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    Portrait de femme
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    35 critiques spectateurs

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    jfharo
    jfharo

    48 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 novembre 2010
    Un peu trop stylistique , mais agréable de par la beauté de sa photo et des très beaux plans ,Malkovitch toujours aussi brillant .
    alliantis
    alliantis

    3 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 septembre 2014
    Images somptueuses et décors magnifiques ,ne suffisent pas à effacer la mauvaise mise en scène , qui rend sans intérêt la vie de cette héroïne égoïste, pleureuse et sans cervelle ! Ce film laisse une impression d'ennui ...dommage.
    Olivier L.
    Olivier L.

    1 abonné 96 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 décembre 2017
    un film élégant mais plat et ennuyeux... et quasiment désespérant , même pour qui a un minimum de psychologie ; sans grand intérêt . Pour ceux qui connaissent suffisamment l'âme humaine , vous perdrez votre temps
    globi C.
    globi C.

    8 abonnés 451 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 mai 2016
    Ca pouvait être bien mais j'ai du mal à voir un rapport entre le personnage joué par Nicole Kidman entre la première partie et la seconde partie. Dans la première partie elle veut vivre libre et tout le monde dit qu'elle est intelligente. spoiler: Puis arrive John Malkovich la gueule enfariné qui la séduit et la manipule comme il veut tout en vivant à ces crochets et elle ne fait que pleurer.
    . Ou bien il manque un épisode ou alors je ne comprends rien aux femmes.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    229 abonnés 1 601 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 août 2014
    Du roman de Henry James, Jane Campion a tiré un film d'une élégance sombre et glacée. Le fond est amer. Ce portrait de femme est un tableau de l'idéalisme déçu. Naïveté, contradictions et malheurs d'une femme qui se rêvait anticonformiste. Le mariage est présenté comme un lien cruel de soumission/domination et fait l'objet de stratégies machiavéliques. Visuellement, le clair-obscur (qui tire franchement sur l'obscur) est superbe. Les dialogues sont subtils et raffinés. Et l'interprétation s'avère très convaincante. Quel casting ! Nicole Kidman a ses moments de grâce, même si elle pleure beaucoup. Mention spéciale pour John Malkovich, parfait dans un rôle cynique. Malgré toutes ses qualités, le film tient cependant le spectateur à distance. Comme si sa perfection classique et sa beauté froide empêchaient l'empathie, anesthésiaient l'émotion.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    946 abonnés 4 866 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 mars 2019
    Jane nous fait ses « liaisons dangereuses » et en plus on a le droit à Malkovich génial comme d’habitude avec son cynisme élégant et si charmeur.
    Le film est superbe dans ses décors et costumes et sa reconstitution.
    Très beau
    Hotinhere
    Hotinhere

    437 abonnés 4 776 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mars 2023
    Adaptation d'un roman de Henry James, un mélodrame élégant mais manquant de souffle émotionnel, en dépit d'un casting prestigieux.
    Philippe C
    Philippe C

    81 abonnés 1 018 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 mars 2023
    Film d'époque, avec jolis décos et une mise en scène soigneuse et appliquée mais dont l'académisme et la lenteur finissent par ennuyer rapidement le spectateur
    Xavier D
    Xavier D

    48 abonnés 1 051 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 octobre 2023
    Ce qui est bien avec les films de Jane Campion, s'est qu'ils vous endorme sans somnifères. Pourtant la reconstitution de l'époque très fidèle, aussi bien dans les décors que les costumes sublimes; et le casting très séduisant dont certains commence juste à s'envoler dont Christian Bale. L'interprétation de Nicole Kidman, est trop dans le larmoyant. Juste le charismatique, John Malkovich qui donne du corps à l'ouvrage. La réalisation est passionnante mais le scénario est trop mielleux, trop de longueurs.
    Fabien S.
    Fabien S.

    472 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2020
    Un très beau film sur le portait d'une femme sublimée par Jane Campion avec Nicole Kidman dans les années 1880.
    fabrice d.
    fabrice d.

    22 abonnés 1 406 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mars 2023
    J. Campion réalise ici une film personnel et intimiste. On est plongé dans l'Angleterre et l'Italie du 19e siècle dans une société bourgeoise. Personne n'a de professions, on vit de ses rentes et on s'ennuie. On peut donc jouer aux jeux de l'amour et c'est au travers de la vie de la jeune Kidman qu'on vit ces aventures. Courtisés par de nombreux prétendants, elle s'abandonne, finalement dans un sens au plus mauvais d'entre eux si j'ose dire. Ce film permet de voir C. Bale et V. Mortensen dans leurs jeunes années, ainsi que Kidman aussi.
    Mélany T
    Mélany T

    29 abonnés 488 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 janvier 2021
    La mise en scène est belle et élégante, Nicole Kidman parfaite, la représentation du désir de l'héroïne passionnante et le récit captivant mais les desseins du personnage sont trop obscures, on ne comprend pas pourquoi elle reste avec l'homme abusif, dommage.
    Barry.L
    Barry.L

    20 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 décembre 2017
    Trois ans après le succès de ''La leçon de piano'' (Palme d'or à Cannes), l'australienne Jane Campion adapte le volumineux roman d'Henry James ''Portrait de femme''.

    L'intrigue se déroule dans les années 1870. Isabel Archer (Nicole Kidman) une jeune femme américaine qui revendique son libre-arbitre reçoit, à la mort de son oncle, une véritable fortune. Courtisée par de nombreux hommes, Isabel décline toutes les propositions. Un jour, lors d'un voyage à Florence, elle rencontre Gilbert Osmond (John Malkovich) qu'elle croit aimer.

