AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
2,0
248 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Le Fantome du Bengale ?
5
1 critique
4
3 critiques
3
16 critiques
2
12 critiques
1
7 critiques
0
6 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Film de 96 avec oh surprise Zeta Jones en méchante pas si méchante que ça. Devenu un peu kitsch avec les années, il n'est pas déplaisant. Ça reste un film d'aventure à la Indiana Jones avec un mec en combinaison violette tout le long du film. Il mériterait d'en faire un reboot juste pour voir ce que ça donnerait...
A voir au second degré ... et ça vaut le coup ... c'est drôle, rythmé, Cheap, désuet, parfois ridicule à souhait ...
une pure parodie (volontaire ?) de film d'aventure ...
une pure parodie (volontaire ?) de film d'aventure ...
Très moyen ! Une magnifique scène de départ avec un camion et un pont et après l'histoire est en carton ! Digne d'un téléfilm de l'après midi pour enfants. Pas un grand intérêt et histoire de super héros assez banale avec un côté Indiana Jones
2,3/5
2,3/5
C'est une grosse production qui a utilisé beaucoup de moyens pour réaliser un film plutôt simple et faible, une histoire connue d'avance, la petite histoire d'amour facile, tout se voit et tout se lit. Le film n'est pas intéressant, il est nommé au pire film de l'année. C'est le scénario qui est faible, trop faible.
nu nul. mélange Indiana Jones, Tomb raider et super héros, tout est caricaturé a l'excès, le héros est affreux, le faux Indiana Jones est insupportable, les scènes sont moche et mal foutues comme quand ils traversent un point super fragile avec un gros camion et qu'ils arrivent a passer sans problème, le déguisement du héros est affreux, c'est mal filmé, les scène de cascades et de combats sont très moches. nul nul.
Surfant sur la petite vague des adaptations de vieux comics aux succès relatifs telles Rocketeer et The Shadow, le Fantôme a lui aussi droit à son passage sur grand écran. Ainsi, après une série de comics dans les années 30, un serial la décennie suivante et un dessin animé en 1994 (se déroulant dans un univers futuriste), c'est à travers une adaptation fidèle et plutôt sérieuse que nous allons redécouvrir le personnage créé par Lee Falk dans un long-métrage au budget conséquent réalisé par l'efficace Simon Wincer (D.A.R.Y.L.). Malheureusement le film ne s'avère n'être au final qu'une série B ratée presque digne de passer directement par la case vidéo... En effet, si les décors sont grandiloquents, retranscrivant aussi bien la jungle amazonienne que le New York des années 30, le film souffre d'un côté kitch inéluctablement ringard, la faute au costume de notre héros masqué et au cabotinage de presque l'ensemble du casting, pourtant alléchant. En effet, si Billy Zane campe avec aisance un Kit Walker charmeur, il devient vite ridicule lorsqu'il enfile son costume en collants violets, apparaissant à chaque fois comme un cheveu sur la soupe sans le moindre charisme. À ses côtés, l'excellent Treat Williams cabotinant ici à outrance dans la peau de ce bad guy excentrique terrifiant sur papelard mais exaspérant à l'écran. Ce dernier est accompagné de la sexy et encore méconnu Catherine Zeta-Jones ainsi que de l'habitué James Remar, ici dans l'un de ses pires rôles de seconds couteaux. Seule la jolie Kristy Swanson s'avère convaincante en sidekick de fortune féminin. Pour le reste, nous faisons face à une histoire palpitante, pleine d'action et de moments forts malheureusement mis en scène avec une mollesse sans nom et un rythme peu palpitant. L'absence totale de maîtrise du sujet de Wincer se ressent dès la scène d'introduction (on ne peut plus bâclée) et continue à travers une succession de scènes quasi-télévisuelles où chaque séquence d'action sensément épique sombre très vite dans le banal sans panache... Le réalisateur américain n'arrive donc jamais à rendre ses passages percutants voire mémorables à l'instar de ce final tout droit sorti d'une mauvaise série télé. Plans anecdotiques, affrontements mano a mano ringards où chaque ennemi attend son crochet, dialogues niais et humour de bas étage font donc de ce Fantôme du Bengale un minuscule spectacle tout au plus regardable.
La sortie sur grand écran de l'un des héros de bande dessinée les plus obscurs Le fantôme du Bengale est un mélange approximatif de Tarzan, Batman et Indiana Jones bien que moins amusant que ces séries de films. Ce film raconte l'histoire d'un type en combinaison violette qui vit dans la jungle avec ses amis animaux combattant le crime et les méfaits partout où il le peut. Il a pratiquement coulé sans laisser de trace à sa sortie et on peut comprendre pourquoi mais il est quand même meilleur que certains films de super-héros que je pourrais citer comme Fantastic Four. Le principal problème de ce film est son scénario juvénile. Nous savons qu'il s'agit d'un film pour enfants mais est-il nécessaire d'être aussi simpliste dans tout ce qu'il fait. Les films Indiana Jones étaient destinés aux enfants mais ils ont évité ce piège et c'est une honte que plus d'efforts n'aient pas été faits pour le transformer en quelque chose que les adultes pourraient apprécier également. Au lieu de cela c'est un film léger de bout en bout ou il y a beaucoup d'action et de séquences de poursuite mais peu de réflexion...
