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Votre avis sur Le Secret de la pyramide ?
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Si elles n’ont pas forcément que laissé de grands souvenirs culturels, il faut quand même rappeler que les années 80 n’ont pas tout raté. Sous l’impulsion de Steven Spielberg, notamment, le cinéma hollywoodien a quand même redonné de grandes lettres de noblesse aux films d’aventures fantastiques dans cette décennie avec de grands classiques et une ribambelle de sympathiques productions pour adultes ou pour ados (Indiana Jones, bien sûr, « A la poursuite du diamant vert », « Les Goonies », « Gremlins », « Retour vers le futur », etc.). Pas le plus connu de tous, ce « Secret de la pyramide » est un divertissement de très haute qualité.
Imaginer les premiers pas de Sherlock Holmes et de John Watson dans un Londres victorien enneigé, esquisser les traits de caractère qui feront d’eux ce qu’ils seront adultes, les mettre face à un mystère évoquant l’Égypte antique, y adjoindre une pointe de fantastique gentiment effrayant et les lancer dans une première aventure rocambolesque était une formidable idée. Le résultat est à la hauteur de ce que savait faire la joyeuse bande à l’époque avec un film mélangeant mystère, aventure et action. Bien ficelé, même si le scénario manque parfois de limpidité (les déductions de Holmes sont quelque peu tirées par les cheveux), on ne s’ennuie pas une minute.
Si les jeunes acteurs manquent parfois de charisme, on est emporté par la richesse du récit et par la belle reconstitution historique des décors qui donnent un cachet supplémentaire à l’entreprise. Étrangement, ce film fut un échec au box-office. Une déception car elle empêcha sûrement un nouvel opus qu’on aurait aimé déguster. Ce n’est pas le film le plus célèbre de cette période mais c’est pourtant une belle réussite avec des effets-spéciaux globalement bien faits. Ah, c’était bien les années 80 au cinoche quand même…
Imaginer les premiers pas de Sherlock Holmes et de John Watson dans un Londres victorien enneigé, esquisser les traits de caractère qui feront d’eux ce qu’ils seront adultes, les mettre face à un mystère évoquant l’Égypte antique, y adjoindre une pointe de fantastique gentiment effrayant et les lancer dans une première aventure rocambolesque était une formidable idée. Le résultat est à la hauteur de ce que savait faire la joyeuse bande à l’époque avec un film mélangeant mystère, aventure et action. Bien ficelé, même si le scénario manque parfois de limpidité (les déductions de Holmes sont quelque peu tirées par les cheveux), on ne s’ennuie pas une minute.
Si les jeunes acteurs manquent parfois de charisme, on est emporté par la richesse du récit et par la belle reconstitution historique des décors qui donnent un cachet supplémentaire à l’entreprise. Étrangement, ce film fut un échec au box-office. Une déception car elle empêcha sûrement un nouvel opus qu’on aurait aimé déguster. Ce n’est pas le film le plus célèbre de cette période mais c’est pourtant une belle réussite avec des effets-spéciaux globalement bien faits. Ah, c’était bien les années 80 au cinoche quand même…
Rien à ajouter au comm. de P.Venkman : "Un sympathique divertissement qui a perdu de sa fraîcheur au fil des années. L'idée de la naissance du mythe, jamais narrée par Conan Doyle, était une bonne idée, mais hélas la réalisation peine à suivre et le scénario manque totalement de profondeur."
j'adore ce film !
Sherlock est mignon ado,non ?
Sherlock est mignon ado,non ?
« The game is afoot ! »
Si l’on excepte la voix soûlante et répétitive du narrateur, on sera assez surpris que ce Secret de la Pyramide/Young Sherlock Holmes n’ait pas connu plus de succès à sa sortie, alors même que les films d’aventures mettant en scènes des adolescents faisaient fureur (The Goonies, Richard Donner, scénario par Chris Colombus, 1985 par exemple). Peut-être est-ce dû au côté trop anglais, trop victorien, trop cérébral ou trop éloigné de la doxa holmesienne ? Quoi qu’il en soit, le film connut un destin particulier puisqu’il servit, à n’en pas douter, d’inspiration à J.K. Rowling : trop d’éléments concordent, qu’il s’agisse de lieux (l’intérieur de l’école qui ressemble beaucoup à Poudlard), du trio d’amis, du surnom Weasel adressé à Watson, du méchant et sot Dudley, du cabinet des curiosités et tant d’autres choses encore.
