Mon compte
    Un Singe en hiver
    Note moyenne
    4,2
    7289 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Un Singe en hiver ?

    221 critiques spectateurs

    5
    90 critiques
    4
    76 critiques
    3
    39 critiques
    2
    8 critiques
    1
    4 critiques
    0
    4 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 septembre 2010
    j ai adoré, c est mon grand pere par alliance qui m a fait connaitre ce classique
    il nous manque ce jean gabin
    yannick R.
    yannick R.

    106 abonnés 966 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 août 2010
    Les acteurs, les dialogues tous cela mélangé donne un résultat plein d'humour et de poésie.
    teofoot29
    teofoot29

    86 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juillet 2010
    Un tel film ne peut que laisser nostalgique, nostalgique d'un Gabin exceptionnel accompagné de ses fameux coups de gueules, nostalgique du duo qu'il forme avec un Belmondo parfait, nostalgique des fabuleux dialogues d'Audiard et de pleins de choses encore... L'histoire est très touchante, je dirai même émouvante d'une amitié rapide d'un jeune homme qui vient chercher sa fille qu'il n'a jamais vu et d'un vieil homme qui pris par la vieillesse goûte à ses derniers élans d'ivresse. La fin en est même philosophiquement explicite. Je finis pour dire que ce film, c'est un des meilleurs films français que j'ai vu. Un très grand chef d'oeuvre à la fois drôle et émouvant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 juin 2010
    Un vieux film qui nous fait voyager sans quitter la Normandie!!
    cbl4
    cbl4

    5 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 février 2024
    Un bon film dans l'ensemble mais trop long et beaucoup de passages inutiles, un peu ennuyant par moment.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 mai 2010
    Impérissable. Selon moi, le chef d'oeuvre qu'il faut avoir vu pour aborder la nature humaine.
    Un des plus grands films français de tous les temps, à voir et revoir.
    L'homme et ses faiblesses, mais aussi l'homme et son génie, servi par Michel Audiard dans sa poésie des mots. Gabin et Belmondo, qui n'ont jamais été aussi vrais, Suzanne Flon, forte présence dans sa retenue. Quelle leçon de vie.
    ygor parizel
    ygor parizel

    241 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 novembre 2012
    Un fabuleux duo de guignol Gabin/Belmondo, c'est impeccable pour un film dont le thème principal est l'alcool (sujet que je j'aime beaucoup au cinéma). C'est souvent drôle et touchant mais Verneuil montre aussi les mauvais côtés de la consommation d'alcool, en plus de tout ça, c'est très beau visuellement avec ses plages à l'entrée de l'hiver, des éclairages froids, vraiment un grand film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 avril 2010
    Blondin adapté par Audiard mis en scéne par Verneuil et joué par Belmondo et Gabin....Tout est dit , non ? Un chef d'oeuvre !!
    darthbebel
    darthbebel

    25 abonnés 636 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2010
    Beau duo d'acteurs, de bonnes scènes de dialogues mémorables!
    NeoLain
    NeoLain

    4 971 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 octobre 2010
    Un singe en hiver, ce film ou Jean Gabin et Belmondo nous démontrent tout un sommet d'aisance au niveau des textes, des prestations et l'histoire de deux personnages ou ils s'échangent tant de souvenirs du passé. Un régal ou la sensation de liberté les inondent et ils nous emportent du début à la fin avec eux. Du grand art en tout point.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 décembre 2009
    un verneuil et un audiard plein de vie pour un chef d oeuvre et un duo gabin bebel plein de truculence
    Akamaru
    Akamaru

