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Votre avis sur Psychose ?
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Vèritable film phare d'Alfred Hitchcock ou suspense et horreur se conjugent pour atteindre un paroxysme terrifiant! "Psychose" est un vrai film d'angoisse, une oeuvre à moitiè muette d'une grande force èmotionnelle! Le scènario est inspirè d'un fait divers, celui d'un homme qui a gardè chez lui le cadavre de sa mère! Tournè volontairement en noir & blanc, l'ouverture du film a ceci de magistral qu'en un seul mouvement de camèra elle va nous introduire dans l'intrigue et nous assigner notre place de spectateur! La scène du meurtre de la sensuelle et charnelle Janet Leigh sous la douche est parmi les scènes mythiques de toute l’histoire du cinéma! Que dire de la prestation extraordinaire d'Anthony Perkins en nèvrosè qui restera à jamais l'inquiètant Norman Bates! On retiendra ègalement la cèlèbre musique de Bernard Hermann qui n'a rien perdu de sa puissance! Techniquement parfait, "Psychose" est un redoutable chef d'oeuvre du 7ème art...
🎬 RENGER 📼
Marion Crane est une employée modèle qui, sur un coup de tête, vole 40 000 $ à son employeur. Sur la route, elle fait une halte dans un motel tenu par le sympathique Norman Bates. Après avoir diner ensemble, Norman retourne à ses occupations tandis que Marion va rejoindre sa chambre pour prendre une douche…
L’exemple typique du film que l’on ne présence plus et que (normalement) tout le monde à au moins vu ne serait-ce qu’une fois dans sa vie. Une chose est sûre, en réalisant Psychose (1960), Alfred Hitchcock ne s’attendait pas à mettre en boite ce qui deviendrait avec le temps, une œuvre majeure du cinéma de genre, une référence, voir même un film fondateur. Adapté du roman éponyme de Robert Bloch, le réalisateur signe ici l’un des plus beaux films de sa filmographie.
Le film est scindé en deux parties, avec en premier le vol et la fuite de Marion (à travers une cavale pour le moins stressante) et en second, cette nuit d’hôtel qui ne cessera de nous surprendre. Le tour de force d’Hitchcock aura été de spoiler: tuer son héroïne à la 45ème minute du film
, c’était clairement osé.
Tout y est magnifié, que ce soit la photographie dans un somptueux noir & blanc, les plans remarquables (Hitchcock s’amuse avec les reflets et les jeux d’ombres, sans parler de la cultissime scène de la douche ou celle de la chute dans l’escalier), jusqu’à la mémorable B.O. composée par Bernard Herrmann. Bien évidemment, que serait ce film sans l’apport de sa distribution, où l’on y retrouve la rayonnante Janet Leigh (mère de Jamie Lee Curtis), l’incroyable Anthony Perkins, ainsi que Martin Balsam. Le cinéaste est parvenu à maintenir un suspens latent et une tension palpable.
A noter enfin que trois autres suites verront le jour entre 1983 & 1990, ainsi qu’un téléfilm (ou plutôt, le pilote d’une série qui ne verra jamais le jour) avec Bates Motel (1987). Il faudra attendre près de 40ans pour qu’un remake plan par plan voit le jour (Psycho - 1998) ainsi qu’une série télévisée (Bates Motel - 2013/2017) en 5 saisons.
(critique rédigée en 2011, réactualisée en 2022)
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
L’exemple typique du film que l’on ne présence plus et que (normalement) tout le monde à au moins vu ne serait-ce qu’une fois dans sa vie. Une chose est sûre, en réalisant Psychose (1960), Alfred Hitchcock ne s’attendait pas à mettre en boite ce qui deviendrait avec le temps, une œuvre majeure du cinéma de genre, une référence, voir même un film fondateur. Adapté du roman éponyme de Robert Bloch, le réalisateur signe ici l’un des plus beaux films de sa filmographie.
