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weihnachtsmann
943 abonnés
4 864 critiques
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3,5
Publiée le 21 juin 2020
Il y a un air des disparus de Saint-Agil et en même temps on ne peut s'empêcher d'évoquer les goonies..... pour le côté adolescent trépidant!! Je revois ce film que j'avais vu quand j'étais jeune et je le trouve réussi malgré son incursion dans le fantastique qui rajoute peut-être au côté attractif pour les jeunes. L'enquête est quand même assez flippante quand on y pense. C'est loin d'être enfantin cette histoire de secte et de sacrifices humains. Le jeune enquêteur plonge dans un travers de la psychologie humaine assez glauque mais on apprécie ce charme un peu passé et les dialogues très châtiés.
Le trio formé par Spielberg à la production, Chris Columbus à l'écriture et Barry Levinson à la réalisation apporte une touche d'enfance et de fantaisie à l'univers de Conan Doyle. Un film caractéristique des productions Amblin.
Estampilé eighties, et malgré son échec en salle, Le Secret de la Pyramide fait partie des réussites Amblin, de celle des productions Spielberg qui sortaient à l'époque avec une cadence étonnante. Très soigné, plein de référence au mythe crée par Sir Arthur Conan, le film se regarde comme un (très) bon divertissement auquel on peut juste reprocher son coté appliqué et d'être sur des rails automatiques. Rien ne déborde en effet, mais pas la peine de jouer les rabats-joie, des décors au costumes, des effets spéciaux superbes, et légèrement effrayant en passant par le sympathique trio d'acteurs, sans oublier une touche de noirceur (une société secrète tout de même), Le secret de La Pyramide a les atours du parfait divertissement familial.
Il y a de quoi être nostalgique. Quand je vois que la société de production s'appelle Amblin, c'est que je vais avoir droit à du pur cinéma de divertissement signé Zemeckis, Dante et Spielberg bien sûr. Et là, on a Barry Levinson, le futur réalisateur de Rain Man, qui signe un film d'aventure, très distrayant donc, retraçant la jeunesse de Sherlock Holmes et de son acolyte le futur docteur Watson. Même si ça ne se passe pas en Égypte comme le titre pourrait le laisser supposer mais en plein Londres à l'époque victorienne, c'est une sorte d'Indiana Jones avec la même dose d'énigmes, de rebondissements, de surnaturel et de pièges à déjouer. Écrit par Chris Columbus, scénariste de Gremlins et futur réalisateur de Maman, j'ai raté l'avion et Harry Potter, il y a largement de quoi passer un excellent moment si on aime ce cinéma-là des années 80.
Convaincant ce vieux film de jeune Sherlock ! Je me souviens avoir été très effrayé par ce secret de la pyramide et notamment la scène de sacrifice rappelant celle de The temple of Doom. Les effets spéciaux quoique désuets continuent d'impacter et le fait que le film soit accessible aux plus de 8ans m'étonne car les scènes d'hallucinations notamment rendent ce film bien moins familial qu'il ne le prétend. La popularité se substitue ici à la chronologie car c'est plutôt l'inverse mais ce Young Sherlock Holmes écrit par Columbus rappelle fortement le premier Harry Potter (école, énigme, fantastique, trio d'ami, adulte farfelu). Le rythme, malgré une introduction longuette, est étonnamment soutenu et on passe un bon moment sans s'ennuyer. La BO est également très réussie. Dommage que le rôle féminin soit si limitée dans son rôle de femme-objet à sauver.
Ces aventures du jeune Sherlock Holmes et de son fidèle assistant Watson sont un spectacle familial de grande qualité. Produit par Steven Spielberg ce film est une œuvre assez typique des années 80 et qui nous fait penser à d'autres films de cette période (Indiana Jones ou les goonies).
C'est une heureuse (et rare) rediffusion qui m'a permis de revoir ce classique de mon enfance. Grâce au trio Spielberg-Levinson-Columbus, on se régale devant un parfait film d'aventures pour petits et grands avec un scénario aussi intéressant que divertissant, de superbes décors et des effets spéciaux déjà très élaborés. On trouvera éventuellement nos jeunes acteurs un poil fade, surtout Sherlock, mais l'aventure n'en reste pas moins extrêmement réussie et subjuguante de bout en bout. Ce genre de film manque de nos jours où l'animation a totalement pris le pas sur le réel et l'émotion.
Voici une belle idée que ce sherlock jeune,qui rencontre watson, lestrade... avec à la clé du film la résolution d'énigmes et de meurtres. Les acteurs sont convaincants dans leurs rôles et le scénario recèle de beaucoup de bonnes idées.
Une bonne adaptation de l'esprit de Conan Doyle, avec le jeune Watson qui rencontre Sherlock à l'université. Une première enquête va les unir. Le suspens est bien ficelé et l'idée de la rencontre astucieuse.Un bon film de divertissement.
