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Santu2b
252 abonnés
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3,0
Publiée le 18 février 2022
En 1996, Sylvester Stallone s'essaye au film catastrophe avec "Daylight" qui narre le sort d'une dizaine de personnes piégées dans un tunnel. Cette production eut toutefois un succès commercial modeste et symbolisa un passage à vide pour Stallone. L'acteur a pourtant un grand rôle dans l'efficacité du résultat. En effet, le long-métrage aurait pu être un film catastrophe largement banal sans la présence de Stallone. La mise en scène de Rob Cohen ne fait pas d'étincelles tant au niveau de la tension que de l'inventivité. Un film divertissant grâce à son acteur principal.
Archétype du film d'action catastrophe des années 90, une décennie Madeleine de Proust pour ce genre de film! Celui-ci est plutôt pas trop mal conservé par ailleurs, malgré une galerie de personnages absolument caricaturale, même pour l'époque. Du cinéma vintage!
"Daylight" à presque 25 ans. Réaliser au millimètre, porté par un Silverster Stallone au meilleur de sa forme, ce blocbuster ficelé reflète bien son époque. Avec les moyens dont disposés le réalisateur, c'est un spectacle encore remarquable. On pourra juste regretter une photographie un peu terne.
Un très bon film catastrophe qui n'a vieilli. on suit la vie d'un petit groupe de survivants piégés dans un tunnel. Stallone est un secouriste venu tenter de les sauver. Il est très en forme et parfait dans son rôle. Les rebondissements se multiplient et rendent le film palpitant.
3 ans apres "Cliffhanger" Sylvester Stallone remet son costume de sauveur au passe torture. Un film des annees 90 comme on les aimes, qu'on a vu 2 fois par ans sur TF1.
Surfant sur la mode des films catastrophes très prisés dans les années 80/90. Ici il s'agit de l'effondrement d'un tunnel qui oblige les survivants à s'en sortir par leur propre moyen. Sylvester Stallone tien bien sûr le film sur ces épaules , au sens propre et au sens figuré. C'est lui qui va devoir guider la troupe pour les sauver. Un peu classique , premier degré.
Bien qu'étant fan de Sylvester Stallone, je n'ai pas trouvé ce film bon. Pas mauvais non plus, mais pas bon. Le jeu des acteurs est quelconque, la mise en scène est correcte, l'histoire est - par définition pour une production de ce genre - limitée. Le suspens évite à l'ensemble le "pas terrible".
Avec Daylight, Sylvester Stallone tenait de se renouveler un peu dans le cinéma d’action. En effet, il mélange ce genre avec celui du film catastrophe. Ainsi, il ne faut pas rechercher ici de "méchants" car l’action n’a pour unique but que de survivre aux catastrophes naturelles entraînées par l’accident initial. Heureusement, notre Stallone adoré n’écoute que son courage et son désir de rédemption (un thème récurrent chez les personnages incarnés par l’acteur) pour venir en aide aux prisonniers du tunnels et affronter les risques les plus grands qui peuvent arriver dans ce type de situations. Il ne faut donc pas chercher beaucoup de subtilités dans le film de Rob Cohen mais plutôt comprendre dès le départ que nous serons face à des personnages assez caricaturaux, des séquences souvent très exagérées et prônant la bonne conscience américainespoiler: (le chien qu’il faut sauver à tout prix au mépris des risques était une mode dans les blockbusters de cette époque ; la sortie se trouve derrière la croix du Christ…) . Daylight est donc une pure série B qu’il faut regarder comme telle pour y prendre du plaisir car elle réussit tout de même à ne jamais ennuyer et à offrir de nombreux moments spectaculaires.
Daylight, fin 1996, marque la fin d'une époque pour Stallone. Même si les recettes à l'étranger ont été tout à fait satisfaisantes, au box-office US, le film n'a engrangé que 33 millions de dollars de recette pour un budget de 80 millions. Ce sera le début d'une traversée du désert pour "Sly", traversée marquée par des bides critiques et publics parfois immérités pour Copland mais la plupart du temps ils le seront pour Driven ou Get Carter. Daylight en tout cas est un bon film catastrophe tenant en haleine jusqu'à la dernière minute et ça tombe bien car c'est précisément ce que l'on exige de ce genre de films. On échappe pas à certaines scènes ridicules, à un pathos dégoulinant et aux valeurs de l’Amérique une fois de plus mises en valeur : héroïsme, sens du sacrifice, sens de la famille. Quoique assez étrange puisqu'on sauve un chien mais on laisse crever un policier noir tout seul dans son coin. Et une romance conne à la fin impliquant le héros du jour déchu qui se refait une santé (Stallone dont le personnage ressemble un peu à celui qu'il incarnait dans Cliffhanger) et la jolie Amy Brenneman dans un rôle nettement plus physique que dans Heat. Après De Niro, elle accroche Stallone à son tableau de chasse en même pas deux ans, c'est pas mal. En tout cas, les effets spéciaux signés ILM n'ont pas vieilli. La séquence de destruction au début est vraiment impressionnante encore maintenant et fait penser à du Emmerich. Du bon cinéma du dimanche soir à regarder pour voir un Stallone qui n'a pas tout à fait dit son dernier mot.
