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Yetcha
Duo Laurence Fishburne et Stephen Baldwin avec en plus Salma Hayek, le film reprend un peu les 2 premières versions (La Caîne de 1958 et L'impossible évasion un téléfilm de 1986). La première moitié est donc assez sympa avec ces prisonniers qui ne peuvent pas s'entendre et son obligés de coopérer. Puis par la suite, ça part un peu dans tous les sens et possède plutôt des relents de téléfilms M6 et nous fait décrocher.
Eric C.
Chasse a l'homme, course poursuite, le tout porte par un duo d'acteurs qui fonctionne moyennement. Se voit sans deplaisir mais on n'en gardera pas un souvenir magnifique non plus. Role insipide pour Salma Hayek qui n'apporte rien a sa filmographie.
Abarai
Polar efficace, "Liens d'acier" fait parti de ce genre de film que l'on regarde sans entrave, facilement, mais qui se fane avec le temps et que l'on finit par oublier.
Yannickcinéphile
Liens d’acier est un petit film d’action qui ne s’en sort ma foi pas trop mal, mais enfin, il ne laisse pas d’impérissables souvenirs. Je commence donc par le casting. Il est assez correct, même si tous les acteurs ne sont pas au même niveau. Le duo Fishburne-Baldwin accroche plutôt bien, même si leurs personnages ne sont pas très enthousiasmants. Hayek a un rôle en carton, et aurait presque pu ne pas exister tant elle est inutile. Coté méchants par contre ce n’est pas terrible. Robert John Burke et Victor Rivers n’ont pas beaucoup de présence, s’avèrent peu charismatiques et traversent le film sans convaincre. C’est dommage. Will Patton me semble être celui qui s’en tire le mieux au final, bien qu’il soit un peu trop « décontracté ». Je passe sur le reste car ca n’a pas beaucoup d’intérêt. Niveau scénario pas une très grande originalité (il s’agit d’un remake en plus), mais enfin ca tient à peu près la route. Je note simplement que le début n’est pas terrible du tout, mais au fur et à mesure l’histoire s’installe, et devient plus intéressante. C’est rythmé, et il n’y a pas vraiment de moment ennuyeux. A noter qu’il y a quand même tout le long du film (surtout au début), quelques scènes un peu ridicules censées détendre l’atmosphère mais qui tombent généralement à plat. Il y a encore des facilités scénaristiques qui peuvent agacer.
Coté mise en scène, ma foi Hooks, en habitué des petites séries B musclées nous livre un travail correct. La photographie est sans intérêt mais pas laide non plus, les décors sont acceptables. Je précise qu’il y a quelques scènes d’action très plaisantent dans ce film, notamment une course poursuite très réussies, et un accident de voiture bien réalisé. Les amoureux des films d’action des années 90 trouveront leur compte de ce coté là, avec aussi quelques gunfights bien sympathiques, même si c’est très classique. Par contre pas besoin d’attendre une bande son qui décape, là-dessus c’est un peu silence radio.
Au final, Liens d’acier ne fait clairement pas le poids face aux mastodontes du cinéma d’action sortis dans les mêmes années. Tout apparait trop moyen, et s’il n’y a pas vraiment un défaut qui pique les yeux, dans l’ensemble il est difficile de relever de même une grosse qualité. Plutôt divertissant, il a le mérite de se concentrer au moins à remplir le cahier des charges qui ait le sien, et ne s’en sort pas mal. Une note moyenne donc.
Coté mise en scène, ma foi Hooks, en habitué des petites séries B musclées nous livre un travail correct. La photographie est sans intérêt mais pas laide non plus, les décors sont acceptables. Je précise qu’il y a quelques scènes d’action très plaisantent dans ce film, notamment une course poursuite très réussies, et un accident de voiture bien réalisé. Les amoureux des films d’action des années 90 trouveront leur compte de ce coté là, avec aussi quelques gunfights bien sympathiques, même si c’est très classique. Par contre pas besoin d’attendre une bande son qui décape, là-dessus c’est un peu silence radio.
Au final, Liens d’acier ne fait clairement pas le poids face aux mastodontes du cinéma d’action sortis dans les mêmes années. Tout apparait trop moyen, et s’il n’y a pas vraiment un défaut qui pique les yeux, dans l’ensemble il est difficile de relever de même une grosse qualité. Plutôt divertissant, il a le mérite de se concentrer au moins à remplir le cahier des charges qui ait le sien, et ne s’en sort pas mal. Une note moyenne donc.
Mauvais. Actions ridicules, courses-poursuites à mourir de rire, aucun message ni de dialogues originaux ou intéressants. Bref, passez votre chemin.
Petit film d'action sympathique sans prétention mais qui tient éveillé. Laurence Fishburne est excellent.
Super sympa! Assez rigolo, gentil, mais j'ai trouvé qu'il manquer un peu d'action. Je lui met un quatre car j'ai bien aimé :)
Un buddy movie somme toute classique mais bien mené et saupoudré d'action, un recette qui marche toujours.
