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    Deep End
    Note moyenne
    3,9
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    Votre avis sur Deep End ?

    99 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 16 juillet 2011
    Pas du tout convaincu . Cette histoire d' amour contrarié souffre de bons nombres d' imperfections . Le film traine en longueurs et étire jusqu' à n' en plus finir une histoire assez simpliste . Le film dure 1h30 on a l' impression d' être rester assis pendant 2 bonnes heures . La photographie délavée et bien fade accompagne une mise en scène datée et sans saveur . On a parfois l' impression de se trouver en face d'une de ces pales série allemandes qui passent sur france 2 en début d' après midi . La psychologie des personnages est très mauvaise avec en plus un côté " sixties space " qui les rend encore moins crédible . Certaines de leur attitudes sont totalement improbable . Particulièrement le garçon qui est totalemnet niais , à la limite de la débilité . En revanche la musique de Cat Steven est plutôt bonne mais elle ne convient pas au film. Un film qui a bien mal vieilli et qu' il faudrait reprendre du début à la fin .
    Patrice R
    Patrice R

    26 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 juillet 2011
    une affiche, le "swinging london", un film "mythique" chouette ! ... mais au final, un scnénario simplet, des lieux glauques, un acteur fade, une réalisation sans originalité ... Mille fois merci Jane Asher !
    vidalger
    vidalger

    328 abonnés 1 255 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 octobre 2013
    Jerzy Skolimowski n'est pas un génie du cinéma et sa filmographie, le prouve encore récemment (cf le dernier et piètre Essential killing). Était-il vraiment nécessaire de ressortir ce mythique Deep end au risque de déboulonner la statue que certains veulent ériger? Je n'ai vu qu'un film sur les amours adolescentes, particulièrement daté dans un Londres aujourd'hui nostalgique, une belle et rousse Jane Asher dont le jeu trouble est un des seuls charmes de ce film, un adolescent niaiseux en la personne de John Moulder-Brown plus vrai que nature, un décor glauque et une technique cinématographique plutôt datée et simplette. Le dénouement mélodramatique nous confirme la faiblesse d'un scénario que n'aurait pas renié le commissaire Bourrel ou l'inspecteur Derrick.
    tixou0
    tixou0

    713 abonnés 2 004 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 juillet 2011
    Vue en avant-première, cette reprise de "Deep End" ne m'a que modérément séduite. Si les beaux cadrages et le travail sur la couleur et l'eau sont à retenir au crédit de ce mythique film de Skolimowski que je découvrai, l'ensemble de cette variation fantasmatique sur les émois amoureux d'un adolescent ("Mike", joué par l'ancien enfant-star John Moulder-Brown, blondinet assez fade vu plus tard dans le viscontinien "Crépuscule des Dieux") aux abords de la piscine des bains publics de l'East End où il travaille et rencontre "Susan" (Jane Asher, pétillante rousse, surtout connue pour sa liaison de jeunesse avec Paul McCartney) m'a paru plutôt daté (même si c'est une partie du charme de la réalisation que d'être précisément emblématique de la fin des "sixties", moment de son tournage).
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 juillet 2011
    Très joli film sur l'ambiguïté de l'adolescence. C'est l'âge où l'on pense le plus au sexe mais aussi celui où l'on aime le plus la poésie.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 juillet 2011
    Deep End est un film qui nous plonge dans l'univers de l'adolescence confrontée à la découverte de la sexualité. Si aujourd'hui, les stéréotypes donnent aux adolescents l'image de pré-adultes obsédés par ce sujet qu'ils découvrent, dans ce film, au contraire, le protagoniste montre l'image d'un ado timide sexuellement sur qui les femmes, en particulier d'âge mûr, sont tentées par ce "gamin". Mais face à cette timidité, le jeune homme fantasme quand même sur une femme plus âgée que lui. Ce désir devient trop obsédant au point que sa jalousie l'entraîne à des réactions folles. Mis à part cela, le réalisateur polonais nous plonge dans une ambiance troublante mais non dénuée d'humour, et érotico-sensuelle dont Jane Asher en est en grande partie responsable par sa beauté, son charme et son jeu jusqu'à peut-être faire de l'ombre à l'acteur principal (surtout à l'époque de la sortie du film, sur le plan médiatique) ...
    La_Mort_Dans_L_Oeil
    La_Mort_Dans_L_Oeil