Le film est scindé en deux parties, avec en premier le vol et la fuite de Marion (à travers une cavale pour le moins stressante) et en second, cette nuit d’hôtel qui ne cessera de nous surprendre. Le tour de force d’Hitchcock aura été de spoiler: tuer son héroïne à la 45ème minute du film
, c’était clairement osé.
Tout y est magnifié, que ce soit la photographie dans un somptueux noir & blanc, les plans remarquables (Hitchcock s’amuse avec les reflets et les jeux d’ombres, sans parler de la cultissime scène de la douche ou celle de la chute dans l’escalier), jusqu’à la mémorable B.O. composée par Bernard Herrmann. Bien évidemment, que serait ce film sans l’apport de sa distribution, où l’on y retrouve la rayonnante Janet Leigh (mère de Jamie Lee Curtis), l’incroyable Anthony Perkins, ainsi que Martin Balsam. Le cinéaste est parvenu à maintenir un suspens latent et une tension palpable.
A noter enfin que trois autres suites verront le jour entre 1983 & 1990, ainsi qu’un téléfilm (ou plutôt, le pilote d’une série qui ne verra jamais le jour) avec Bates Motel (1987). Il faudra attendre près de 40ans pour qu’un remake plan par plan voit le jour (Psycho - 1998) ainsi qu’une série télévisée (Bates Motel - 2013/2017) en 5 saisons.
(critique rédigée en 2011, réactualisée en 2022)
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
selenie
Après le film "Hitchcock" qui relate le tournage de "Psychose" il fallait bien revoir ce chef d'oeuvre. Adapté du roman de Robert Bloch qui se serait lui-même inspiré du serial killer Ed Gein. Aujourd'hui on sait que le livre est beaucoup plus violent et érotique que le film mais il est néanmoins évident que le génie de Hitchcock est d'avoir su contourner la censure du Code Hays (d'ailleurs un code en fin de course) ; la chasse d'eau des toilettes ou l'apparition furtive des seins de Janet Leigh en sont une belle preuve. Divisé en deux parties mais unies par la superbe et inquiétante musique de Bernard Hermann. On suit Janet Leigh, pendant près de 45 minutes avant que sa soeur (Vera Miles) s'inquiète de sa disparition. Le seul vrai problème réside dans le montage ; Arbogast, le dédective privé, soupçonne l'amant et la soeur à leur première rencontre, quelques minutes plus tard le dédective leur téléphone comme par amitié en omettant ses employeurs ?! Un détail... Il n'en demeure pas moins que ce film est un monument, une date importante du cinéma, de par sa portée sur l'épouvante (imaginons un tel film en 1960) mais aussi pour ouvrir une brèche encore plus grande dans le Code Hays.
NeoLain
Le temps passe puis ce long-métrage de Hitchcock ne dépérit pas un seul instant. De plus, pour une durée de presque 1h50, dès la première minute on s'immerge. L'excellence est atteignable, quand c'est le cas, nous spectateur, on le ressent. La composition de Bernard Herrmann, la scène culte de la douche, la performance de l'acteur Anthony Perkins dans son rôle inoubliable et sombre du personnage Bates qui qui s'inspira du célèbre tueur en série Ed Gein.
AMCHI
La 1ère fois que l'on voit ce thriller c'est l'angoisse à l'état pur, on suit avec passion et une certaine excitation cette macabre histoire avec son lugubre motel pourtant dirigé par un personnage si avenant que Norman Bates interprété par un mystérieux Anthony Perkins (son regard à la fin). C'est vrai qu'en le revoyant les scènes de meurtres sont moins effrayantes et l'effet de surprise amoindri mais l'on apprécie toujours la mise en scène d'Alfred Hitchcock et une histoire déjà très prenante avant l'arrivée de Janet Leigh au motel. Psychose est très marquant tant par sa réalisation que par la musique inoubliable de Bernard Herrman qui accentue le côté inquiétant du film. Psychose inspirera par la suite plus ou moins bien de nombreux films.