Interprété par des acteurs et actrices assez peu connu·es et qui le resteront, réalisé assez énergiquement par un Barry Levinson en verve entre Le Meilleur (1984) et Good Morning Vietnam (1987) et scénarisé par un Chris Colombus (par ailleurs futur réalisateur des deux premiers films Harry Potter) qui régnait déjà en maître sur les comédies des années ’80 (Gremlins, Joe Dante, 1984), Le Secret de la Pyramide/Young Sherlock Holmes est bien amené mais manque aussi de cohérence et finit par être prévisible. Il n’a néanmoins pas perdu une ride et reste un chouette film, hommage à l’un des plus grands détectives de tous les temps.
Si l’on excepte la voix soûlante et répétitive du narrateur, on sera assez surpris que ce Secret de la Pyramide/Young Sherlock Holmes n’ait pas connu plus de succès à sa sortie, alors même que les films d’aventures mettant en scènes des adolescents faisaient fureur (The Goonies, Richard Donner, scénario par Chris Colombus, 1985 par exemple). Peut-être est-ce dû au côté trop anglais, trop victorien, trop cérébral ou trop éloigné de la doxa holmesienne ? Quoi qu’il en soit, le film connut un destin particulier puisqu’il servit, à n’en pas douter, d’inspiration à J.K. Rowling : trop d’éléments concordent, qu’il s’agisse de lieux (l’intérieur de l’école qui ressemble beaucoup à Poudlard), du trio d’amis, du surnom Weasel adressé à Watson, du méchant et sot Dudley, du cabinet des curiosités et tant d’autres choses encore.
Interprété par des acteurs et actrices assez peu connu·es et qui le resteront, réalisé assez énergiquement par un Barry Levinson en verve entre Le Meilleur (1984) et Good Morning Vietnam (1987) et scénarisé par un Chris Colombus (par ailleurs futur réalisateur des deux premiers films Harry Potter) qui régnait déjà en maître sur les comédies des années ’80 (Gremlins, Joe Dante, 1984), Le Secret de la Pyramide/Young Sherlock Holmes est bien amené mais manque aussi de cohérence et finit par être prévisible. Il n’a néanmoins pas perdu une ride et reste un chouette film, hommage à l’un des plus grands détectives de tous les temps.
Un film bancal, avec une bonne ambiance, de beaux décors, des acteurs corrects, mais une enquête un peu bâclée et pleine d'incohérences. Même les déductions de Sherlock sont trop invraisemblables.
Un excellent Sherlock Holmes produit pat l'omnipotent Steven Spielberg.
Un film sympathique mais un peu invraisemblable comme finalement le personnage de Sherlock Holmes. Les costumes sont réussis, les acteurs sont convaincants. On a un peu plus de mal à accrocher à l'histoire. Avec un tel titre on s'attendait à autre chose.
L'idée de base était osée, et le film est pour moi largement à la hauteur de l'enjeu ! Un Sherlock Holmes dans ses jeunes années accompagné d'un non moins jeune docteur Watson embarqués dans leur première aventure, une vraie réussite ! Le récit et les effets spéciaux soulignent davantage la force du film, on est à mon sens proche de la BD tout en restant dans un vrai film d'aventure captivant dans lequel je ne me suis pas ennuyé une minute. La genèse du grand détective dans laquelle on découvre certaines de ses "failles", comme pour nous initier à ce que sera LE Sherlock Holmes dans ses enquêtes futures. J'ai beaucoup aimé ce film et je le conseille vivement à celles et ceux qui souhaitent découvrir une histoire originale qui aborde le thème de l'émergence d'un génie de la résolution des plus énigmatiques affaires.
excellent film dommage qu'il n'y ait pas eu de suite
On suit la jeunesse de Watson et surtout de Holmes et que dire à part que c'est génial. Les décors sont extraordinaires et le scénario est en béton, j'ai adoré. 4/5
Que du bonheur. Un classique trop peu connu... A regarder encore et encore. on ne se lasse jamais.
