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FaRem
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2,5
Publiée le 9 janvier 2015
Après deux mauvaises suites, Steve Miner lâche enfin l'affaire et laisse place à Joseph Zito qui arrive enfin à donner un second souffle à la franchise. Ce 4e volet n'a rien d'original puisqu'il reprend une fois de plus le même concept, c'est d'ailleurs dommage de commencer l'histoire à l’hôpital pour encore faire le film au même endroit, mais il a au moins le mérite d'être divertissant ce qui n'était pas le cas des deux précédents avec un bon rythme, des meurtres violents et bien gores, le retour de Tom Savini dans ce secteur n'est surement pas étranger à cela. C'est pas la grande révolution mais c'est déjà pas mal.
Pour ce 4ème volet, les scénaristes à court d'idée reprennent le même concept que les films précédents : de jeunes étudiants lubriques partent virée à Crystal Lake, et se font tailler en pièce par un tueur, Jason (qui a remplacé sa maman depuis le 2ème volet). On touche le fond côté intrigue, car les meurtres de ces jeunes gens servent uniquement de remplissage, les héros du film étant en fait des voisins. A côté, la mise en scène est effroyablement plate. Les tueries, très prévisibles, surviennent toujours avec le même gimmick de montage (un meurtre graphique et brutal en gros plan), et sont aussi intéressantes que les personnages, profondément stupides. Ceux-ci sont interprétés de manière peu inspirée (au mieux) voire hilarante (au pire). Quant à Jason, il tient plus ici du pataud en masque de hockey que du boogeyman redoutable. Ainsi, ce "Final Chapter" ne relève pas le niveau de la saga, et, contrairement à ce que le titre tente de vendre, n'en est pas du tout la conclusion (on n'en est même pas à la moitié de la franchise !).
Réalisé cette fois par Joseph Zito et sorti en 1984, ce "chapitre final" n'est pas mal mais sans plus ! Je dois dire que c'est même, pour l'instant, le moins bon de la franchise (évidemment, aucun film ne pourra dépasser la nullité du neuvième épisode), peut-être à égalité avec le deuxième. Nous suivons cette fois un groupe de six vacanciers qui louent une maison voisine de la famille Jarvis, et bien-sûr à Crystal Lake. Rien de bien nouveau donc, mis à part l'introduction de Tommy Jarvis, personnage phare de la franchise puisqu'il va devenir le célèbre ennemi principal de Jason ! Mais malheureusement, mis à part quelques meurtres beaucoup plus sanglants et violents, et bien, il ne se passe pas grand-chose ! Enfin, là où Steve Miner avait tenté d'être plus original dans le troisième opus, ici le réalisateur se contente de meurtres plus classiques, même pour certains fortement inspirés des précédents opus, ce qui est un peu dommage. L'histoire n'est pas non plus transcendante, jamais vraiment dans un slasher, mais là, encore pire. On assiste en effet presque à un huis clos puisque la majorité du film se déroule un soir, dans la maison dans laquelle tous les jeunes sont regroupés. Entre personnages angoissés par leur performance sexuelle, d'autres frustrés, des petites scènes de danses et un film porno muet, il ne se passe pas grand-chose ! Les apparitions de Jason n'arrivant que trop tard, le film possède ainsi un ventre mou. Du côté des acteurs, nous retiendrons surtout Corey Feldman et Crispin Glover, surtout parce-qu'ils sont en début de carrière. Même si "Vendredi 13 : Chapitre final" est loin d'être extraordinaire, il ravira sans aucun doute les amateurs de slashers !
Le chapitre final des massacres perpétrés par Jason (qui reviendra quand même encore et toujours) est un des "meilleurs" épisode de la franchise. Si le concept est déjà usé jusqu à la moelle: des jeunes gens à la libido exacerbée ont encore l idée saugrenue de louer des maisons autour de Crystal Lake ce qui a le don de rendre le tueur au masque de hockey quelque peu irascible. Cet opus est plus gore que les précédents et bien sympa même s il n y a aucune surprise. A noter aussi la présence sympa de Corey Feldman un des Goonies et Crispin Glover le père de Marty McFly en jeune vierge découvrant les plaisirs charnels.
Autant dire que pour avoir droit au même scénario, à la même ambiance que les précédents, le suspense en moins. + de gore et de sexe pour tenter de pallier aux défauts, mais aussi + d'incohérences et de dialogues raz des paquerettes. Des personnages déséquilibrés dans leurs prestations, et le choix d'un gosse et sa sa frangine comme héros principal ajoute un peu + de médiocrité à ce teenage horror movie vieillissant.
Le Vilain s'en sort plutôt bien dans sa prestation mais sa crédibilité en prend un coup, et par la même occasion la fin à l'emporte pièce.
La chose qui n'est pas finale dans ce chapitre, c'est bien la médiocrité!
quelle dommage, le précédent opus est nettement meilleur.