Un bon film catastrophe réalisé par Rob Cohen. L'histoire se dérouille dans un tunnel ou un groupe de survivants tente de retrouver l'air libre, suite à un accident ou un chauffeur d'une voiture volée a percuté de plein fouet un convoi chargé de produits toxiques. Le scénario est simple avec des stéréotypes. Mais le rythme est soutenue, avec du suspense et quelques moments d'émotions. Sylvester Stallone joue bien le rôle de Kit Latura, un ancien responsable du Samu New-yorkais qui décide d'intervenir pour aider les survivants. Le reste du casting est pas mal : Amy Brenneman, Viggo Mortensen, Dan Hedaya, Jay O. Sanders, Karen Young, Claire Bloom, Vanessa Bell Calloway, Renoly Santiago, Colin Fox, Barry Newman et Stan Shaw.
Immersion garantie ! Le film catastrophe présente généralement l'intérêt d'être captivant du début à la fin, un genre pouvant aussi convenir à ceux qui aiment l'action et le suspense sans violence armée/guerrière..."Daylight" va assez loin dans le spectaculaire, les personnages survivants sont un peu lourds mais le sauveteur incarné par Stallone est rassurant et tient la route. Il s'agit bien là d'un film catastrophe typique-classique : pas le pire...ni le meilleur, "La Tour infernale" et "Titanic" restant sans doute les plus grands chefs-d'oeuvre en la matière...
Un bon petit film catastrophe avec une réalisation efficace, un casting sympa (Sylvester Stalonne impeccable en sauveteur, l'excellent Viggo Mortensen malheureusement trop peu présent, le fiston Sage Stalonne...) et quelques scènes impressionnantes (entre les flammes et les inondations, le spectateur en a pour son argent). Dommage pourtant que le scénario aligne les clichés comme des perles (le sauveteur traumatisé en quête de rédemption, le voyou pas si méchant que ça, la grande gueule forcément punie, la famille en guerre qui va se réconcilier...) et sombre dans le larmoyant facile. Reste un honnête pop-corn movie !
Sylvester Stallone était à l'époque en train d'amorcer, malheureusement pour lui, le début de sa descente aux enfers, sur le plan "succès au box-office" s'entend. Bien dommage pour lui car, dans Daylight, il démontrait encore qu'il en avait sous le capot dans son rôle de sauveur, ici décliné au fond d'un tunnel. Évidemment, ce type de film étant très balisé sur le plan scénaristique, le spectateur s'attend à peu près à chaque phase de l'histoire et à chaque développement de personnage, et l'on comptera surtout sur la mise en scène pour garder quelque chose de mémorable. De ce point, le travail est plutôt bien fait sans crier au génie, le rythme est correct et dans son genre le film tient la route.
1996 était un nouveau cycle de films catastrophes comme Holywood sait faire. Rob Cohen, très bon faiseur s'attèle à cette histoire de tunnel du New Jersey reliant à Manhattan qui explose après que des camions remplis de fûts eut été percutés par des voleurs. Une dizaine de personnes se retrouvent bloquée dans un piège proche de la fournaise. Certes la galerie de personnages peut faire cliché à cela rajouter le chien (symapthiques en même temps), on ne peut échapper à tout ça. Mais la bonne surprise est qu'il n ya pas de temps mort, l'action est efficace, et faut avouer Sylvester Stallone est toujours aussi énergique dans un rôle de sauveteur au grand coeur. Notre héros va se battre contre ce tunnel, ce dernier utilisé comme un véritable personnage du film, presque vivant, Latura ira même jusqu'à parler d'entrailles et de coeur de ce tunnel qui aura emporté bons nombres de vies. Au final, ce film dans le genre très balisé du catastrophe est une réussite passionnante qui fait maintenant parti des classiques à ranger au côté de "La tour infernale", "L'aventure du Poseidon (dont "Daylight s'en inspire grandement -retrouver la lumière du jour- ou même "Le jour d'après"). Spectacle garantie.
Un pur film d'action/catastrophe américain des 90's! J'ai retrouvé l'exacte ambiance que celle je recherchais pour ce soir là à savoir un bon héros bien comme il faut: courageux et humain malgré les difficultés qu'il a rencontré dans sa vie (mais c'était pas de sa faute!) qu'on balance dans une situation extraordinaire qui va lui faire de gros risques pour sauver des gens même si lui doit y passer, comme pour se racheter... . Un Stallone un peu moins bourrin et un peu (beaucoup) plus humain, plutôt bien dans le rôle. Les effets spéciaux, l'explosion notamment sont vraiment impressionnants pour l'époque, ca ne fait pas ridicule aujourd'hui.Scénario et mise en scène classiques pour le genre mais ça bouge, même si beaucoup d'événements sont prévisibles, je me suis laissé prendre au jeu et j'ai passé un bon moment divertissant, j'en demandais pas plus alors je suis satisfait!