    31 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 avril 2011
    Un jeune homme ingénu de 15 ans trouve un emploi dans un établissement de bains publics. Les hommes d'un côté, les femmes de l'autre. Évidemment, cet univers clairement délimité en façade va rapidement se révéler plus poreux, plus trouble... interversion de section... les portes des cabines ne voilent pas que la pudeur des clients... murs verts repeints en rouge... découverte des coulisses du désir, des clientes qui laissent de bons pourboire en échange de quelques minutes de rêveries en compagnie d'un jeune puceau amateur de football... Mais Mike est attiré par son sulfureux binôme : Sue, rousse typique du swinging London, plus âgée que lui, avec un fiancé officiel, et de nombreux amants. Fantasme adolescent insaisissable, érotique, diablement fiévreux, qu'il va fatalement poursuivre dépassant la mesure, interférant dans ses relations. Déambulation vertigineuse dans Soho au son de Can. Un film rare
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 novembre 2008
    Deep End, réalisé par le cinéaste polonais Jerzy Skolimowski pendant sa période britannique, est un film mythique. C'est un des plus beaux films jamais réalisés sur l'adolescence et ce qu'elle charrie d'obsession et de fantasme.

    Dans un quartier populaire de Londres, Mike, 15 ans, est engagé comme garçon de bain dans des bains publics ; il va développer une fixation amoureuse sur sa collègue, une jeune femme un peu plus âgée que lui.

    Deep End est d'abord un grand film d'ambiance, qui recrée de manière originale l'atmosphère des années 60, dans une vision troublante, à la fois étouffante et glauque, en tous cas extrêmement saisissante. C'est la grande réussite de Skolimowski, servi en cela par la BO de Cat Stevens, qui enregistra spécialement une version de 'But I might die tonight' ; pour qualifier le film, 'immersif', comme on dit des jeux vidéo, est plus juste que 'captivant' : la trame dramatique est légère, et pourtant tout cela se termine bien trop tôt.

    Il y a quelque chose de haletant dans la poursuite de son obsession par Mike, d'oppressant aussi. Le spectateur n'échappe pas à une sensation très particulière d'enfermement ; la tonalité générale est sombre, mais le film n'est pas dénué de moments d'humour et de légèreté, une ambivalence parfaitement rendue par l'interprétation nuancée des deux acteurs principaux. La passion un rien dérangée du garçon pour sa collègue est en outre servie par une caméra subtile, élégante tout en étant discrète, un symbolisme puissant enfin (les riches métaphores aquatiques du fantasme).

    Pour finir, quand j'ai vu Deep End pour la première fois il y a plus de six ans, je l'ai trouvé bouleversant. Skolimowski a signé là un film d'une grande richesse, son plus grand peut-être, en tous cas une oeuvre magnifique. Un film dont le mythe est renforcé par le fait qu'on ne le trouve nulle part ; jamais réédité en DVD, il faut se jeter sur de vieilles VHS, ou se précipiter au ciné-club dès qu'il passe. Un film trop rare.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 janvier 2008
    Plus grand chose à dire après la première critique, alors je vais paraphraser : )). J'avais vu ce film un vendredi soir très tard, lors du ciné club présenté par Claude Jean-Philippe, à une époque où le service public remplissait encore ce que je considère comme son rôle en matière de cinéma : prendre des risques et nous faire découvrir des oeuvres originales parfois méconnues. J'ai adoré ce film, son ambiance très 60's, sa photographie très singulière, son interprétation, bref, tout. Et une oeuvre qui vous laisse un souvenir ému quinze ans après mérite bien 4 étoiles, non?
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