"Le Pont de la rivière Kwai" : un film de guerre-aventure grandiose, épique et captivant de bout en bout. Rien à dire, un très grand moment de cinéma... Chef d'œuvre.
Chef-d’œuvre du cinéma américain avec un scénario éblouissant, des interprètes dont leur personnages leur collent à la peau, des décors somptueux et un des plus grands finals du cinéma holywoodien de l'histoire. Le tout emballé par sir David Lean au sommet de sa forme. Génial!!!!!!!!
Il y a des films dont le statut se discute peu, et celui-là en fait partie. Tout le monde a entendu le thème sifflé par les prisonniers, ça fait presque cliché. Et je me suis dit que je vais le revoir, car la dernière fois j’étais trop jeune pour avoir un avis qui tienne la route. C’est classique car ça associe les éléments du cinéma de la grande époque, le spectacle total, une histoire épique et réaliste, un dépaysement total lui aussi, des grands sentiments pas gnan gnan. Le combat que se livrent cet officier anglais, et ce gradé japonais, l’un trop fier qui se fera avoir par sa vanité, et l’autre à l’incompétence effarante, fait que l’on voit deux symboles sur pattes, sec comme un roc. Un déserteur américain va rajouter son grain de sable, et on comprendra son importance bien plus tard, le film est en effet long, mais le film est bon, et l’immersion est totale. C’est bien écrit, référencé, reconstruit, filmé, et Lean a l’intelligence de ne pas s’attarder sur le choc culturel, (trop exotique sûrement à son goût), et préfère l’étude des caractères, et peint une fresque monumentale qui satisfera tout cinéphile exigeant. Une fin pleine de bruit et de fureur, qui termine une dernière partie au suspense bien amené, dirigé, avec une conclusion fatale et tonitruante ! chef-d’œuvre, donc.
Même si il a vieilli, «Le Pont de la rivière Kwai» signé David Lean reste une référence cinématographique tout comme «La grande évasion». Ici, on suit des soldats et officiers britanniques et américains qui sont fait prisonniers dans un camp dominé par chef japonais. Les motivations du japonais: faire construire un pont au dessus de la rivière Kwai. S'ensuit alors une guerre de position: le commandant britannique (joué par Alec Guiness) refuse de prendre part au travail prétextant une infraction à une convention tandis que le chef japonais ne veut pas lâcher son projet. Finalement, le commandant anglais accepte, un retournement de veste qui peut être percu comme une trahison. Puis arrive le faux commandant Shears (joué par William Holden) et là le pont va devenir le centre d'attention de trois puissances: les britanniques et les japonais qui le construisent et les américains qui veulent le faire exploser. Pendant 1h40 on assiste à un film très stratégique puis dans l'heure qui suit, la stratégie est appliquée pour se terminer sur un final de haut niveau. Malgré un petit coup de vieux, le film de David Lean parvient à captiver grâce à son scénario en béton et à l'interprétation de ses acteurs. Un classique.
Ce film de guerre haut en couleur nous plonge dans une aventure riche en rebondissements au milieu de somptueux décors. Nous seulement on a un casting en or avec le charismatique William Holden et l'extraordinaire Alec Guinness qui composent deux visions opposées sur la guerre. L'oeuvre se démarque du simple film de guerre par son message humaniste et son regarde critique sur l'arrogance et la folie des hommes. Le projet est mené par le génial David Lean qui offre une réalisation sans faille et sans compromis. Le tout est agrémenté par une BO mémorable dont l'inoubliable thème principal. Un pur chef d'œuvre du 7 ème art. Indispensable.
Bien que datant de 1957, Le pont de la rivière Kwai est garni de décors et de paysages magnifiques à en couper le souffle et d'images très colorées et subtiles. La marche militaire de ce film est désormais légendaire. Un chef d'oeuvre.
Un classique de guerre qui a pris un sacré coup de vieux, mais qui conserve des acteurs formidables et une mise en scène aussi épique que réaliste. Adapté d'un roman de l'auteur de Pierre Boulle (auteur français, aussi derrière "La Planète Des Singes"), le scénario raconte un régiment de soldats britannique emprisonné dans un camp de prisonniers japonais qui vont être forcés de construire un pont sur la rivière kwai, une intrigue assez molle sur la longueur, mais la critique de la guerre et le final absolument épique et sublime vaut a lui seul de voir ce film. Aussi émouvant que rigoureux, Alec Guinness porte le contraste du scénario avec beaucoup de talent et de flegme typiquement britannique, alors que William Holden reste très secondaire et n'apparait que dans bien peu de scène pour s'imposer face a Guinness. Metteur en scène aux ambitions titanesques, David Lean impose sa vision abrupte mais réaliste dans une mise en scène qui atteint des sommets durant la dernière demi-heure, un final qui condense toutes les qualités du film. Un classique toujours bon, a voir pour d'excellents acteurs et un final de haut niveau.