Un film très sympatoch, dont le dialogue pertinent rend les personnages irrestibles et attachants, qui a tout de même pris un sacré coup de vieux. Les effets spéciaux, la musique et la qualité d'image ont acquis des rides repoussantes pour les jeunes, mais mélancoliques et historiques pour ceux qui ont eu la chance de découvrir ce film à sa sortie.
La mise en scène est vraiment le principal atout de ce film, qui malheureusement, en plus des rides, a des reflets grinçants d'une impression prédominante de déjà vu...
La mise en scène est vraiment le principal atout de ce film, qui malheureusement, en plus des rides, a des reflets grinçants d'une impression prédominante de déjà vu...
Le Secret de la pyramide est un film épatant ! Produit par un Steven Spielberg décidément bien inspiré, réalisé de main de maître par Barry Levinson, il retrace la première aventure de Sherlock Holmes et sa rencontre avec le futur docteur Watson. On découvre avec un plaisir sans nuance la naissance du mythe de Conan Doyle. C'est original, inventif, drôle et émouvant : que de demander de plus ? Les jeunes acteurs sont excellents ; ils donnent vie avec talent à des personnages tellement célèbres qu'ils en seraient presque impossibles à interpréter. Les seconds rôles sont tous très bons. Le scénario, signé Chris Columbus, est un savoureux mélange d'action, d'humour et de suspense. Les dialogues sont impeccables. Les effets spéciaux, bien qu'ayant un peu vieillis, font preuve d'une belle imagination. Les décors et les costumes témoignent de la rigueur de la reconstitution historique de l'Angleterre victorienne. La musique est parfaite et entêtante à souhait. Un spectateur averti en vaut deux : attendez donc la fin du générique... En bref, il est élémentaire, mon cher lecteur, de conclure au chef d'œuvre !
Très bon film d’aventures pour les 7 à 77 ans, qui annonce, 15 auparavant, la série des Harry Potter (d’ailleurs, le scénario est de Chris Columbus, scénariste et réalisateur des premiers Potter...) Malgré quelques moments un peu lourds (je pense aux séquences dans la pyramide), l’histoire est très bien ficelée, pleine de surprises et de rebondissements. Ce film est d’ailleurs historiquement important, car il contient le tout premier personnage entièrement fabriqué en 3D, le surprenant chevalier qui sort d’un vitrail. Et puis un conseil : REGARDEZ LE GÉNÉRIQUE DE FIN JUSQU’AU BOUT. Il y a une jolie surprise pour les connaisseurs de l’œuvre de Conan Doyle.
Sherlock Holmes lorsqu'il est jeune, étudiant, c'est une idée sympa. Non inspiré directement de l'?uvre d'Arthur Conan Doyle (qui n'a jamais écrit sur l'enfance du célèbre détective), le réalisateur se permet ce qu'il veut. Mais, pourtant, il reste dans du déjà vu. Des vilains-pas-beau, qui sont en fait une secte et qui tuent des gens. Quelques scènes font penser à Indiana Jones, pour le temple (à Harry Potter aussi, car le petit John Watson, joué par Alan Cox , ressemble étrangement à notre petit Daniel Radcliffe, mais c'est une autre histoire).
Le personnage de Sherlock Holmes est vraiment réussis. Très intelligent, doué dans tous les domaines et, souvent, donne de bonnes répliques. L'intrigue, est au début assez prenante. Mais au fur et à mesure je m'en suis détaché, trop prévisible et trop d'air de déjà vu. Pas mal, mais sans plus.
Le personnage de Sherlock Holmes est vraiment réussis. Très intelligent, doué dans tous les domaines et, souvent, donne de bonnes répliques. L'intrigue, est au début assez prenante. Mais au fur et à mesure je m'en suis détaché, trop prévisible et trop d'air de déjà vu. Pas mal, mais sans plus.
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