    3 096 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2010
    "Un singe en hiver" a le charme intemporel des vieux films sincères et d'une aisance naturelle.La rencontre entre Jean Gabin,emblême populaire français de l'avant-guerre et Jean-Paul Belmondo,son successeur annoncé ressemble à un passage de témoin.Une relation empreinte de respect entre les 2 hommes aussi bien hors plateau qu'à l'écran.L'autre coup d'éclat de Henri Verneuil,c'est l'abord sympathique du sujet de l'alcoolisme.Ici,être plein comme une barrique signifie fraterniser,s'évader dans des rêves ou des souvenirs que la réalité ne peut pas permettre.Les ivrognes sont à la fois décapants et attachants.Il ne faut pas y voir une apologie de l'alcool,ce que n'a pas compris la censure de l'époque.Verneuil rend hommage à un art de vivre et à la communauté côtière normande.Comme espéré,les dialogues de Michel Audiart claquent et les répliques mémorables s'enchaînent.Gabin est d'une fébrilité rare en hôtelier nostalgique de sa période Indochinoise.Belmondo est ce singe égaré,fuyant un amour perdu en Espagne,s'improvisant toréro au milieu des voitures.Les 2 compères déclenchant un feu d'artifice final,apogée d'une nuit de cuite au firmament.Une comédie à nuances,dominés par des acteurs causants comme on n'en fait plus.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 182 abonnés 4 175 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 avril 2024
    « Un singe en hiver » est incontestablement un chef d’œuvre intemporel du cinéma français. Soixante ans après sa sortie, rares sont ceux qui affirment ouvertement et de manière argumentée le contraire, bien obligés de se rendre à l’évidence. Cela n’a pas forcément été le cas lors de la sortie du film à Paris le 11 mai 1962 alors que la Nouvelle Vague poussée par Les Cahiers du Cinéma connaissait sa très courte période de gloire symbolisée par l’excellent « Les 400 coups » (1959) de François Truffaut mais aussi par les très surestimés « A bout de souffle » (1960) de Jean-Luc Godard ou « Jules et Jim » (1962) du même François Truffaut.
    Pour se faire sa place, la petite bande dite des « Jeunes Turcs » est menée par Jacques Rivette, Jean-Luc Godard, François Truffaut, Éric Rohmer, Claude Chabrol, Jacques Doniol-Valcroze et quelques autres qui vont se constituer en comité de salut cinématographique (le comité des dix) afin de réhabiliter certains cinéastes hollywoodiens (Alfred Hitchcock, John Ford, Fritz Lang, Howard Hawks…) qui n’en n’avaient sans doute pas vraiment besoin au vu de leurs prestigieuses carrières mais aussi et surtout pour s’ériger en contempteurs de réalisateurs français (Julien Duvivier, Claude Autant-Lara, Jean Delannoy, René Clément…) étant à leurs yeux coupables d’adaptations qualifiées péjorativement de « qualité française » car dénuées de toute originalité et de tout réalisme, privilégiant le tournage en studio, faisant la part belle aux dialogues et se souciant comme d’une guigne de la réalité sociale du pays. Le subterfuge a longtemps fonctionné, entretenu par la vague libertaire et contestataire qui suivit « Mai 1968 ».
    Mais le temps fait toujours son office, rendant parfois un verdict assez cinglant. Plus personne ne se souvient vraiment ni encore moins n’a visionné les films de la Nouvelle Vague qui désormais pourraient être frappés de la même accusation de ringardise que leurs concepteurs proféraient à l’encontre de ceux qui les précédaient. La plupart des films de ces « auteurs » comme eux-mêmes se nommaient affichent au grand jour leurs faiblesses narratives et esthétiques mais aussi le prisme très bourgeois de leur propos n’évoquant que très rarement les préoccupations du peuple dont ils se revendiquaient. Les plus talentueux d’entre eux comme Truffaut et Chabrol se sont affirmés l’âge mur venu avec des œuvres d’une facture plus classique et même pour Claude Chabrol avec des adaptations de Georges Simenon (« Les fantômes du Chapelier » ou « Betty »), l’un des auteurs phares du cinéma de « papa » de Sieur Gabin. Mieux encore, selon l’adage populaire « il ne faut jamais dire, fontaine, je ne boirai pas de ton eau », Claude de Givray, une des figures emblématiques du mouvement, certes un peu moins connu (scénariste pour François Truffaut et réalisateur de quelques longs métrages) a fini sa carrière comme directeur des fictions sur TF1, participant au lancement de séries comme Navarro ou Julie Lescaut. Comme quoi la révolution peut mener à tout.