lhomme-grenouille
Encore un suspense remarquablement ficelé par le maître du genre. Certes, les ficelles de ce film ont tellement été réutilisées depuis qu’on pourrait voir dans ce cheminement d’intrigue quelque chose de bien classique. Ce n’est pas faux. Mais malgré tout, je trouve que la mécanique d’Hitchcock fonctionne encore de nos jours, et sans accroc aucun. Il serait bien dommage de s’en priver.
gimliamideselfes
Si la première demi heure peut sembler un peu plate, il ne faut pas s'y fier, je trouve que le plus impressionnant dans ce film n'est pas la scène désormais célèbre de la douche mais bien la dernière scène du film totalement terrifiante. La musique est sublime et est presque encore plus effrayante que le film. Même si le suspens n'est pas si fort que ça, on reste bouche bée devant la fin.
Le film le plus connu d'Alfred Hitchcock dont la scène de la douche est un monument à elle toute seule.Et pourtant,rien ne prédestinait "Psychose" au départ à un tel engouement.Le maître du suspense a insufflé sa patte en lui donnant une angoisse insoutenable.Et rend hommage à DeMille et Clouzot.Filmé dans un noir et blanc claustrophobique,multiplication des plans serrés,musique stridente et mystère de cette maison sinsitre.Une recette clouant au fauteuil d'où éclate toute la morbidité du monde.Norman Bates,en particulier,est un psychopathe schizophrène répulsant,à l'origine du "slasher movie",ce genre où un tueur dézingue les uns après les autres tous les gentils de l'histoire.Janet Leigh est une héroïne téméraire,rare pour les femmes de l'époque.Un film-phénomène donc,mais dont le rythme hoquetant et les longueurs agaçent plus qu'elles ne terrifient aujourd'hui.Les standards ont changé.La matière reste bien sûr là.Mais d'autres Hitchcock apparaissent plus passionnant désormais,comme "La mort aux trousses".
Hitchcock signe là un excellent thriller à la fin hélas trop éventée mais géniale. La mise en scène a un peu vieillie mais reste plus que satisfaisante. Anthony Perkins est parfait, malgré sa gueule d'ange il peut faire flipper. Janet Leigh est également excellente. Plusieurs scènes sont très bonnes (celle de la douche et même celle de la cave). Loin d'être le film le plus abouti d'Hitchcock (par rapport à "Fenêtre sur cour" ou encore "Sueurs Froides") mais un très, très bon film.
Yannickcinéphile
Je n’avais jamais vu ce classique d’Hitchcock jusqu’à il y a une semaine. En général les grands classiques m’agacent un peu car si on ne les apprécie pas on passe pour pédant ou prétentieux, et si on les apprécie, pour des admirateurs serviles, mais là honnêtement, j’ai trouvé que sa réputation était méritée. Psychose bénéficie d’abord d’une interprétation excellente. Anthony Perkins a du charisme, c’est indéniable, il est parfait dans le rôle car sous des dehors indéniablement séduisants il cache génialement sa personnalité bipolaire. Janet Leigh, bien qu’elle disparait assez vite est néanmoins pleine de charme, imposant sa photogénie dans chaque scène et démontrant une fois de plus qu’il manque un peu, aujourd’hui ce type d’actrices au cinéma. Toutefois en dehors de ces deux rôles il y a encore de très bons autres acteurs, comme Vera Miles ou John Gavin, qui ont été un peu oubliés mais s’en tirent pourtant sans difficulté.