Plutôt destiné aux enfants, on y retrouve la légende historique de la mystification de ce héros qui ne vieillit ni ne meurt depuis 4 siècles, puisqu’en fait le rôle se transmet de père en fils depuis 20 générations. Ce précurseur des chevaliers en collants colorés et au masque préservant l’identité se situe entre Tarzan, Diabolik, Fantômas et Batman, et soutenu par ses fidèles compagnons canin et équin Satan et Héros, il lutte contre Drax, le vilain traditionnel de la BD, au milieu des bastons, des intrigues et des actions guns et coups de poing naïves, aux grosses ficelles et aux invraisemblances ingénues,
Cette adaptation cinématographique bien sympathique de ce super-héros de première génération fera bien plaisir à ceux qui lisaient étant gamin les comics de mauvaise qualité du célèbre Phantom blanc du Bengalla, contrée africaine imaginaire, ou de Mandrake le Magicien, son ami et autre création du même auteur, depuis, hou, 70 ou 80 ans non ?
Cette adaptation cinématographique bien sympathique de ce super-héros de première génération fera bien plaisir à ceux qui lisaient étant gamin les comics de mauvaise qualité du célèbre Phantom blanc du Bengalla, contrée africaine imaginaire, ou de Mandrake le Magicien, son ami et autre création du même auteur, depuis, hou, 70 ou 80 ans non ?
Bon film d'aventures qui retranscrit bien le héros de l'époque. On passe un bon moment sans trop se prendre la tête.
A prendre au 4e degré ! L'esprit "comic" fait tout le charme de ce film qui mêle aventures façon Indiana Jones et super-héros-qui-poursuit-les-méchants-et-répare-les-injustices, genre Batman sauf qu'il se balade en combinaison latex mauve (dans la jungle, c'est pas très discret mais il assure). Ah, voir Billy Zane dans sa très seyante combinaison sauter, plonger, piloter, tout ça avec le sourire... En plus, son cheval galope plus vite qu'un hydravion, son loup traverse une rivière sans se mouiller un poil, les méchants sont de vrais abrutis, comme il se doit - mention spéciale à Treat Williams qui a des répliques excellentes - les filles sont toujours impeccablement coiffées et n'ont jamais la moindre trace de sueur sur leurs jolis chemisiers, bref, tout les ingrédients de la super aventure sont réunis : du suspens, de l'action, de l'amoôôur et tout et tout. A voir avec les enfants ou pour la rigolade.
Vilipendé à sa sortie, encore aujourd’hui largement dénigré, ce « Fantôme du Bengale » est pourtant un objet plutôt sympathique. Ayant l’avantage de ne pas se prendre au sérieux comme la majorité de nos super héros, le personnage, même s’il est assurément très kitsch avec son costume moulant violet, s’inscrit parfaitement dans la lignée de ses illustres prédécesseurs à l’écran. Il faut certes lorgner plus vers le Batman de la série des années 60 que celle de Tim Burton, mais cette vision est bien largement supérieure aux Batman (restons sur cette comparaison qui vaut ce qu’elle vaut) réalisés dans les années 90.
Loin des personnages sombres et tourmentés, le Fantôme a l’humeur bien plus légère, entrainant une adaptation s’apparentant davantage à une atmosphère un peu Walt Disney. Cela se veut divertissant et ça l’est vraiment, c’est très caricatural et binaire, mais beaucoup d’éléments fonctionnent. La reconstitution historique, déjà, est vraiment réussie. Les acteurs sont dans le coup (même si le costume n’avantage pas Billy Zane). Les paysages, somptueux, assurent en eux-mêmes le côté aventure du film. Si de nombreux décors sont en carton-pâte, on retrouve l’ambiance 80-90 où se nichent des trésors. On note quelques traits d’humour agréables. Et les péripéties ne manquent pas.
Alors certes, on peut crier au nanar : Billy Zane dans sa tenue violette sur son cheval blanc, un final plutôt grotesque, certains effets spéciaux discutables, des passages too much (la descente par le câble de l’ascenseur à l’aide de deux pistolets collés l’un à l’autre, par exemple), des combats pas vraiment réalistes, mais l’objectif est ailleurs. C’est un divertissement pur et dur qui ne se prend jamais au sérieux, qui aime jouer la carte du second degré mais qui sait aussi assurer des scènes de qualité (l’ouverture qui peut évoquer Indiana Jones est vraiment réussie). Assurément sympathique et distrayant.
