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    Deep End
    Note moyenne
    3,9
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    99 critiques spectateurs

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    jfharo
    jfharo

    57 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 septembre 2011
    Une ambiance singulière et très attachante , sur de belles images notamment la scène finale carrément sublime !.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 août 2011
    Un film à la musique extraordinaire (can notamment), à l'atmosphère incroyable et envoûtante d'une grande sensualité. Le trouble naissant de ce très jeune adolescent est très bien appréhendé. Le réalisateur transforme ces bains miteux de l'east-end en un lieu d'un très grand érotisme, un lieu propice à l'éveil des sens jusquà une dévorante passion. La scène finale est d'une esthétique forte, baroque, démentielle. Nos réalisateurs actuels feraient bien de s'inspirer de ce film ! Courez-y sans hésiter ! Presque un chef d'oeuvre !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 août 2011
    Comparé a priori au Blow Up d'Antonioni (1966), du moins dans le peu de presse que j'ai eu l'occasion de lire sur ce film, ce Deep End de Jerzy Skolimowski brasse de manière beaucoup plus large et visiblement plus intéressante les thèmes propres aux 60s (avec quelques échos aux débuts des 70s). Le dynamisme inhérent à la jeunesse de l'époque, éprise de liberté et d'indépendance, se traduit, comme dans Blow Up (et plus largement les films d'Antonioni) ou Model Shop de Jacques Demy (1969), par le scénario et le montage, avec ces personnages qui ont beaucoup de mal à tenir en place, mais aussi par la musique (là où Antonioni concluait par un "meurtre" du son). Skolimoswki tend à se rapprocher techniquement plus du (ou des ?) film(s) de Demy que du Blow Up tant encensé, de par son utilisation significative des couleurs (notamment le rouge dans les décors, mais aussi le jaune et le bleu dans les vêtements [sans oublier le vert de la caissière qui se fond littéralement dans son décor], etc.) et son jeu sur les lumières et sur les cadrages, ces derniers débouchant sur une composition quasi-expérimentale de la part de Skolimowski, avec un sens de l'insert qui n'est pas sans rappeler, lors du passage final à l'acte sexuel, la scène du repas bourgeois au début d'Il était une fois la révolution de Sergio Leone (1971), pour ne citer que l'exemple le plus marquant et le plus significatif quant au retour à l'état animal primitif de l'être humain succombant aux pulsions les plus basses. Le rapport établi à l'eau, liquide ou solide, semble aussi et par ailleurs (à la fois indépendant et indissociable) très représentatif de cette problématique qui semble liée à l'époque. Au niveau du scénario, une influence très marquée du free cinema néoréaliste (s'éloignant par là-même de la complaisance bourgeoise de la Nouvelle Vague française en filmant des jeunes issus de la classe moyenne), avec vraisemblablement un héritage d'une certain tendance du cinéma expérimental prétexte à des envolées métaphoriques, pour ne pas dire lyriques. Un film incontournable vraisemblablement trop méconnu, nous pouvons être très reconnaissants aux distributeurs qui nous permettent de le redécouvrir et ainsi de ne pas stagner sur Blow Up.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 septembre 2011
    Un film qui a parfaitement vieilli, passionnant du début à la fin, et aussi d'une rare beauté formelle! Bravo aux salles de cinéma qui le projettent!
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 24 août 2011
    Beau, juste, mais ennuyant...
    Ce que disent les critiques est vrai. Ils ont juste oublié de dire que c'était ennuyant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 août 2011
    Je suis tombé par hasard sur ce film en faisant une recherche, j'ai ensuite vu qu'il était rediffusé au cinéma donc je me suis laissé tenté et finalement c'est une très bonne découverte.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 août 2011
    film remarquable et bien dans son époque même si le scénario le olace dans les années 1960. Le caractère psychédelique so british ressort bien les beatles ne sont pas loin. L'éveil amoureux d'un jeune adolescent qui fait plus que son age par et pour la belle Susan est parfaitement mener. Les diverses scenettes qui agrémentent la narration sont excellentes. film à ne pas rater
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 août 2011
    Un tres bon film, tragique et extremement bien joué. La fin est bluffante.
    djmv33
    djmv33

    4 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 août 2011
    Une reprise qui date mais dont le thème des premiers amours est transcris par ce réalisateur très particulier. Du coup un film mis en scène de manière atypique mais fort agréable.
    pitch22
    pitch22