Ce 4éme épisode (chapitre excusez-moi, c'est vrai que ça a plus de gueule !) d'une série qui en comptera plus du double ne parvient pas à maintenir l'ambiance oppressante des premiers. Les meurtres se déroulent de manière trop distendue, les scènes s'enchaînent sans grand soucis de cohérence. L'intérêt principal de ce vendredi 13 n°4 réside dans le retour aux maquillages de Tom Savini, concepteur original du visage de Jason. Particulièrement réussis, ils marquent le clou du spectacle. Et l'ébauche d'une interrogation : quand elle atteint son paroxysme, la peur peut-elle faire de nous des monstres ? Suite dans le prochain épisode...
Ce 4ème opus relève le niveau par rapport au troisième qui était une merde intersidérale. On retrouve enfin un Jason qui fait de chouettes meurtres et avec une petite intensité mine de rien. Je place ici d'ailleurs un big up au jeté de meuf en slow-motion à travers la fenêtre : c'était super théatral. J'aime beaucoup aussi le fait qu'il se lance dans l'art contemporain en clouant les jeunes par-ci par-là et faisant de belles trainées de sang sur le fond blanc du projecteur. Alors après y'a des lacunes bien sûr et pas des moindres, même si ici le changement de réalisateur fait du bien. Je pense par exemple à ce jeune homme venu chercher sa vengeance contre Jason, ayant tué un de ses proches dans un film précédent. C'était pas con ! Que le chapitre final se termine sur un retournement de situation et que Jason en prenne plein la gueule. Mais non pas du tout, le type il tient jusqu'au bout du film pour crever sans offrir ne serait-ce qu'une petite résistance et au final c'est encore une salope qui n'a rien à voir dans le truc qui se retrouve à s'enfuir. D'ailleurs cette fuite, mon dieu. Tous les 5 mètres, la meuf s'arrêtent à 3 mètres de Jason, qui s'arrête à son tour, et ils se fixent 8 secondes le temps que cette conne trouve un échappatoire. Ensuite, les flics sont débiles c'est pas possibles. Vous allez me faire croire que quand le cadavre de Jason disparait de la morgue en emportant 2 médecins dans sa foulée, on envoie personne sur son ancien territoire histoire de jeter un oeil ? Bah nan, tout le monde s'en branle apparemment. Le twist final est cool sinon, téléphoné mais cool.
Toujours la même chose et ça en devient lassant. Même histoire : une bande de jeunes ne pensant qu'au sexe va passer ses vacances au bord du lac où il y a eu je ne sais pas combien de massacres. Comme d'habitude, pratiquement tout le monde meurt après avoir entendu une branche craquée ou une porte grincé. Le réalisateur a voulu apporter quelque chose en plus à travers l'un des personnage, mais à quoi si c'est pour le faire mourir comme les autres dès que le disjoncteur saute. Bref, on se lasse de la saga car tout est très attendu.
Un chapitre final qui n'en est pas un, bien sur, puisque la saga Vendredi 13 en est aujourd'hui à 13 épisodes. Ce quatrième volet est bien, malgré des dialogues navrant et un scénario répétitif. Mais bon, on ne demande pas ce genre de chose lorsqu'on regarde un slasher. Heureusement, Jason est toujours aussi classe et ses exécutions toujours aussi inventives et violentes, mention spéciale à celui qui passe à travers la double fenêtre. Très spectaculaire!
Passons le moment où Jason ressuscite on ne sait pas comment et on revoit alors le même film que les trois premiers. Des jeunes qui pensent sexe se font trucider un par un. Les meurtres sont originaux. Ce n est pas un grand film mais un des mieux de la série .
Nouveau retour pour Jason Voorhees. Décidément increvable, le psycho killer fait vivre une nouvelle fois le calvaire aux visiteurs peu avertis de Crystal Lake. Et même si l'originalité n'est toujours pas au rendez-vous, ce quatrième épisode est probablement l'un des plus réussi , notamment grâce à l'introduction du personnage du mec qui cherche à se venger de Jason. Dommage qu'il trépasse aussi vite ! Heureusement, la franchise reste amusante...pour le moment !
Après deux premiers volets convaincants, la saga Vendredi 13 a montré un léger essoufflement avec le troisième opus. Mais peu importe, la franchise fonctionne toujours dans les salles obscures et sur le marché de la vidéo. En 1984, Vendredi 13 chapitre Final, soit le quatrième épisode de la saga, voit le jour.
Ce soi-disant "chapitre final" est pour moi un bon volet de la saga qui ne dénature en aucun cas le mythe de Jason Voorhees. Cependant le scénario est banal et n'apporte rien de nouveaux, la recette est exactement la même que dans les volets précédant. le point fort du film reste Jason mais le point faible c'est que les scénaristes l'on fait rentrer en scène uniquement lors des 20 dernière minutes, en faisant cela ils voulaient renouer avec le suspens de "vendredi 13" mais a force de vouloir le copier ce film devient ennuyeux a mourir et de nombreuses scène sentent la niaiserie a plein nez. Coté acteurs le seul qui vaut la peine d'être cité c'est Crispin Glover que l'on retrouvera une année après dans le mythique "retour vers le futur". Ce film est le dernier opus valable, les autres chapitres, hormis le 6, sont a jeter dans une fausse a purin, telle doit être leur place.