    Curieux de voir à quel point le titre du livre d'Henry James est le plus apte à définir l'oeuvre toute entière de Janes Campion. Des portraits de femmes, Jane Campion ne cesse d'en faire, au cinéma comme à la télévision (''Top of the lake''). Ici, elle se penche sur une bien surprenante femme. Cette Isabel Archer a en effet une personnalité paradoxale. C'est une femme libérée qui semble dans un premier temps s'émanciper de cette société victorienne (le début du film se situant en Angleterre) en réfutant toute emprise masculine, qui pourrait s'incarner dans un mariage. Nous sommes donc face à une femme très intelligente et déjà féministe. Pourtant, et c'est l'élément le plus passionnant du film, elle finit par se marier avec un être éminemment malfaisant sans se rendre compte du caractère maléfique d'Osmond. Pourquoi ? Qu'est-ce qui l'a poussée à faire ainsi ? Jane Campion film l'échec de cette femme avec un très grand raffinement, celui qu'on lui connait. Ainsi, on observe avec délectation la beauté des décors, des costumes et les nuances de couleur allant du gris (pour cette Angleterre victorienne et puritaine) au jaune/vert pour Florence et ses jardins). Par moment, Jane Campion flirte avec le style de James Ivory, celui de ''Chambre avec vue'' (1986). Elégance et beauté caractérisent la réalisation toujours très léchée, parfois même un peu trop : il arrive que Campion abuse de mouvements de caméra inutilement alambiqués.

    Tout est donc impeccable. Réalisation, scénario, photographie, acteurs... pourtant comment expliquer le fait qu'on ne soit jamais ému, où, du moins, pas autant qu'on ne devrait l'être. C'est de nouveau à la réalisation de Jane Campion qu'on revient : tout est d'une (trop) grande beauté, ce qui finit par figer l'oeuvre . Cette glaciation caractérise l'oeuvre de Campion même dans les scènes dites ''brûlantes'' (dont ''La leçon de piano'' est le parfait exemple). C'est l'un des travers du film à costume : la belle image peut finir par se retourner contre son sujet en privant le spectateur de toute émotion possible. Ici, l'indifférence opère à moitié. A moitié seulement car le duo d'acteurs vient heureusement contredire l'académisme dans lequel pouvait tomber le film. Malkovich insuffle son élégante perversité à un personnage pourtant bien chargé. Dans sa relation avec Mme Merle, une ''amie'' d'Isabel, il rappelle forcément le Valmont qu'il fut dans le film de Stephen Frears, ''Les liaisons dangereuses'' (1988), le charme en moins. Et puis il y a Nicole Kidman. Même la rigueur glaciale de la mise en scène ne parvient pas à atténuer son éclat flamboyant qui illumine l'ensemble du film. Dès lors, on peut tout-à-fait ne regarder le film que pour l'actrice.

    A force de tout enrober de joliesse et de coquetteries, Jane Campion tue une grande partie de l'émotion. Néanmoins, l'admiration que l'on a pour la direction artistique peut être un motif suffisant pour voir le film. De toute façon, il restera toujours le talent des acteurs principaux pour porter ce nouveau ''Portrait de femme'' de Jane Campion.
    vadorbane93
    vadorbane93

    15 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 décembre 2008
    D'une exquise finesse , superbe.
    Marc G
    Marc G

    4 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 février 2014
    J'adore Jane Campion, même si je n'ai pas vu tout ces films, je m'en doutais avant de voir ce film mais j'en suis persuadé maintenant, j'ai vu il est vrai il y a 2 mois sa remarquable série "Top of the Lake" et son dernier film "Bright Star" (2009) ,que j'ai vu au cinéma , n'est pas si different de ce "Portrait de femme", l'époque et les sentiments y sont assez semblable...

    Oui les sentiments sont comme du miel que les années ont durcis...cela me fait penser au rôle interpreté par Barbara Hershey déchirée par son rôle de rabatteuse, entre la belle (Kidman) et la bête soit le mâle lèché (Malkovich) ...oui le machiavelisme de Malkovich est grinçant , c'est un petit génie de l'amertume, un manipulateur, certaine des meilleurs phrases du film sortent de sa bouche lasse, une bouche telle une cage...qui pèse chaque maux.

    Kidman est à fleur de peau, une beauté dans le sens le plus gracieux du terme qui nous fait regretter un peu du temps de jadis, légereté et poesie émane d'elle , ou plutôt du rôle qu'elle interprete devrais-je dire, elle fait tourner la tête des hommes comme si peu de femmes avaient su le faire avant elle... et la scène d'ouverture du film en est le mirroir... la scène finale aussi assez semblable en apparence , donne cette impression d'une femme qui fuit devant la passion qu'elle suscite, (telle une adolescente sur sa montagne russe) paniquée par cet enivrant vertige de désir et son cortège de prétendants aux coeurs meurtris, mais lors de la toute dernière scène hivernale du film, regardé donc bien sur la neige, durant les dernières secondes, regardé la vraiement...ne réalise-elle pas enfin que plus rien ne sert de fuire...??

    Seule quelque court exercices de style vers le début du film évitent que je m'emporte plus encore dans mon élan chevaleresque...que je me gargarise dans l'eau bénite et que dans un éclat de voie de ténor, je ne crie au génie...toutefois cette oeuvre de Campion peut être qualifiée de "riche" sans que cela puisse scandaliser quelconque assistance des quartiers mal famés (c'est souvent là que les vents de l'histoire tournoient...là ou la pleine lune n'éclaire parfois que l'abandon de l'homme par l'homme) .

    A noté la présence attentionnée de Mary Louise Parker en cousine, Christian Bale en jeune prétendant, Viggo Mortensen en potentiel sauveur , et Martin Donovan en ami d'une mortel franchise ...
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