Loin des personnages sombres et tourmentés, le Fantôme a l’humeur bien plus légère, entrainant une adaptation s’apparentant davantage à une atmosphère un peu Walt Disney. Cela se veut divertissant et ça l’est vraiment, c’est très caricatural et binaire, mais beaucoup d’éléments fonctionnent. La reconstitution historique, déjà, est vraiment réussie. Les acteurs sont dans le coup (même si le costume n’avantage pas Billy Zane). Les paysages, somptueux, assurent en eux-mêmes le côté aventure du film. Si de nombreux décors sont en carton-pâte, on retrouve l’ambiance 80-90 où se nichent des trésors. On note quelques traits d’humour agréables. Et les péripéties ne manquent pas.
Alors certes, on peut crier au nanar : Billy Zane dans sa tenue violette sur son cheval blanc, un final plutôt grotesque, certains effets spéciaux discutables, des passages too much (la descente par le câble de l’ascenseur à l’aide de deux pistolets collés l’un à l’autre, par exemple), des combats pas vraiment réalistes, mais l’objectif est ailleurs. C’est un divertissement pur et dur qui ne se prend jamais au sérieux, qui aime jouer la carte du second degré mais qui sait aussi assurer des scènes de qualité (l’ouverture qui peut évoquer Indiana Jones est vraiment réussie). Assurément sympathique et distrayant.
Adapter une BD n'est pas facile. Soit on s'en éloigne, on fait du vrai cinéma pour retrouver l'esprit sans la forme. C'est le cas des Spiderman par exemple. Soit on fait une reconstitution fidèle,. C'est le cas ici, et ça ne fonctionne pas. Le fantôme est ridicule avec sa combi violette et son masque maquillé, les dialogues et les attitudes sont outrancier s, le scénario digne des "scoubidoos". Il ne manque que les "splash" et les "bang" lors des bagarres. À part ça reconstitution kitch mais plaisante des années 30-40, avec de magnifiques voitures rutilantes (j'ai l'impression que ce sont toujours les mêmes qui passent dans les scènes de rue).
Bon jeu dacteurs belle scénes pour lépoque et bon scénario.jhésite a mettre 3 ou 3,5 .je mais plutôt 3,5 de justesse.
The Lone Ranger 1933 ->Spin off green hornet
Le Fantôme du Bengale 1936 ->Batman 1939->Green Arrow 1941
Le film date de 1996 regardez les films de Batman de l 'époque (batman avec cloney) le sur jeux y ai pareil.
Les adaptations de comics sont plus simple pour le ciné car 70% du travail est fait.
Après il vrai que ce film ne casse pas 2 pattes à un canard mais pour ce vidé la tête y a pas mieux
Le Fantôme du Bengale 1936 ->Batman 1939->Green Arrow 1941
Le film date de 1996 regardez les films de Batman de l 'époque (batman avec cloney) le sur jeux y ai pareil.
Les adaptations de comics sont plus simple pour le ciné car 70% du travail est fait.
Après il vrai que ce film ne casse pas 2 pattes à un canard mais pour ce vidé la tête y a pas mieux
Une très bonne adaptation d'un matériau d'origine qui a vielli Le fantôme est un comics de 1936. Les auteurs n'ont pas chercher à l'assombrir en lui donnant un côté "edgy" non cela reste une histoire simple est divertissante, avec un zeste de second degré et d'humour. Quand on y réfléchit ce n'est pas moins réaliste qu'un Batman, sauf que comme tout les comics de l'âge d'or, le côté héros sans peur et sans reproches peut sembler ridicule à certains. Ironiquement, ces oeuvres sont le produit d'un monde bien plus dur que le notre ou avoir des valeurs, chercher le bien était un divertissement porteur d'espoir; Dans notre société bien plus confortable, le choix est inverse un héros nihiliste ou un antihéros propageant le chaos plaisent bien plus. Les générations précédentes rêvaient de vie et de paix, ce dernier demi-siècle nous en a suffisamment rapproché pour que cela soit source d'ennui, pire que la mort aux yeux de ceux qui n'ont jamais côtoyé celle-ci. A part pour cette raison philosophique, je ne vois pas ce que l'on peut reprocher à ce film, à l'action bien filmée, bien joué, au décors fouillés et à la musique sympathique. A la rigueur 2-3 effets en image de synthèse ont un peu vieilli, mais ce n'est rien comparé aux derniers Marvel dans 20 ans, où les effets derniers cris d'aujourd'hui serait vus comme immondes par rapport à ceux que nous aurons dans quelques décennies.
Pas un film révolutionnaire, mais un divertissement supérieur à pas mal de films de super-héros de son époque et à un paquet de ceux d'aujourd'hui selon moi, car l'avantage d'une histoire qui assume sont côté ringard par une vrai autodérision bien amenée vieillira bien mieux qu'une œuvre qui cherche à être à la mode en crachant sur ses origines...
Pas un film révolutionnaire, mais un divertissement supérieur à pas mal de films de super-héros de son époque et à un paquet de ceux d'aujourd'hui selon moi, car l'avantage d'une histoire qui assume sont côté ringard par une vrai autodérision bien amenée vieillira bien mieux qu'une œuvre qui cherche à être à la mode en crachant sur ses origines...
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse