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    Le Pont de la rivière Kwaï
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    162 critiques spectateurs

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    Jérémy J
    Jérémy J

    30 abonnés 653 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 octobre 2017
    Un film passionnant, on reste bien accroché. De très bon acteurs. De très beau décors. la fin est vraiment palpitante. une partie psychologique aussi bien présente
    Ducerceau
    Ducerceau

    14 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 novembre 2022
    Chef d'œuvre du film de guerre et de résistance. À l'égal des "Canons de Navaronne" et du "Jour le plus long". Et qui n'a pas pris une ride malgré son ancienneté.
    Fabien S.
    Fabien S.

    548 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2022
    David Lean nous offre un très bon film de guerre en montrant les rivalités entre les américains et les japonais.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 février 2014
    Grand classique croulant sous les récompenses, The Bridge on the Kwai River offre en effet de nombreuses raisons de l'apprécier : des décors naturels de toute beauté, une ambiance lourde et humide palpable dans la jungle thaïlandaise, où un camp de prisonniers anglais est assigné à la construction d'un pont de chemin de fer. Les personnages aux traits psychologiques marqués (mais pas toujours bien exploités, comme le Major Shears) convergent vers un final épique et original, qui témoigne d'un monde qui ne tourne décidément pas rond. Un film comme on n'en fait plus, parsemé d'expressions anglaises aussi désuètes qu'irrésistibles (en VO, bien entendu), et qui mérite définitivement le détour !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 décembre 2010
    Film culte de David Lean, un classique aux 7 Oscars. Le casting est excellent : William Holden, Alec Guinness et Jack Hawkins. La musique est inoubliable, tourner dans de grands paysages et la psychologie des personnages est bien exploitée. Du grand cinéma.
    Fabios Om
    Fabios Om

    52 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 août 2017
    un très beau et très bon film malgré la durée du film . Évidemment c'était avec plaisir que j'ai découvert de film au 7 Oscar donc obligatoirement il fallait que je le vois . Très belle écriture et façon de réaliser qui pour l'époque avec les moyens techniques n'était pas évidemment . Un bon film d'aventure qui même si à la fin tourne pas mal de temps au tour du peau pour arriver à sa conclusion qu'on attendais . Après beaucoup de discussions mais pour un film d'aventure c'est normal et puis les dialogues son de qualité ce qui n'est pas toujours le cas malheureusement
    Bernard M
    Bernard M

    25 abonnés 461 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mai 2017
    Sir David Lean n'est plus un débutant quand il réalise " Le pont de la rivière Kwaï" et on lui doit déjà quelques films réussis ( Brèves rencontres, une version d'Oliver Twist...)mais " Le pont de la rivière Kwaï" est le premier film qu'on peut qualifier de film " à grand spectacle" d'une fort belle série. Quand le charme opère toujours, quand on est toujours passionné par ce film, même si on l'a vu plusieurs fois cela veut dire qu'il est plus que bon. Il y a déjà de forts belles vues de la jungle, des jeux de lumière avec le soleil, un scénario solide ( même s'il ne respecte pas la fin du roman de Pierre Boulle) où sont confrontés différentes façons de faire la guerre. Le film est enveloppé d'une musique devenue célèbre ( du moins pour la génération de cette époque là).Alec Guiness, acteur à transformations est déjà l'acteur fétiche de David Lean et il donne au colonel Nicholson toute sa rigueur, sa droiture, sa force d'âme. Il est entouré d'autres talentueux comme William Holden ou Sessue Hayakawa ( cinéma japonais): "le pont de la rivière Kwaï": un grand moment de cinéma à voir, à revoir ou à découvrir , sur grand écran de préférence.
    Grouchy
    Grouchy

    123 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2011
    Ce n'est pas un film de guerre comme beaucoup le prétendent. C'est plutôt une imposante reconstitution historique, un incroyable effort de direction artistique et de réalisation. On a offert plus de place aux discutions de chefs d'armées, de refléxions plutôt que de l'action. Donc si vous pensez qu'il y a une bataille sur le Pont, passez votre chemin. David Lean nous raconte l'histoire d'un groupe de prisonniers britanniques guidés par l'excellent Alec Guiness, un des acteurs les plus flegmatiques qui soient. Transformés en esclaves par le chef des armées japonaises, ils refusent d'abord le travail, mais lorsque Guiness résiste à la torture et cède contre de bonnes conditions envers les prisonniers, ils acceptent, et résulte à une paix temporaire entre les Anglais et les Japonais. Un effort réduit à néant par les renforts alliés, qui détruisent le Pont, symbole de la réconciliation de Guiness et du commandant japonais. Un espoir envolé ? Peut-être. Mais le film, construit dans une remarquable mise en scène, si ce n'est pas par le scénario plus implicite que explicite, il l'est par sa forme, ce qui le conduisit à la gloire aux Oscars.
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juin 2023
    Récompensé par sept Oscars en 1958, dont celui du meilleur film, ce long-métrage de David Lean constitue une référence du genre. Inspiré du roman de l’écrivain français Pierre Boulle, l’histoire évoque la tragédie de prisonniers britanniques obligés de construire une ligne de chemin de fer dans la jungle birmane sous les ordres de l’Armée japonaise durant la Seconde Guerre mondiale. Toutefois, à la demande des producteurs hollywoodiens, le scénario s’est trouvé enrichi d’une intrigue parallèle faisant intervenir des soldats américains. Dans ce film de guerre où les combats sont rares, ce sont surtout les personnages principaux (Alec Guinness et William Holden) qui offrent une allégorie contrastée du code de l’honneur militaire. Même si l’on est face à une morale bien-pensante des valeurs du patriotisme, le récit demeure captivant en raison d’une mise en scène de grande ampleur (paysages, figurants, décors, etc.). Bref, un classique qui traverse allégrement les époques.
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    142 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 décembre 2011
    Un brillant film de guerre! Enfin si on peut appeler ce film comme ça... Le pont de la rivière Kwaï aborde la guerre sous un point de vue assez novateur, loin des clichés habituels. A vrai dire il s'agit davantage d'un film sur la guerre et les hommes qui la décident, la font, la commandent...
    Alec Guiness trouve ici sûrement le rôle de sa vie dans son personnage de colonel anglais complètement aveuglé par ses principes militaires de la vieille école. Le film sera basé sur ce personnage ainsi que sur celui de Shears, le major américain sans scrupules, et du colonel Saito, le commandant japonais du camp de prisonniers qui a lui aussi sa ligne de conduite dictée par ses principes et ses pressions hiérarchiques. Le film comporte une grande dimension humaine.

    La mise en scène de Lean est majestueuse, on le sent bien que derrière la caméra il s'agit de l'homme qui va réaliser Lawrence d'Arabie quelques années plus tard. Il n'a pas peur de la démesure sans jamais tomber dans le tape à l'oeil. Le décor est à la hauteur de la mise en scène: grandiose. C'est sûr que Lean s'en est donné les moyens. La photographie a un certain cachet, le technicolor renforce ce côté aventuresque.
    D'un point de vue scénaristique le film est brillant. Non seulement d'approfondir certaines thématiques, le film reste bien calibré. Il n'y a rien de trop, ce qu'on pouvait craindre au départ à la vue des 2h40 qui composent le film. Le pont de la rivière Kwaï arbore également un côté pacifiste assez subtil car sa critique de la guerre n'est pas unilatérale. Lean nous expose des moments de bravoure tout en les mêlant à la folie guerrière.
    Les dialogues sont également très bien écrits, certaines répliques font mouche et la qualité du jeu d'acteur sert bien cela. Outre la superbe prestation de Guiness qui illustre à merveille toute l'ambiguité de son personnage, il y a aussi Holden qui brille.
    En fait Le pont de la rivière Kwaï pourrait se résumer par une équation toute simple: de très bons acteurs un très bon scénario une très bonne mise en scène une très bonne Bo = Un très bon film.