    172 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 août 2011
    L'affiche du film de cette reprise trompe le spectateur qui s'attendait à ce qu'une sensualité amoureuse y apparaisse comme élément central: peine perdue et arnaque première, on nage dans le désir inassouvi. Un timide adolescent de quinze ans, Mike, d'une belle fraîcheur juvénile, vient se mettre au service d'un centre de bains au style défraîchi, avec piscine et couloir de cabines bain-douche locatives ; il s'y trouve coaché par une belle jeune rouquine, Jane, qui révèle, derrière une froideur apparente, un caractère facétieux de femme-enfant à l'esprit indépendant. La nouvelle activité de la jeune recrue donne lieu à quelques scènes marrantes, non seulement parce que le garçon s'avère plutôt gauche et brouillon, mais aussi parce que sa timidité de puceau effarouché l'empêche de se dépêtrer de ces clientes matures (dont une grosse nympho givrée), qui usent de stratagèmes pour se sentir encore désirables. John Moulder-Brown joue ce qu'il est, un ado encore immature, et il n'a fait aucune carrière dans le cinéma ; Jane Asher (orientée séries télé) guère plus : après le fameux Départ et avant Travail au Noir, ce film de Jerzy Skolimowski apparaît comme un météore post-68, dans lequel la souffle de liberté, marqué par l'irruption de couleurs vives, échoue à balayer le poids d'un passé conservateur. Le réalisateur nous conte l'impossibilité d'un couple, l'un épris mais trop jeune (affligé de parents old school), introverti mais têtu, l'autre joueuse mais trop détachée, à cheval sur l'enfance et l'âge adulte, déjà calculatrice et matérialiste, flanquée d'un jeune fiancé riche mais moche comme un poux ! En revanche, nos farfelus présentent tous deux un tempérament effronté (ils s'amusent au passage avec la police) et pour le moins irréfléchi, qui ne les mènera pas bien loin... Skolimowki, en jouant avec les contraires, imprime au récit des marques d'inflexion qui symbolisent l'évolution de la nature de l'attraction désastreuse: on passe de la scène d'extérieur dans le secteur chaud, type Pigalle, du centre-ville, lugubre, légère et tournoyante, à celle dans la neige, étincelante, grave et mordante; et pour le centre de bains, du vert (santé, espoir, amour pacifique mais aussi amertume) aux marques rouges (alerte, danger mais aussi passion); d'un esprit bon-enfant aux remarques austères de la hiérarchie; de la retenue apparente de Susan (elle ne s'en prend pas au maître-nageur reluqueur de jeune filles) à ses débordements crescendo. Au fond, ces deux petits zigotos incapables de trouver se révèlent minables, si peu responsables et pour le moins ridicules. Susan préfère l'assurance d'un mariage de confort sans amour, épicé de facéties et de blagues, au choix de vivre une jeunesse vraiment libérée. Mike, lui, immature affectif, ne trouve ni dialogue ni point d'ancrage qui l'empêchent de glisser dans l'abîme de son obsession. Cette "fin profonde" symbolise l'amertume du mirage que fut la libération hétéro-sexuelle en Angleterre. Malgré quelques longueurs, un moment à la fois très plaisant mais aussi réfrigérant.
    Pascal H.
    Pascal H.

    6 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 octobre 2011
    Un film qui raconte la douce folie qu'est l'amour de jeunesse.
    Il est impressionnant de voir comme le film en retranscrit si bien les émotions. De la découverte, à la joie, passant par l'obsession en terminant par la folie.
    La piscine, son décor et ses habitants, apportent énormément à l'atmosphère du film. Julie Asher joue terriblement bien son rôle d’envoûtante et joueuse. Un film atypique.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 août 2011
    En somme Deep End est un film à voir, qui pour l’époque aurait sûrement influencé plus d’un cinéaste tentant de faire l’apologie étrange des désirs adolescents et de la construction de cette période si difficile à retranscrire à l’écran.
    gemini-hell
    gemini-hell

    28 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 août 2011
    C’est toujours un plaisir de revoir ce film inclassable de Skolimowski. A partir d’un scénario somme toute anecdotique, le réalisateur réussit, grâce à une mise en scène virtuose, à nous amuser (du moins jusqu’à la séquence finale) des déboires de ce jeune homme entrant de plein pied dans la vie active au sein d’un établissement de bains, peuplé de personnages pittoresques et où le sexe prédomine. L’alchimie entre les origines slaves du metteur en scène et l’esprit so british trouve une justesse de ton et une originalité tout à fait uniques et jubilatoires. Excellent choix des acteurs dans leur ensemble (la pulpeuse Diana Dors nous offre une scène d’anthologie qui à elle seule mérite le déplacement).
    jujulcactus
    jujulcactus

    26 abonnés 291 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 juillet 2011
    L'une des premières oeuvres de Jerzy Skolimowski, sortie il y a déjà 40 ans, revient sur les grands écrans français sous l'applaudissement général des critiques et de la plupart des spectateurs si l'on en juge Allociné... Pour ma part je suis resté de marbre devant ce que beaucoup appellent «un bijou d'émotion» ou plus encore un «chef d'oeuvre». Mise en scène datée, scénario assez simpliste, le film manque pour moi de consistance, de densité... Les personnages ne sont pas vraiment attachants, même si la magnifique rousse intrigue, il est bien difficile de la cerner tout comme le jeune héros, aux réactions bien étranges, mais pourquoi la suit-il sans cesse? ... Sans que l'on s'ennuie complètement, on tourne souvent en rond plutôt que de dire les choses comme elles sont, et la bleuette adolescente finie par lasser... Dommage car de ci, de là apparaissent quelques bonnes idées, l'alliance du côté morbide à un autre très pop par exemple, qui apportent cachet et charme à oeuvre qui finalement ne fait que reposer dessus. Ambiance singulière, personnages plastiques, décors atypiques, scènes marquantes, BO intéressante : l'atout charme ne comble malheureusement pas le décalage avec le cinéma tel qu'on le fait aujourd'hui, qui me convient mieux, une affaire de goût peut être.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 juillet 2011
    Un des plus beaux films réalisés sur l'adolescence, fiévreux, lyrique. Des idées de scénario particulièrement heureuses (le vol de la pancarte, la perte du diamant), qui font progresser l'histoire de manière inattendue. Enfin des images inoubliables : la piscine craspouille support de tous les phantasmes, le héros en vélo sur du Cat Stevens... Ce film reste bien vivant.
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