien de le revoir après avoir vu les trois suites, le remake, la série "Bates Motel" et après avoir lu les livres car on en a une approche assez différente. Le scénario, qui est adapté du livre homonyme de Robert Bloch, est très bon et surtout très fidèle à ce dernier, tous les détails importants y sont très bien retranscrits. Bon, aujourd'hui, je connais le dénouement mais je me souviens la première fois que j'ai découvert ce film, la fin m'avait complètement scotché et je ne m'y attendais pas du tout ! En le revoyant maintenant, c'est différent mais toujours aussi intéressant car on peut alors analyser tous les indices laissé par la trame, notamment le comportement de Norman assez étrange et psychotique par moments. L'histoire est adaptée du sombre fait réel concernant le tueur Ed Gein et si le film "Massacre à la Tronçonneuse" et les autres films inspirés de son histoire se concentrent plus sur le côté gore et meubles en peau humaine, ce film se concentre quant à lui beaucoup plus sur le côté psychologique du personnage, ce qui est très intéressant. Notamment toute l'explication du psychiatre à la fin du film (comme du livre d'ailleurs) qui nous en apprends beaucoup sur la psychologie du personnage. Même s'il y a quelques passages à vide pas très intéressants, on ne s'ennuie pas car le film reste captivant, même lors de ces revisionnages. On ne va pas se mentir, de nos jours, le film n'est plus vraiment effrayant mais il comporte malgré tout des scènes assez angoissantes et dont le suspense est soutenu. Nous avons également la célèbre scène de la douche qui est toujours un plaisir à regarder, même après l'avoir vu de nombreuses fois ! D'ailleurs, la réalisation est très bonne et réussie très bien adapter à l'écran les difficultés que posaient le livre, notamment les discussions entre Norman et sa mère. Il est également impossible de parler de ce film sans mentionner la musique signée Bernard Herrmann qui est tout simplement excellente et reste toujours marquante, même des années après ! Du côté des acteurs, nous avons une très belle prestation de Anthony Perkins qui excelle dans son rôle et puis nous avons également, entres autres, Janet Leigh et John Gavin qui sont très bons. "Psychose" est donc un très bon film et si ce n'est pas pour moi le meilleur du réalisateur, il en fait en tout cas partie !
Grand classique du film d'ambiance et du 7e art en général, "Psychose" est avant tout le meilleur film d'Alfred Hitchcock qui n'aura jamais autant mérité son titre de maître du suspense. La mise en scène, tout d'abord, est un petit joyau d’orfèvrerie, chaque scène étant parfaitement maitrisée (plans fixes, dialogues ciselés, effets de mise en scène osés notamment dans la maison...) et transcendée par l'utilisation magnifique du noir et blanc (qui renforce le sentiment d’oppression et a permis au film de mieux résister aux années que d'autres productions de la même époque) et de la BO devenue culte de Bernard Herrman. Hitchcock a également soigné ses décors, du motel de bord d'autoroute (et sa salle remplie d'animaux empaillés) à la terrifiante maison des Bates (tellement ancré dans l'imaginaire collectif qu'elle a inspiré l'attraction Phantom Manor à Disneyland Paris)... à tel point qu'on se croirait dans un film d'horreur à l'ancienne façon Hammer. La relative lenteur du rythme vient d'ailleurs participer à cette tension palpable d'un bout à l'autre du film. Ce magnifique travail d'ambiance a été un peu oublié par le grand public qui retient surtout de "Psychose" la scène de la douche (devenue une référence incontournable du genre) et le twist final qui compte parmi les plus renversants de l'histoire du cinéma. Quant au casting, outre une pléiade de 2nds rôles formidables (Janet Leigh dont le meurtre à mi-bobine a traumatisé plus d'un spectateur, Martin Balsam en détective opiniâtre, Vera Miles en sœur inquiète, John Gavin en petit ami...), c'est bien évidemment la prestation époustouflante d'Anthony Perkins dans le légendaire rôle de Norman Bates, schizophrène terrifiant au physique de gendre idéal, qui recueillera tous les suffrages des spectateurs. La scène où il s'insurge qu'on puisse évoquer l’internement de sa mère résume à elle seule la complexité du personnage et sa folie intérieure. Un chef-d’œuvre comme il n'en existera plus...
Alfred Hitchcock est, de mon point de vue, l'un des réalisateurs les plus surestimés. Passé ce constat que beaucoup se feront un plaisir de contredire, il faut bien lui reconnaitre cette œuvre : "Psychose". Sans entrer dans les détails de la genèse de ce film, il suffit de s'arrêter sur un ou deux détails pour être satisfait du résultat général. Si la mythique scène de la douche trouve sa place à un moment où, bien entendu, on s'y attend compte tenu de la réputation qui précède le film, j'ai quand même eu le droit à mon quota de surprises. A commencer par la prestation de Anthony Perkins qui, à mon sens, peut aisément être cataloguée comme l'une des plus troublantes du cinéma de genre. Norman Bates a, en sa personne, un visage aussi doux et juvénile qu'il est sec et agressif. Une dualité constamment nuancée par de bons choix narratifs, un scénario sans étincelles qui fonctionne et un casting talentueux. Voilà, "Psychose", c'est d'abord et avant toute chose l'introduction d'un antagoniste complexe d'envergure qui peut, encore aujourd'hui, tenir la dragée haute à ses confrères. Au delà de ça, hormis un plan riche et, pour l'époque, magistral (caméra braquée sur l’œil qui s'éloigne), je n'ai pas décelé énormément de détails qualifiables d'unique. Contrairement à la majorité, je ne suis absolument pas fan de l'ultime plan. On se serait arrêté juste avant, sur une voix-off, ça m'aurait paru beaucoup plus justifié. "Psychose" ne présente pas non plus d'enjeux particuliers, si ce n'est la folie qui entoure notre maitre d'hôtel. Quoiqu'il en soit, le film ne vole pas sa réputation, mais, à nouveau, Hitchcock ne m'a pas transcendé. Cela n'en demeure pas moins, de ce que j'ai vu de sa filmographie à ce jour, sa plus belle réussite.