    C'est épique, intelligent, très divertissant, jamais lourd. C'est à la fois du grand cinéma et du spectacle, c'est fin, c'est maîtrisé de bout en bout et ça se conclut par un final tendu et magistral. Un grand moment de cinéma!
    Tiger V.
    Tiger V.

    92 abonnés 1 248 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 mai 2016
    Un vrai chef d'oeuvre ce film. Un des meilleurs films de guerre que j'ai jamais vu. Un scénario bien compensé sur les plus de deux heures de film pour une histoire de prisonniers contrefaisant un pont avec tous les problèmes rencontrés. Un casting qui joue bien leurs rôles. On ne s'ennuie pas du tout. Le film nous conduit à des problèmes différentes comme des désaccords entre des officiers et un général, le sabotage et les problèmes d'environnement. Le film dégage quelque chose qu'il nous empêche de nous ennuyer. Une bonne qualité de réalisation. Le film retrace une belle fierté des soldats construisant le pont. Tout est bien détaillé sur les différents étapes de la construction du pont. Il y a un peu de suspense. Décors et costumes impeccables. Un film de guerre que je vous recommande bien.
    RealPrime
    RealPrime

    84 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 juillet 2018
    Découvert par hazard en programmation télé sur Télé-Loisirs, j’ai décidé d’enregistré. Et j’ai compris que la bande son du film, c’est des sifflements de la patrouille était celle qui était mythique. Ce film ne dénonce la guerre que par l’emprisonnement sans cesse du colonel Nicholson, mais rien d’plus à mes yeux. Quelques voir même, pas mal de longueurs qui finisse par faire accélérer. Mais l’architecture du pond est pour l’époque, assez futuriste et ça m’a plu ça. Et quelques scènes d’action et de tirs aurait été les bienvenue.
    flushroyal
    flushroyal

    32 abonnés 910 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 avril 2011
    Un classique, très bien réalisé par David Lean et adapté du roman du français Pierre Boulle. Le film, malgré qu'il ait été tourné il y a plus de 50ans, a bien vieillit et l'histoire de ces soldats en captivité, leur rapport complexe avec l'ennemi, leurs réflexions sur le sens de l'honneur, du courage dans ces conditions etc est assez passionnante. Comme dans tous les grands films l'interprétation est excellante avec notamment Alec Guiness qui est parfait en officier borné, fier et d'une grande force morale mais dont l'orgueil va en faire malgré lui un collaborateur avec l'ennemi. L'atmosphère des Indes donne un ton particulier au film ( les conditions de tournage ont du être éprouvantes ). Si comme dans tous les grands films d'épôque, il y a quelques longueurs qui peuvent nuire à la narration, l'ensemble se suit avec intérêt, sans manichéisme malgré le sujet. La séquence finale, prenante, est très poignante et réussie. On peut aussi relever l'air de musique sifflé par les soldats devenue mythique et à jamais associé à ce grand film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 février 2011
    rien a redire sur ce film qui n'est rien d'autre qu' une des 7 merveilles du cinéma
    Stephenballade
    Stephenballade

    396 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 janvier 2016
    Une fois n’est pas coutume, la Seconde Guerre Mondiale est abordée en Birmanie, dans un camp de prisonniers tenu par les japonais. L’idée vient du roman éponyme de l’écrivain français Pierre Boulle, mais l’adaptation se démarque de l’œuvre littéraire sur bien des points. Comme souvent dans ces cas-là, il ne s’agit que d’une adaptation, et non d’une retranscription. Il n’empêche que ce film fleuve (il dure quand même 2h35) prend des airs de fresque historique. Effectivement, le scénario s’appuie sur des faits historiques, bien que modifiés pour certains comme le lieu de construction du pont. Mais à y réfléchir d’un peu plus près, il existe quelques incohérences quant aux conditions de détention : le colonel Saïto connait parfaitement la langue anglaise, alors que je l’aurais davantage vu s’adresser aux prisonniers anglais par le biais d’un interprète, ce qui lui aurait permis d’assoir un peu plus sa suprématie et surtout son autorité. En plus, il prend à partie un officier anglais simplement parce que ce dernier a tenté d’invoquer la Convention de Genève, mais le colonel Saïto consent à ce que le colonel Nicholson soit nourri alors qu’il est mis au four pour soi-disant des mesures disciplinaires. Les conditions (sûrement atroces) de détention ont, à mon sens, été ainsi allégées, carrément édulcorées de façon assez naïve. Il n’empêche que David Lean a réussi à cacher ces erreurs grossières par une réalisation très réussie, tout en parvenant à instaurer de la tension. Ainsi nous prenons toute la mesure de l’affrontement que se livrent les deux officiers ennemis, mais c’est lors des instants précédant le dynamitage du pont que la tension va monter à son paroxysme, par le biais d’une bande son qui donne la part belle aux bruits de la faune locale (oiseaux, grenouilles…), mais aussi au clapotis de la rivière, ainsi que le claquement des bottes des sentinelles en ronde sur la plate-forme en bois du pont, le tout sans la moindre note de musique. L’effet rendu est excellent, et c’est ce qui explique sans doute la razzia qui a été faite par ce film aux Oscars avec 7 récompenses (excusez du peu) et pas des moindres : meilleur film (Sam Spiegel), meilleur réalisateur (David Lean), meilleur acteur (Alec Guiness), meilleure photographie, meilleure musique, meilleur montage, et meilleur scénario adapté. Il est vrai que le rendu général du film est particulièrement immersif, ce qui enlève tout obstacle que les 2h35 peuvent dresser. Alec Guiness représente à la perfection la psychologie d’un officier inflexible, sans ne jamais perdre ni la face, ni le raffinement typiquement britannique malgré le contexte, ni cette rigidité nécessaire au grade de colonel. Sessue Hayakawa, malgré les incohérences dont j’ai parlé plus haut, parvient à camper un personnage dur tel qu’on l’attend pour un officier en charge d’un camp de prisonnier, tout en étant pris dans un dilemme dû à un duel psychologique auquel il ne s’attendait pas et auquel il n’était aucunement préparé, ce qui va le pousser malgré lui à ne devenir plus que l’ombre de lui-même et à ne plus rien décider du tout. Quant aux décors, ils sont magnifiques et nous donnent envie de voyager, malgré une technologie en technicolor au sommet de sa qualité, bien que devenue désuète de nos jours. "Le pont de la rivière Kwaï" est un film de guerre atypique, avec très peu de scènes d’action, et très courtes. Atypique parce que le patriotisme est supplanté par la fierté personnelle : ne pas perdre la face, et ça commence par le déplacement des troupes, en colonnes bien rangées, dans une cadence parfaitement maîtrisée, malgré le fait que ce sont des prisonniers de guerre. Et pour couronner le tout, elles bougent sous l’entêtante "Marche du Colonel Bogey", que tout le monde a fredonné à son tour en sifflotant. Tout ceci rend la musique signée Malcolm Arnold inoubliable, bien que quelque part les notes militaires de la fanfare font penser à des thèmes musicaux de cirque. Au final, il est vrai que ce camp de prisonniers est un vrai cirque, car ici rien ne se passe comme dans un camp de prisonnier traditionnel… (quoique je n’ai jamais connu de tels endroits, alors je ne peux guère en juger, mais avec un brin de jugeotte, on imagine aisément…). Comme quoi, même des films sans effets spéciaux (juste un peu de pyrotechnie maîtrisée), et le talent des acteurs, du metteur en scène, du compositeur et du réalisateur peuvent faire toute la différence avec la plupart des films d’aujourd’hui.
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