Cet exceptionnel film de guerre est une adaptation du roman de Pierre Boulle, auteur de "Le Pont de la rivière Kwaï" et "La Planète des singes" (1963), ces deux œuvres ayant eu le succès cinématographique que vous connaissez. Il est également basé sur un certain nombre de faits historiques sans qu'il y ait de liens entre eux. Ceci étant, David Lean, réputé pour son perfectionnisme et son exigence avec les acteurs, a réalisé une véritable prouesse malgré les nombreuses vicissitudes du tournage. Il a fallu construire un véritable pont sur les lieux du tournage qui eut lieu à Ceylan, l'actuel Sri Lanka. Le film remporta sept oscars et sa réussite doit aussi aux acteurs principaux, en premier lieu, Alec Guinness, oscar de la meilleure interprétation pour son rôle du colonel Nicholson, William Holden, la vedette américaine imposée par les producteurs, Jack Hawkins et l'acteur japonais Sessue Hayakawa (colonel Saïto). Il offre un certain réalisme malgré le rôle édulcoré des militaires japonais, qui, selon les témoignages des rescapés de ces camps, étaient de véritables brutes tortionnaires et exécuteurs notoires. L'un des plus grands chefs-d'œuvre du cinéma.
Un film de guerre qui a certes un peu vieilli, 1957 tout de même, mais qui pour son époque était magnifiquement réalisé ; il reste bien sûr très entraînant. Un film de guerre culte avec un bon jeu d'acteur. Qu'est ce que mon père a pu me réveiller avec ce sifflement (qui est imprégné dans le cinéma à jamais) quand j'étais jeune... A voir au moins une fois pour tout cinéphile.
Existe-t-il un film plus antimilitariste ? Le Pont de la rivière Kwai (1957) de David Lean n'est pas seulement l'une des œuvres les plus antibellicistes jamais tournées, mais un violent pamphlet contre la stupidité militaire. En 1943, un régiment de prisonniers britanniques est contraint par les Japonais de construire un pont sur la rivière Kwai, tandis qu'un commando anglais à pour mission de le détruire. L'adaptation cinématographique du roman éponyme de Pierre Boulle est un exemple rare d'un film inspiré d'une œuvre qui se révèle supérieur à l'original. Le scénario est, à juste titre, magnifiquement bien construit. spoiler: Pour les besoins du tournage, un véritable pont en bois fut construit en plein cœur de Ceylan (aujourd'hui Sri Lanka). La composition en harmonie avec les sifflements (les prisonniers faisant la nique aux Japonais de façon très subtile) deviendra aussi célèbre que n'importe quelle autres mélodies au cinéma, des décors naturels sublimes et luxuriants, scènes magnifiques et spectaculaires. Au casting, des grandes pointures : William Holden, Jack Hawkins, James Donald, le brillant Sessue Hayakawa qui joue le colonel Saito et Alec Guinness celui du colonel Nicholson. Ce dernier est un personnage complexe qui commande le régiment de prisonniers et décide de prendre en main la construction du pont exigé par les Japonais. Il le fait d'abord pour occuper ses hommes et maintenir la discipline. Il le fait aussi par orgueil, afin de continuer à exercer son commandement et prouver à l'ennemi la supériorité britannique. Mais, insensiblement, son attitude le conduit à la trahison. Parallèlement, secondé par un soldat américain (Holden) qui à réussi à s'évader du camp et intègrera un commando qui traversera la jungle pour détruire l'édifice. Le film entier devient une parabole sur l'absurde : absurdité de la guerre, de l'esprit militaire, de toute entreprise humaine vouée, tôt ou tard, à la destruction. Une morale que résume parfaitement bien les derniers mots cultes de ce chef d'œuvre : "Folie... Folie... ".
Encore une épopée majestueuse du génial David Lean. Les images sont très belles, les acteurs excellents et le scénario passionnant. Quant à la fin, elle est proprement stupéfiante ! C'est vraiment dommage qu'on ne fasse plus de film de ce genre, avec toute cette imagerie épique des années 50 - 60 qui n'a perduré que jusqu'à la première trilogie "Star Wars" (avec Alec Guinness, bien sûr) ou "Indiana Jones". Un seul petit défaut, peut-être : les nombreux fondus enchainés, peu agréable pour la santé oculaire.