Le dessin animé Disney le plus sombre qui m’a été de voir derrière l’image éducative que je me faisais d’eux, pas étonnant venant du célèbre roman français. Les premiers instants annoncent le drame, on se retrouve dans une situation inconfortable, la littérature gothique Hugonienne est pesante, sa démarche nonchalante est un handicap qui attendrît en direction vers cette grande introduction chorale. Ce n’est pas plus mal d’aseptiser le produit en nettoyant avec des rince-doigts chansonnettes adoucies, les paroles deviennent douteusement lugubres au yeux d’un public mâture. Il y a de la modification qui ne me dérange, l’adaptation n’a pas été massacré, les passages suggérés sont durs, des cris sourds tortueux entendus dans la salle de questionnement, le symbole fort du supplice moyen-âge. L’humiliation pitrerie populaire moqueur au milieu des tomates anachroniques balancées sur le bouc émissaire, la couleur est rouge sang. Les créations du trio de gargouilles vivants sont là pour un effet comique des plus rassurants, un plaisir de gaieté relevant l’obscurité, en effet, l’imagination d’un triste solitaire dans son modeste palais catholique. Rien de positif à tirer de ces personnages littéraires, tous maudits selon l’histoire d’origine, la difformité est cette part obscurcit d’humanité, écrit au 19eme et faisant un bond en arrière au 15eme. Victor Hugo, le poète engagé n’était pas tendre envers ses contemporains et nous le fait savoir qu’autrefois, c’était la fête à Toto chez les compatriotes moyenâgeux, envers et contre tous, et surtout envers eux-mêmes. Le jugement bien ancrée issue de la société féodale des rois serviteurs de la religion, façonnant la France superstitieuse qui impressionna ses habitants, des simplets combattants l’esprit malin. Revenons-en à cette animation américaine, je le trouve incroyablement majestueuse pour un chef-d’œuvre indiscutable, malgré toujours l’édulcoration au grand dam des descendants de la famille Hugo qui avait averti. Ce n’est pas un roman à l’eau de rose de l’ancêtre aisé à être adapté, pour un adulte qui comprendrait mieux le romantisme noir, pas de fin heureuse pour tous, il aura même des ingrats volages mais pas un salaud puriste. Leur crainte sera soulagé avec les explications et la vue de ce film monumental sur l’ouverture couvrant Notre Dame. C’est avant tout la politique de la souris boss Mickey, destinés aux enfants qui ne comprendraient la portée humanitaire contre la cruauté dogmatique. Ce que le cinéma américain définit comme étant la discrimination raciale, véhiculée dans ces vielles valeurs philosophiques influentes de cette nation française qui fusse, peut-être vu en faveur de l’égalité, de la justice sociale à l’image de l’autre œuvre connue « les misérables ». Que les hommes peuvent être aussi méchants que le dogme rêvé de la vierge Marie mère tant aimé du jésuite, ne faisant croire aux femmes consciencieuses qu’elles n’ont leurs places paradisiaques, ce ne sont que des maudites sorcières et n’ont besoin d’amour. Plus précisément l’archidiacre de la cathédrale, une fonction au centre de l’intrigue inquisitrice romanesque, le cinéma lui confie la tâche de juge au tribunal religieux, depuis le haut du parquet à poser ses intentions pernicieuses. La distinction du bien et du mal dans ce vilain le ronge, un esprit tordu profondément, la tentation ou pas, il a fait son choix dans la violence de ses convictions maladives. Une version hideuse du sonneur de cloche nous pousse à compatir pour la condition humaine, il est né ainsi handicapé avec sa bonté, une naïveté crue en la figure paternelle malfaisant qu’est l’auto-noirceur totale, finira seul à plongée aveuglement acharné dans les abîmes de l’enfer du feu terrestre, plutôt que le gros bêta deficient physique et mental sans réfléchir dangereusement pour autrui, prudence envers cet être effrayant à l’attitude d’insécurité. L’ancien roi de France n’est présent aux festivités, laissant le soin à l’autre roi des rues du peuple la présentation chaleureuse au bal masqué, la fronde peut commencer à gronder. Le capitaine est un gentilhomme non un coureur, tombé sous le charme d’artiste artifice égyptienne, fila le parfait amour donc plus de conçurent à rivaliser, le héros accepte avec complaisance la morale moderne. Justice rendue à l’injustice provoquée, par son rejet de la différence des damnés violentés tragiquement, l’homme de loi et la foi négative battu sainement au bouquet final. Ce n’est une fleur de lys, fiancé bon parti et mari vagabond omis volontiers chez ce classique Disney incompris mais incontournable, répétons en cœur son soutien aux bannis, droit d’asile à l’église de la Dame !