Film d'action qui a certes vieilli mais qui nous apporte toutefois sont lots de cascades et de scenes de fusillades. Un duo d'acteurs qui fonctionne bien, un bon rythme et une histoire simple mais efficace. On a tout pour passer un bon moment...
this is my movies
Liens d'acier a la réputation d'être le buddy movie qui a enterré le genre. C'est vrai. Et il n'est guère agréable d'assister à un enterrement. Réalisé par un artisan fort sympathique (K. Hooks: Passager 57, un film sympa), avec un duo assez alléchant, un pitch tentant, le tout semblait bien parti. Hélas, il n'y a aucune alchimie entre les 2 acteurs, le scénario recycle tout qu'il y a de pire dans le genre sans sourciller, l'histoire est mal menée et la mise en scène veut faire HK (la mode de l'époque) mais sans rien piger à l'essence de ces tics visuels et rendant les scènes de fusillade brouillonne (je ne sais pas si c'est la volonté du réal' ou de la prod' mais je penche pour le 2nd choix). Ni fun ni marrant, un gros nanar coûteux, stupide, mal joué (S. Baldwin est horrible, S. Hayek est perdue, les méchants sont risibles) bref passez votre chemin.
AMCHI
Liens d'acier est le type même de films d'action que je regardais à la pelle dans les années 90, 20 ans plus tard même si le coup de la disquette peut faire sourire, ce film reste encore efficace et divertissant.
Dès le début, l'action s'enchaîne rapidement, on suit 2 taulards qui s'évadent et ils sont enchaînés l'un à l'autre, un noir et un blanc.
On sent l'inspiration qui provient de plusieurs films, le blanc joué par un des frères Baldwin fait souvent des remarques par rapport à des films et il en cite un dans lequel a joué Lawrence Fishburne (qui vous l'avez deviné, incarne le noir). Dans un rôle secondaire, on retrouve avec plaisir la sublime Salma Hayek, il y a aussi Will Patton en solide second rôle.
Ce n'est pas du grand cinéma, ce n'est pas non plus un de ses gros budgets du cinéma américain d'action des années 90 mais ça reste une série B confortable avec de bonnes scènes d'action.
Pas mal d'invraisemblances sur lesquelles on ferme les yeux pour nous divertir sans souci devant ce film sympathique.
Dès le début, l'action s'enchaîne rapidement, on suit 2 taulards qui s'évadent et ils sont enchaînés l'un à l'autre, un noir et un blanc.
On sent l'inspiration qui provient de plusieurs films, le blanc joué par un des frères Baldwin fait souvent des remarques par rapport à des films et il en cite un dans lequel a joué Lawrence Fishburne (qui vous l'avez deviné, incarne le noir). Dans un rôle secondaire, on retrouve avec plaisir la sublime Salma Hayek, il y a aussi Will Patton en solide second rôle.
Ce n'est pas du grand cinéma, ce n'est pas non plus un de ses gros budgets du cinéma américain d'action des années 90 mais ça reste une série B confortable avec de bonnes scènes d'action.
Pas mal d'invraisemblances sur lesquelles on ferme les yeux pour nous divertir sans souci devant ce film sympathique.
Digne des grandes séries B, objectif : rayon dvd.
Buddy movie sans prétention,ou le jeu des acteurs est à la hauteur du scénario, c'est à dire mauvais, le tout ne casse pas de briques et ne parlons même pas du doublage catastrophique.
A eviter sans regrets.
A eviter sans regrets.
🎬 RENGER 📼
Deux prisonniers s’évadent lors d’une sortie extérieure, sauf que dans leur fuite, ils sont enchaînés l’un à l’autre. A leur trousse, les flics du coin et un redoutable parrain cubain…
Énième remake (c’est le 4ᵉ) du célèbre film de Stanley Kramer (La Chaîne - 1958) et réalisé par Kevin Hooks (Passager 57 - 1992). Si comme moi vous aviez adoré le film d’origine, vous risquez fort d’être déçu par cette relecture, car il n’y a plus grand chose en commun, hormis d’avoir deux prisonniers enchaînés, l’un banc et l’autre noir.
Le sous-texte raciste n’existe plus (c’était quand même l'élément principal du film) et pire, cette fois-ci, la traque à laissé place à une vulgaire histoire d’un hacker qui aurait détourné des millions de dollars à un parrain cubain.
Le film a tout du téléfilm, voir du DTV, avec son scénario archi-conventionnel, des dialogues torchés avec le ɔul et des acteurs sans le moindre charisme (et ce, malgré la présence de Laurence Fishburne & Will Patton). Aussitôt vu, aussitôt oublié.
(critique rédigée en 2008, actualisée en 2024)
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Énième remake (c’est le 4ᵉ) du célèbre film de Stanley Kramer (La Chaîne - 1958) et réalisé par Kevin Hooks (Passager 57 - 1992). Si comme moi vous aviez adoré le film d’origine, vous risquez fort d’être déçu par cette relecture, car il n’y a plus grand chose en commun, hormis d’avoir deux prisonniers enchaînés, l’un banc et l’autre noir.
Le sous-texte raciste n’existe plus (c’était quand même l'élément principal du film) et pire, cette fois-ci, la traque à laissé place à une vulgaire histoire d’un hacker qui aurait détourné des millions de dollars à un parrain cubain.
Le film a tout du téléfilm, voir du DTV, avec son scénario archi-conventionnel, des dialogues torchés avec le ɔul et des acteurs sans le moindre charisme (et ce, malgré la présence de Laurence Fishburne & Will Patton). Aussitôt vu, aussitôt oublié.
(critique rédigée en 2008, actualisée en 2024)
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Serie B d'action classique et archi-conventionnelle. Ça s'oublie aussi vite que ça se regarde. Pour un dimanche pluvieux...
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