Le scénario est le point très positif du film. Il avance avec une remarquable fluidité malgré les ruptures brutales qui lui sont imposés (notamment après la disparition de Leigh). Manipulateur, intriguant, il s’avère franchement prenant alors qu’on ne peut pas dire qu’il y ait beaucoup d’action, ce qui témoigne de la qualité de l’intrigue. La conclusion est peut-être un peu rapide, mais c’est voulu en même temps pour ne pas éventer le suspens. En tout cas j’ai été assez surpris moi-même d’accrocher autant à ce film. Je note que finalement il y a beaucoup de tapage autour de la scène de la douche, mais clairement ce n’est pas le meilleur moment du film. Cela même du point de vue de la mise en scène. Hitchcock en effet offre une mise en scène il est vrai très travaillé pour ce moment qu’il a un peu placé comme dans un écrin au milieu du métrage, mais je trouve la disparition de la voiture dans les marais et sa remontée à la fin, avec un simple plan fixe autrement plus marquant. Il y a quelques effets un peu tarabiscotés d’un rendu douteux, notamment lorsqu’un homme chute dans un escalier. Néanmoins dans l’ensemble le réalisateur maitrise son affaire, et Psychose est très bien fait. La photographie est tout aussi intéressante, avec un noir et blanc qui convient indéniablement bien au métrage et renforce son ambiance. Parfois il serait peut-être bon que certains réalisateurs contemporains pensent au noir et blanc plutôt que d’utiliser la couleur de manière passive, car l’atmosphère, si le noir et blanc est intelligemment manié peu franchement être très agréable. C’est le cas ici, avec une réelle lourdeur. Les décors sont limités à relativement peu de chose, néanmoins ils sont parfaitement utilisés, avec quelques plans notamment sur la maison de Bates qui sont marquants. Pour le reste, ne vous attendez pas à de la violence franche, du sang ou autre, Psychose est dans la suggestion, et s’avère tout à fait sobre de ce point de vue, même s’il a des moments indéniablement inquiétant. Très bonne bande son par ailleurs, collant parfaitement aux images.
En conclusion Psychose est probablement un des meilleurs Hitchcock, bien meilleur que le surcoté Les Oiseaux. Maitrisé de bout en bout, doté d’un scénario tout à fait original, il est porté par des acteurs en parfaite adéquation avec les rôles. En dehors d’une ou deux anicroches que j’ai pu souligner de ci de là, l’ensemble reste marquant, et mérite tout à fait sa réputation. Je lui donne 5.
Le scénario est le point très positif du film. Il avance avec une remarquable fluidité malgré les ruptures brutales qui lui sont imposés (notamment après la disparition de Leigh). Manipulateur, intriguant, il s’avère franchement prenant alors qu’on ne peut pas dire qu’il y ait beaucoup d’action, ce qui témoigne de la qualité de l’intrigue. La conclusion est peut-être un peu rapide, mais c’est voulu en même temps pour ne pas éventer le suspens. En tout cas j’ai été assez surpris moi-même d’accrocher autant à ce film. Je note que finalement il y a beaucoup de tapage autour de la scène de la douche, mais clairement ce n’est pas le meilleur moment du film. Cela même du point de vue de la mise en scène. Hitchcock en effet offre une mise en scène il est vrai très travaillé pour ce moment qu’il a un peu placé comme dans un écrin au milieu du métrage, mais je trouve la disparition de la voiture dans les marais et sa remontée à la fin, avec un simple plan fixe autrement plus marquant. Il y a quelques effets un peu tarabiscotés d’un rendu douteux, notamment lorsqu’un homme chute dans un escalier. Néanmoins dans l’ensemble le réalisateur maitrise son affaire, et Psychose est très bien fait. La photographie est tout aussi intéressante, avec un noir et blanc qui convient indéniablement bien au métrage et renforce son ambiance. Parfois il serait peut-être bon que certains réalisateurs contemporains pensent au noir et blanc plutôt que d’utiliser la couleur de manière passive, car l’atmosphère, si le noir et blanc est intelligemment manié peu franchement être très agréable. C’est le cas ici, avec une réelle lourdeur. Les décors sont limités à relativement peu de chose, néanmoins ils sont parfaitement utilisés, avec quelques plans notamment sur la maison de Bates qui sont marquants. Pour le reste, ne vous attendez pas à de la violence franche, du sang ou autre, Psychose est dans la suggestion, et s’avère tout à fait sobre de ce point de vue, même s’il a des moments indéniablement inquiétant. Très bonne bande son par ailleurs, collant parfaitement aux images.
En conclusion Psychose est probablement un des meilleurs Hitchcock, bien meilleur que le surcoté Les Oiseaux. Maitrisé de bout en bout, doté d’un scénario tout à fait original, il est porté par des acteurs en parfaite adéquation avec les rôles. En dehors d’une ou deux anicroches que j’ai pu souligner de ci de là, l’ensemble reste marquant, et mérite tout à fait sa réputation. Je lui donne 5.
Tout a été dit, je ne vais donc pas être très original :
Un monument ! Tout est parfait dans ce film. Le jeu des acteurs, (la prestation d'Anthony Perkins est absolument fabuleuse) la mise en scène, le montage, les éclairages, la musique... tout... Quant au suspense, n'en parlons pas, après une brève mise en place, on est scotché devant son écran et on en bouge plus. Je me demande bien quelle critique négative objective on pourrait faire à ce film ? Peut être en chipotant trouver la tirade finale du psychanalyste un peu longuette, mais bon...
PS : Au fait Wikipédia se plante encore, Psychose n'est pas un film d'horreur, c'est un thriller qui contient des scènes horrifiques (trois, pas plus) ce qui n'est pas la même chose.
Un monument ! Tout est parfait dans ce film. Le jeu des acteurs, (la prestation d'Anthony Perkins est absolument fabuleuse) la mise en scène, le montage, les éclairages, la musique... tout... Quant au suspense, n'en parlons pas, après une brève mise en place, on est scotché devant son écran et on en bouge plus. Je me demande bien quelle critique négative objective on pourrait faire à ce film ? Peut être en chipotant trouver la tirade finale du psychanalyste un peu longuette, mais bon...
PS : Au fait Wikipédia se plante encore, Psychose n'est pas un film d'horreur, c'est un thriller qui contient des scènes horrifiques (trois, pas plus) ce qui n'est pas la même chose.
Je viens de le voir et c'est vraiment un bonne surprise. J'ai adoré la scène de la douche (mythique !!), les acteurs sont convaincants, la b-o est vraiment efficace et la mise en scène est exemplaire... Ce chef-d'œuvre est carrément indispensable, à voir impérativement !!
MaCultureGeek
Une référence du thriller signé d'une main de maître par Alfred Hitchcock qui nous livre l'une de ses plus grandes oeuvres.
Julien D
Dès son générique d’ouverture, la musique composée par Bernard Hermann puis la photographie léchée donnant un sentiment de claustrophobie font comprendre au public qu’il se lance dans une vision d’horreur qui, en 1960, n’avait encore rien de comparable. Le personnage de départ est une voleuse en fuite peu empathique qui sera tuée au bout d’une demi-heure dans la scène cultissime des coups de poignards sous la douche. Va alors commencer une enquête au cours de laquelle Hitchcock réussit le tour de force encore inédit de faire du personnage de Norman Bates le personnage auquel les spectateurs peuvent le plus facilement s’identifier… Jusqu’à un twist mémorable faisant de ce gérant d’hôtel l’un des pires psychopathes et donnant un sentiment psychologiquement dérangeant à tous ceux étant à l’époque (puisque de nos jour cet homme est indéniablement assimilé à celui du tueur ayant inspiré tant les films de maisons hantés que les slashers les plus sanglants) tombé dans le piège narratif du réalisateur.
weihnachtsmann
Hitchcock filme l'angoisse avec brio. C'est dans les yeux de l'héroïne dans la voiture sous la pluie que tout commence. Le mystère est déjà là. Puis vient le suspense macabre avec la révélation finale qui est franchement terrifiante. Un film magistral évidemment.
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