Plaisante pépite méconnue sortie au milieu des années 80 sous la bannière d’Amblin, « Le Secret de la Pyramide » évoque l’hypothétique rencontre et première enquête de Sherlock Holmes et John Watson alors adolescents, une période qui n’avait d’ailleurs jamais inspiré Conan Doyle. Un scénario original et référencé qui rappelle à certains moments le second Indiana Jones. Réalisé par Barry Levinson, le film tient plutôt encore bien la route, du moins mieux que la distribution des principaux rôles.
J'ai vu un film... bien sympathique et tellement bon enfant... Sherlock Holmes est un personnage emblématique et tellement fascinant que tout ce qui le concerne, de sa jeunesse à sa vieillesse est un régal... Le film est léger, virevoltant et très intéressant.La mise en scène de Barry Levinson est un régal, Les personnages sont très attachants et les dialogues savoureux... On passe un bon moment...
Spielberg surfant sur le succès d’Indiana, il produit un film proche de ce dernier à destination des ados réalisé par Barry Levinson et scénarisé surtout par Chris Columbus… et çà a son importance. Columbus fait ses armes ici avant de réaliser 20 ans plus tard, Harry Potter. Et les similitudes sont nombreuses entre les deux films : les intérieurs de Poudlard et de l’école victorienne présente ici ; l’antipathique blondinet Dudley et Drago ; le méchant, un peu raté ici, mais si proche de Rogue ; le héros dégourdi et génial Potter et Holmes ; le copain fidèle et rondouillard Ron et Watson ; la charmante jeune fille Hermione et Elizabeth ; et la liste est loin d’être exhaustive… Et ce qui a marché dans les années 2000 fonctionne aussi bien dans les 80’s à renforts d’effets spéciaux stupéfiants pour l’époque et toujours efficaces ; surtout concernant la mise en scène des hallucinations. Ce film se concentre sur les jeunes années de Sherlock Holmes et sa rencontre avec Watson, une période jamais traitée par Arthur Conan Doyle. L’homosexualité supposée de Holmes dans la littérature vole en éclat ici ; puisqu’il traite en fil rouge ce qui sera la grande peine de cœur de Holmes et dont il ne se remettra jamais. Fictionnel, mais une histoire que ne renierait certainement l’auteur tant les personnages sont fidèles au roman. Après, il ne faut pas se tromper, le film est bien écrit et tous les signes distinctifs du héros Holmes (couvre-chef, pipe, gabardine,…) apparaitront à point nommé pour une construction du personnage mythique devant les yeux du spectateur. Intéressant aussi, le spectateur est plongé dans le fantastique et en sait plus que le détective ; à Holmes le cheminement de résolution des énigmes. Picaresque avec des rebondissements à foison, on ne s’ennuie pas et offre toujours un spectacle agréable pour les jeunes pousses… Pas trop jeune malgré tout, le hors champ peut faire naitre une peur plus importante que la caméra frontale. On peut regretter malgré tout de même que le film trop hâtif dans son final se révèle un peu avare en impact émotionnel et que la résolution de l’enquête soit bâclée. Un film familial avant tout. Mon blog: tout-un-cinema.blogspot.fr
Ce film appartient à la catégorie restreinte de ceux capables de vous envelopper d'une chaleur réconfortante et de vous ramener en enfance sans vous prendre pour un débile.
Cette sensation de cocooning est toujours merveilleuse. Elle est due à un savoir-faire de la part d'Amblin qui a produit tellement de pépites.
Entre un Harry Potter (dont le scénariste réalisera les 2ères adaptations), un Indiana Jones (Spielberg est d'ailleurs à la production) et un whodunit classique, l'offre est alléchante.
Le résultat final est à la hauteur de cette espérance. J'ai plongé tête baissée dans l'adolescence de Watson et de Holmes, au sein d'un pensionnat anglais de la fin du XIXème siècle.
Les décors sont sublimes, les répliques font mouche, le tout a un air légèrement suranné et les personnages sont forts.
Alors oui, on peut regretter que le repaire des méchants fasse carton pâte et que les personnages féminins soient complètement effacés. Je le reconnais sans difficulté.
Toutefois, je préfère me rappeler de cette histoire prenante et de cette aventure emballante.
Et puis, ce film a marqué l'histoire du cinéma d'une certaine façon : c'est le 1er film à avoir présenté un personnage entièrement en image de synthèses (merci ILM).
Très bon souvenir que ce film d'aventure mâtiné de fantastique destinée à toute la famille... certes quelques effets spéciaux ont un peu vieillis (il s'agit du premier film utilisant les images de synthèses - heureusement à bon escient) mais devant la vitalité et l'originalité de ce spectacle on pardonnera.