🎬 RENGER 📼
Marion Crane est une employée modèle qui, sur un coup de tête, vole 40 000 $ à son employeur. Sur la route, elle fait une halte dans un motel tenu par le sympathique Norman Bates. Après avoir diner ensemble, Norman retourne à ses occupations tandis que Marion va rejoindre sa chambre pour prendre une douche…
L’exemple typique du film que l’on ne présence plus et que (normalement) tout le monde à au moins vu ne serait-ce qu’une fois dans sa vie. Une chose est sûre, en réalisant Psychose (1960), Alfred Hitchcock ne s’attendait pas à mettre en boite ce qui deviendrait avec le temps, une œuvre majeure du cinéma de genre, une référence, voir même un film fondateur. Adapté du roman éponyme de Robert Bloch, le réalisateur signe ici l’un des plus beaux films de sa filmographie.
Le film est scindé en deux parties, avec en premier le vol et la fuite de Marion (à travers une cavale pour le moins stressante) et en second, cette nuit d’hôtel qui ne cessera de nous surprendre. Le tour de force d’Hitchcock aura été de spoiler: tuer son héroïne à la 45ème minute du film
, c’était clairement osé.
Tout y est magnifié, que ce soit la photographie dans un somptueux noir & blanc, les plans remarquables (Hitchcock s’amuse avec les reflets et les jeux d’ombres, sans parler de la cultissime scène de la douche ou celle de la chute dans l’escalier), jusqu’à la mémorable B.O. composée par Bernard Herrmann. Bien évidemment, que serait ce film sans l’apport de sa distribution, où l’on y retrouve la rayonnante Janet Leigh (mère de Jamie Lee Curtis), l’incroyable Anthony Perkins, ainsi que Martin Balsam. Le cinéaste est parvenu à maintenir un suspens latent et une tension palpable.
A noter enfin que trois autres suites verront le jour entre 1983 & 1990, ainsi qu’un téléfilm (ou plutôt, le pilote d’une série qui ne verra jamais le jour) avec Bates Motel (1987). Il faudra attendre près de 40ans pour qu’un remake plan par plan voit le jour (Psycho - 1998) ainsi qu’une série télévisée (Bates Motel - 2013/2017) en 5 saisons.
(critique rédigée en 2011, réactualisée en 2022)
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
L’exemple typique du film que l’on ne présence plus et que (normalement) tout le monde à au moins vu ne serait-ce qu’une fois dans sa vie. Une chose est sûre, en réalisant Psychose (1960), Alfred Hitchcock ne s’attendait pas à mettre en boite ce qui deviendrait avec le temps, une œuvre majeure du cinéma de genre, une référence, voir même un film fondateur. Adapté du roman éponyme de Robert Bloch, le réalisateur signe ici l’un des plus beaux films de sa filmographie.
Le film est scindé en deux parties, avec en premier le vol et la fuite de Marion (à travers une cavale pour le moins stressante) et en second, cette nuit d’hôtel qui ne cessera de nous surprendre. Le tour de force d’Hitchcock aura été de spoiler: tuer son héroïne à la 45ème minute du film
, c’était clairement osé.
Tout y est magnifié, que ce soit la photographie dans un somptueux noir & blanc, les plans remarquables (Hitchcock s’amuse avec les reflets et les jeux d’ombres, sans parler de la cultissime scène de la douche ou celle de la chute dans l’escalier), jusqu’à la mémorable B.O. composée par Bernard Herrmann. Bien évidemment, que serait ce film sans l’apport de sa distribution, où l’on y retrouve la rayonnante Janet Leigh (mère de Jamie Lee Curtis), l’incroyable Anthony Perkins, ainsi que Martin Balsam. Le cinéaste est parvenu à maintenir un suspens latent et une tension palpable.
A noter enfin que trois autres suites verront le jour entre 1983 & 1990, ainsi qu’un téléfilm (ou plutôt, le pilote d’une série qui ne verra jamais le jour) avec Bates Motel (1987). Il faudra attendre près de 40ans pour qu’un remake plan par plan voit le jour (Psycho - 1998) ainsi qu’une série télévisée (Bates Motel - 2013/2017) en 5 saisons.
(critique rédigée en 2011, réactualisée en 2022)
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Un film à la mise en scène très soignée et à l'ambiance angoissante, la prestation d'Anthony Perkins est saisissante.Un grand thriller.
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