    Ne pouvant plus vraiment s’attaquer à la qualité artistique d’« Un singe en hiver » à propos duquel Antoine Blondin lui-même affirmait : « Mon livre a trahi le film », les quelques grincheux restants ont choisi aujourd’hui de prendre pour cible Jean Gabin qui ne ferait pas le poids face au virevoltant Belmondo. Encore une affirmation ne résistant pas à l’analyse. Dans ce film, les deux acteurs sont étroitement liés et la performance de l’un ne vaudrait pas grand-chose si celui qui lui fait face ne renvoyait pas la balle au bon endroit. Il convient de rappeler que Belmondo, il est vrai excellent par l’amplitude des sentiments qu’il imprime à ce faux matador n’arrivant pas à prendre ses responsabilités, a lui aussi connu les revers de la critique quand il est devenu au mitan des années 1970 « Bebel ». Une fin de carrière sans doute moins honorable que celle de son aîné. Henri Verneuil lui aussi très décrié notamment pour la non-visibilité de sa mise en scène, a eu la bonne intuition d’exiger la présence de Belmondo face au monstre sacré. Par exemple Alain Delon qu’il associera juste après à Gabin dans « Mélodie en sous-sol » n’aurait sans doute pas été raccord avec l’univers d’Antoine Blondin qui exigeait plus de bonhomie et un sens de la dérision aiguisé.
    Une fois ces deux-là présents et les premiers violons qu’étaient Suzanne Flon, Paul Frankeur et Noël Roquevert à leurs côtés, le réalisateur devait simplement tout faire pour agrémenter la cuisson à feu doux en y ajoutant les condiments nécessaires. Et ceux-ci ne manquent pas, montrant la grande finesse dont pouvait faire preuve le très modeste et éclectique Henri Verneuil. Par exemple en marquant un changement d’époque par une plaque de rue « Maréchal Pétain » devenant par la magie de la pluie celle du « Général de Gaulle ». Ou encore la manière de filmer l’extraordinaire Suzanne Flon incarnant l’épouse fidèle guettant la venue redoutée du client qui fera retomber son époux enfin assagi à coups de bonbons à la menthe dans ses « démons extra-orientaux » et dont Verneuil encadre les variations d’expression corporelle avec les différentes mesures de la musique très circonstancielle de Michel Magne. Idem pour la scène finale dans le train où le vieil aubergiste se rendant sur la tombe de son défunt père, heureux d’avoir pu une dernière fois emprunter le véhicule imaginaire jusqu’à l’Orient de sa jeunesse raconte ému à une petite fille sa poésie naïve sur les petits singes abandonnés que l’on trouve à la fin de l’hiver sur les rives du Yang-Tsé-Kiang.
    Vu aujourd’hui, on peut sans doute regretter le rôle accessoire que jouent les femmes dans ce film d’hommes mais quand on parle d’alcoolisme notoire, il faut se souvenir qu’à cette époque les femmes n’avaient pas encore ambitionné d’emprunter tous les travers de la gent masculine. Encore un peu de patience et au train où vont les choses dans quelques années viendra sans doute la sortie en VOD d’ « Une G….. en hiver ». « Un singe en hiver » est le reflet de son temps et de l’univers mental d’un écrivain que les Verneuil, Gabin, Audiard, Frankeur et Belmondo eux-mêmes bons vivants n’ont pas eu de mal à habiter. Un alcoolisme qu’Antoine Blondin tente d’habiller d’un panache destiné à oublier pour un temps la grande détresse qui habite le plus souvent ceux qui ont compris que la rude lutte avec dame bouteille est perdue. Le film rend compte aussi de manière un peu idéalisée de la fraternité qui unit les « poivrots » quand l’un des leurs a trop « rempli » la cuve.
    Les dialogues de Michel Audiard fins comme jamais ajoutent la touche de poésie finale à ce film en tous points réussi qui à chaque nouvelle vision livre son petit lot de découvertes mêmes infimes comme ce micro-sourire de Jean Gabin filmé de profil alors qu’il découvre à côté de lui face à une glace ce nouveau client qui est peut-être comme il l’a été dans sa jeunesse enfuie un grand voyageur de l’esprit même si sa destination hispanique et tauromachique ne l’emmène pas aussi loin que sur les rives du fleuve jaune. Soyons certains que dans trente ans et plus encore il se trouvera des milliers de spectateurs pour s’émouvoir devant « Un singe en hiver ». Pas certains qu’il en soit de même pour « Pierrot le fou » ou « Jules et Jim ».
    Serge Riaboukine
    Serge Riaboukine

    49 abonnés 946 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 septembre 2009
    J-P Belmondo, tout droit sortit du cinéma de J-L Godard face à J. Gabin... Une très bonne comédie qui doit beaucoup à ces comédiens !
    Xyrons
    Xyrons

    678 abonnés 3 360 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 septembre 2009
    Un singe en hiver est une excellente comédie dramatique digne de faire partie du cinéma français. Le scénario et les dialogues sont excellents, la mise en scène de Henri Verneuil est irréprochable, les acteurs sont magnifiques dans leurs rôles et je pense notamment à Jean-Paul Belmondo et Jean Gabin. Bref c’est une pure merveille du cinéma français, 14 / 20.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top